Enfant de la SociétéS


Airplane

MH370, vers une disparition non conventionnelle ?

Ma passion pour l'aéronautique, l'électronique, l'informatique et mes activités dans le domaine des drones et des systèmes de contrôles et de pilotage automatiques, mais aussi mon insatiable curiosité dès lors qu'il s'agit de problématiques technologiques m'ont naturellement fait m'intéresser au dossier MH370, le Boeing 777-200ER disparu le 8 mars 2014 quelques heures après son décollage depuis Kuala Lumpur, Malaisie vers Pékin, Chine.

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Commentaire: Et si une autre thèse était envisagée et qui pourrait être similaire à la disparition du Vol 19 en 1945, soit celle que l'avion aurait pénétré dans une sorte de verrou espace/temps.


Target

Main basse sur l'Ukraine : de l'idylle à la trahison américaine

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Si je n'étais convaincu de l'intelligence hors du commun de Barak Obama, je dirais que c'est l'homme le plus stupide de la Terre. Plus stupide même que ne le fut Georges W. Bush. Mais s'il n'est pas stupide, alors Barak Obama est machiavélique. Son attitude n'est en aucune manière tournée vers une résolution pacifique de la crise en Ukraine. Tous ses propos depuis quelques jours montrent au contraire qu'il souhaite aggraver la situation et provoquer l'ours russe jusqu'au point de non-retour. Et ce qui aujourd'hui nous épargne encore une nouvelle guerre est la patience de l'administration russe.

Les faucons de Washington

Qu'entend-on ? Que la Russie est surveillée, comme un enfant. Que l'affaire du tract antisémite dont personne ne sait l'origine est utilisée en boucle pour diaboliser les insurgés de l'est. Si Barak Obama était un homme de paix, il userait d'un autre ton et forcerait ses alliés ukrainiens de l'est à désarmer les nazillons semeurs de guerre. Mais son alliés, le gouvernement putchiste en place à Kiev, a-t-il seulement quelque autorité sur ce qui se passe dans le pays ? A-t-il diligenté une enquête sur le groupe d'hommes armés qui a assassiné des résistants la nuit de Pâques ? Non, il ne fait rien. Il ne nettoie pas plus la place Maidan, comme l'accord le prévoyait pourtant :

Che Guevara

Syrie : La présidentielle aura lieu le 3 juin

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Le scrutin présidentiel en Syrie, qui devrait aboutir à la réélection de Bachar al-Assad, aura lieu le 3 juin, a annoncé lundi le président du Parlement, Mohammad al-Laham.

« Je fixe la date de l'élection d'un président pour la République arabe syrienne (...) pour les citoyens résidant en Syrie le mardi 3 juin », a-t-il annoncé lors d'une réunion solennelle du Parlement. Les dépôts des candidatures pourra se faire à partir de mardi et jusqu'au 1er mai, a-t-il précisé.

Jusqu'à présent, Bachar al-Assad -comme son père Hafez précédemment -, avait été élus par référendum. La nouvelle Constitution approuvée en 2012 donne pour la première fois la possibilité à plusieurs candidats de se présenter. Selon les clauses approuvées par le Parlement le 14 mars, le futur président doit avoir vécu en Syrie de manière continue au cours des 10 dernières années. En outre, tout candidat à la présidentielle devra obtenir le soutien d'au moins 35 députés sur les 250 que compte le Parlement.

Star of David

État juif

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L'idée de la création d'un état juif est une aberration ; la réalité d'un état juif est une anomalie. Ceci a été imposé au monde comme un cheveu sur la soupe et, aux vues du résultat on ne peut que constater que ce fut une mauvaise idée.

Aucun état au monde n'a été crée artificiellement sans créer de graves dommages dans les populations ; ceux-ci du reste sont tous récents, issus de cerveaux aussi malades que celui d'un dénommé Churchill, indifférents, pire, dédaigneux de la réalité spontanée d'une organisation d'individus, qui, bien évidemment, à force de se structurer et de civiliser comme on dit sans rire, à coups de guerres de conquête, de génocides et d'atrocités n'ont, vus d'ici, plus rien de spontané. N'empêche, au départ d'un pays, rien ne fut dicté par qui que ce soit. Les pays se sont créés en aval d'une population existante en une contrée donnée, en toute logique.

People 2

Hystéries en ménage : Néocons et R2P

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Le "pouvoir" à Washington est une bien étrange chose. De temps en temps, il est bon d'en faire une "sociologie", pour aussitôt préciser, même si cela va de soi, qu'il s'agit aussi bien d'une pathologie. Par "pouvoir", certes, nous entendons l'influence dominante, qui n'a besoin ni d'arguments ni de raison, ni vraiment d'une puissance extraordinaire, parce qu'elle ne fait que transmuter en pseudo-concepts, en simulacre d'idées, la poussée évidente et constante du Système pour opérationnaliser la politique-Système et sa "feuille de route" dite-dd&e. Aujourd'hui triomphe à Washington une alliance qui est un mariage de passion bien plus que de raison, sinon un mariage d'hystéries (au pluriel), entre neocons (les néo-conservateurs qui nous bien familiers) et R2P. ("R2P" est un acronyme arrangé en phonétique SMS renvoyant à l'expression bureaucratique "Responsability To Protect", ou "responsabilité de protéger" qui a pris le pas dans l'arsenal des valeurs postmodernistes sur le "droit d'ingérence" pour désigner la feuille de vigne de service de l'acte permanent d'interventionnisme déstructurant et dissolvant des pays du bloc BAO, - avec exemples pratiques en Libye, en Syrie, en Centrafrique, en Ukraine, etc. On observera que le passage de la notion de "droit" à la notion de "responsabilité" est une évolution sémantique intéressante : la "responsabilité" implique le "droit de protéger" [notion de droit,présente dans le pseudo-"droit d'ingérence", qui implique une notion de possibilité d'action] mais aussi le "devoir de protéger" [notion morale, engageant pour celui qui en est investi une nécessité d'action], ce qui fait de l'interventionnisme une obligation morale soutenue par une notion pseudo-légale autorisant cet acte.) Ces deux "centres d'influence" renvoient à des étiquettes de complaisance, sans aucune signification politique réelle, de la droite conservatrice interventionniste (neocons) et du centre-gauche libéral et également interventionniste.

Sheriff

Les États-Unis intensifient les interventions militaires au Moyen-Orient

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Au cours du week-end, des attaques de drone et des frappes aériennes américaines ont tué une quarantaine de personnes dans le Yémen du sud. Ce carnage a coïncidé avec des reportages de presse disant que le gouvernement Obama s'apprêtait à expédier des armes sophistiquées à des groupes « rebelles » luttant contre le gouvernement Assad en Syrie.

Washington est en train de mener une campagne ininterrompue de dénigrement politique et médiatique de la Russie au sujet de sa prétendue intervention en Ukraine, où une poignée de gens sont morts, alors même qu'ils intensifient leur intervention militaire qui dure depuis des décennies au Moyen-Orient où les guerres américaines et les guerres civiles instiguées par les Etats-Unis ont tué des millions de personnes.

Le nombre de morts est bien connu: plus d'un million en Irak (1990-1991, 2003-2011); près de 200.000 en Syrie (2011-2014) ; bien plus de 100.000 en Afghanistan (2001-2014) ; plus de 50.000 en Libye (2011) ; des milliers au Pakistan, au Yémen, en Somalie, au Niger, au Mali et dans d'autres pays touchés par des frappes de drones. Ces chiffres ne tiennent même pas compte des milliers de personnes tuées par les violences israéliennes au Liban, en Cisjordanie et à Gaza, durant la même période et qui sont soutenues par les Etats-Unis.

Road Cone

Obama, Poutine et la géopolitique. Les dangers d'une guerre mondiale...nucléaire?

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Il ne s'agit pas de présenter une énième analyse des responsabilités des uns et des autres au sujet des récents événements en Ukraine. Comme toujours, il faudra attendre la fin de cette crise et aussi une révolution copernicienne des méthodes des journalistes-analystes travaillant pour les médias traditionnels pour qu'un plus large public puisse être informé de tous les actes de subversion dont ce pays a été victime. Le retour des journalistes à la déontologie de leur profession serait aussi le bienvenu, surtout en France.

Il est plus intéressant d'analyser ces événements dans le contexte beaucoup plus large des rapports géopolitiques entre les États-Unis et le bloc sino-eurasien qui est en train de se former.

Pour cela, il s'agit avant tout de comprendre quel est l'objectif poursuivi depuis 25 ans par les États-Unis vu que ce sont eux les maîtres du jeu.

Die

La partie d'échecs du gaz russe

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La partie a débuté immédiatement, comme prévu. C'est Poutine qui a avancé le premier pion, en décidant que Kiev devra désormais payer avec deux mois d'avance le gaz qu'il reçoit de Moscou. À client morose (voire hostile), crédit zéro. Et à partir de début avril, le prix a augmenté de 80 %, atteignant les 485 $ par m3 de gaz.

Deux décisions autant politiques qu'économiques. L'Ukraine doit encore payer des arriérés à hauteur de 2,2 milliards de dollars. De surcroit, Poutine a annulé la ristourne de 100 $ chaque 1000 m3 que la Russie avait concédé jusque-là à l'Ukraine, en compensation du maintien de sa base navale de Sébastopol en Crimée. Maintenant que la Crimée est devenue russe, plus de remise sur les prix.

Bomb

États-Unis : Notes sur le passé recomposé en narrative

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Parmi l'avalanche de nouvelles, d'initiatives, de montages, de false flag, de narrative qui caractérise la crise ukrainienne, on en distingue certaines qui conduisent à une hypothèse centrale. Le Système aux abois, dans le chef de l'américanisme et de la présidence BHO qui sont dans la même situation, jouent leur va-tout dans une tentative paradoxale de ressusciter le passé pour imposer définitivement "leur avenir" au monde. Il s'agit du tournant ultime, du quitte ou double, du tout au rien. La pièce ainsi montée, - comme l'on dit d'une "pièce montée" qui couronne un mariage, - est celle d'une "nouvelle Guerre froide" qui prend corps sous la forme d'articles divers, d'un rapport pour la Maison-Blanche, d'une fuite opportune vers le toujours-utile New York Times et ainsi de suite. La narrative prend forme. On croit revivre.

Il s'agit donc bien de cela : une deuxième Guerre froide, le futur par le retour vers le passé, le passé qui est le retour à la case-départ. L'occasion en est cette crise ukrainienne dont on ne finit pas de découvrir l'ampleur, l'extension, l'universalisation, - la crise ukrainienne, catastrophe en elle-même et catastrophique bouée de sauvetage pour une direction-Système des USA en perdition.

Parmi les diverses initiatives et mesures qui confortent cette hypothèse et l'interprétation que nous en offrons, nous en choisissons deux qui ont une puissante signification. L'une donne une appréciation générale de la conception générale en train de se mettre en place à Washington, l'autre une appréciation opérationnelle montrant un début d'application de cette appréciation ; mais, certes, si nous choisissions deux événements liés l'un à l'autre par une logique qui suggérerait une planification précise, une élaboration rationnelle, notre conviction est qu'il s'agit plutôt d'une agglomération de mesures et d'événements différents qui se sont imposés sans la moindre cohésion et, en fait, montrant que les événements dictent leur loi, plus que jamais. Pour mieux mettre en évidence ce constat fondamental, nous allons renverser l'ordre suggéré par la description que nous développons pour restituer la vraie chronologie qui est l'inverse que celle que nous suggérerait l'identification des deux événements.

War Whore

Frustrée : Timochenko annule sa visite aux États-Unis

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L'ex-première ministre et candidate à la présidence ukrainienne Ioulia Timochenko a annulé sa visite aux Etats-Unis suite au refus de hauts responsables américains de la rencontrer, annonce mardi le journal Rossiïskaïa gazeta.

Selon le quotidien, la candidate à la présidence devait se rendre aux Etats-Unis en milieu de semaine. Mais elle a annulé sa visite après avoir appris qu'aucun homme politique haut placé ne souhaitait la rencontrer.

Selon les journalistes, les membres du Congrès américain considèrent que Mme Timochenko n'a plus l'influence et le pouvoir qu'elle détenait à l'époque où elle était première ministre.

Il semblerait que la demande formulée par Mme Timochenko adressée au Congrès en vue d'accorder une aide militaire à l'Ukraine soit également restée sans réponse.

L'ex-première ministre a notamment demandé la livraison à son pays des armes antiaériennes et des antichars et une formation de militaires ukrainiens.

Actuellement, le taux de popularité de la candidate au poste présidentiel ne dépasse pas 10-12%, selon plusieurs sondages réalisés en Ukraine.