Histoire Secrète
Des scientifiques du musée d'histoire naturelle de Londres ont découvert les boîtes crâniennes de trois individus travaillées de façon à servir de bol capable de contenir du liquide. C'est du moins la seule explication plausible. Ils étaient certainement utilisés dans certains rituels pensent les chercheurs. En effet, s'il ne s'agissait que de se nourrir de la cervelle qu'ils contenaient, le moyen de l'extraire aurait été différent.
C'est dans la grotte de Gough, dans le Somerset que ces objets vieux de 14.700 ans ont été trouvés. La BBC rapporte les propos de la paléontologue Silvia Bello : "Si vous regardez dans le reste du monde, il existe d'autres exemples de cultures qui utilisent les crânes comme des coupes. C'est le cas chez les Tibétains, dans les îles Fidji en Océanie et en Inde".
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Découvertes dans la caverne de Qesem, un site préhistorique israélien qui a par ailleurs livré nombre d'outils de pierre et de restes d'animaux, ces 8 dents vieilles de 200 à 400.000 ans posent un problème aux anthropologues : appartenant à au moins 6 individus d'âges différents - dont de très jeunes enfants -, elles échappent aux méthodes d'identification habituelles, surtout basées sur les différences entre incisives, canines et molaires d'une même dentition.
L'église, dont les mosaïques au sol sont bien conservées, a été découverte à Hirbet Midras, site d'une communauté juive de l'ère romaine, dans le centre du pays, a précisé dans un communiqué le département israélien des Antiquités, qui a lancé les fouilles à la suite de l'arrestation d'un groupe de pillards qui exploitaient le site.
La nef de la basilique comportait huit piliers de marbre. Les mosaïques sont décorées de motifs floraux, animaliers --des oiseaux notamment-- et géométriques. Elles vont être recouvertes dans les prochains jours pour leur préservation.
Les Vikings naviguaient sur les mers, au moyen de cristaux appelés «pierre de soleil" lors des journées nuageuses.
Ils étaient craint comme étant les marins les plus grands, les plus courageux de leur époque Maintenant, le mystère sur la façon dont les guerriers vikings et les commerçants trouvaient leur chemin en haute mer des siècles avant que les premiers compas aient atteint l'Europe a pu être résolu.
Les scientifiques, d'aujourd'hui ont déclaré que les Normands utilisaient des cristaux spéciaux appelés « pierres de soleil » afin de révéler l'emplacement du soleil même quand il était caché par le brouillard et les nuages. Les cristaux, qui sont communs dans les pays scandinaves, détectent la façon dont la lumière du soleil est dispersée quand il frappe l'atmosphère terrestre.
Et une nouvelle étude a montré qu'en tenant l'une d'elle en direction du ciel, les Vikings étaient immédiatement en mesure de trouver le soleil, même lors d'une journée nuageuse ou brumeuse.
Avec un poids estimé à 7 tonnes et un crâne de 2,40 mètres de longueur, le Titanoceratops, un membre de la famille des Tricératops, ces dinosaures à cornes, ne devait pas passer inaperçu. Il est pourtant passé sous le nez des paléontologues pendant 70 ans : découvert sous forme d'un squelette fossile partiel en 1941 au Nouveau-Mexique, reconstitué seulement en 1995 sous une identification erronée, celle d'un Pentaceratops, auquel il ressemble, il trônait depuis dans un muséum de l'Oklahoma, et vient seulement d'être reconnu comme une nouvelle espèce par Nicholas Longrich, paléontologue à l'Université de Yale (Connecticut).
En 2005, le Dr Andrew Hardy, directeur de l'Ecole française d'Extrême-Orient (EFEO) à Hanoi, a découvert une référence étrange à une "Longue Muraille du Quang Ngai", dans un document daté de 1885 et intitulé "Géographie descriptive de l'Empereur Dong Khanh". Cette mention a alimenté son imagination et l'a poussé à monter une équipe de recherche, dirigée avec le Dr Nguyen Tien Dong, de l'Institut d'Archéologie. Le mur a finalement été découvert après cinq ans de travail.
Une équipe de recherche internationale vient de découvrir dans la Péninsule arabique des traces d'Homo sapiens. Les outils de pierre qui ont été retrouvés révèlent que son émigration depuis l'Afrique remonterait à au moins 100.000 ans, soit beaucoup plus tôt que prévu.
La revue Science rapporte les travaux qui ont été réalisés. Grâce à une technique de luminescence par stimulation optique, les archéologues ont pu déterminer depuis combien de temps les objets retrouvés n'avaient pas été exposés à la lumière. Les résultats indiquent une période allant de 100.000 à 125.000 ans.