La Science de l'Esprit
Lorsque les gens sont négatifs par rapport aux événements passés de leur vie, ils ont aussi tendance à avoir une attitude pessimiste ou fataliste face aux événements actuels, ce qui a un impact sur les relations et la qualité de vie, explique Cristián Oyanadel de l'Université de Granada. Oyanadel et ses collègues ont mené cette étude avec 50 hommes et femmes âgés entre 20 et 70 ans.
L'attitude envers le passé, le présent et le futur était évaluée au moyen de l' Échelle de perspective temporelle de Zimbardo.
Trois profils d'orientation temporelle ont été identifiés chez les participants: un profil principalement négatif envers le passé, un profil principalement orienté vers le futur et un profil équilibré.
L'attitude négative envers le passé était le profil qui semblait avoir la plus grande influence sur la santé physique et mentale.
Des chercheurs estoniens, Inga Karton et Talis Bachmann, ont conduit une expérience étonnante. Après avoir distribué des disques de couleur à 16 volontaires, ils ont stimulé, à l'aide d'aimants, leur cortex préfrontal dorsolatéral, une zone du cerveau située juste derrière le front - des stimuli donné du côté gauche de la tête pour la moitié des sujets, du côté droit pour les autres.
Les scientifiques ont alors demandé à chacun d'eux de dire de quelle couleur était leur disque. Il s'est avéré que les personnes stimulées à gauche avaient beaucoup plus tendance à mentir que celles stimulées à droite. Alors que le même traitement opéré sur le lobe pariétal, en revanche, n'avait eu, visiblement, aucun effet sur leur prise de décision.
Il en ressort que 38,2% de la population souffrent de troubles concernant le cerveau. Les maladies les plus fréquentes sont les troubles anxieux (14%), l'insomnie (7%), la dépression majeure (6,9%), les troubles somatoformes (où coïncident des symptômes physiques et psychologiques) (6,3%), la dépendance de l'alcool ou des drogues (4%), le déficit d'attention avec hyperactivité (5% chez les jeunes), la démence (30% chez les plus de 85 ans). En outre, "des millions de patients souffrent de maladies neurologiques telles qu'ictus apoplectique, traumatismes cérébraux, maladie de Parkinson et sclérose en plaques".
« Le cerveau âgé a acquis de l'expérience et sait qu'il ne sert à rien de se mettre en action trop tôt. On savait déjà que le vieillissement n'est pas nécessairement associé à une perte significative des fonctions cognitives. Le cerveau des plus âgés peut, pour certaines tâches, réaliser les mêmes performances à peu près aussi bien que celui des plus jeunes, » a déclaré Dr Monchi. « Maintenant, nous avons des indications neurobiologiques qui expliquent qu'en vieillissant vient également la raison, et que le cerveau apprend à mieux répartir ses ressources. Bref, notre étude montre que Lafontaine avec son lièvre et sa tortue avait drôlement raison et que l'adage voulant qu'il ne sert de courir, mais qu'il vaut mieux partir à point, caractérise fort bien le vieillissement. »
Extraits de l'étude traduits :
Quand la direction du champ magnétique à l'intérieur des vents solaires sont dans le sens opposé du champ magnétique de la Terre, de fortes TGM peuvent se produire.
(...)
Les TGM se produisent en trois phases : le commencement soudain ou la phase initiale, la phase principale et la phase de récupération. La phase initiale est associée avec la compression de la magnétosphère, résultant dans un augmentation de l'intensité locale. Elle dure 2 à 8 heures. La phase principale est associée avec une erratique mais certaine diminution dans l'intensité du champ de fond. Celle-ci dure 12 à 24 heures est suivie par la phase de récupération qui peut durer 10 heures à une semaine.
Des résultats similaires, mais de façon plus importante, ont été observées dans le cerveau d'enfants qui ont vécu dans un orphelinat avant d'être adoptés. L'attention personnalisée portée aux besoins des enfants pourrait être un facteur clé. "D'autres études ont démontré que les mères qui se sentent déprimées sont moins sensibles aux besoins de leur enfant et sont plus retirées et désengagées", ont indiqué la Dre Sophie Parent et le Dr Jean Séguin de l'Université de Montréal, qui ont suivi les enfants pendant toutes ces années.
Ces brefs propos n'épuisent pas le sujet des riches, ouvrant vers des perspectives plus savantes sur le concept de classe sociale. En ce domaine, nul consensus savant. Pour les uns, la classe sociale se définit objectivement, en premier lieu avec le niveau de revenu, puis le statut professionnel et enfin, les accès à des types de bien particulier inclus dans ce qu'on appelle le standing. Exemple, monsieur et madame Hautstanding ont une villa de 300 m2 avec piscine, monsieur roule en Béhème, madame se chausse avec des pompes Louboutin à 1500 dollars la paire. Mais monsieur et madame Bastanding louent 60 m2 dans un HLM qu'ils occupent avec leurs deux enfants, monsieur se déplace avec une vieille R5 retapée, madame se chausse avec des boots à 20 euros venus de Chine. Et donc, les riches seraient des gens ordinaires, sauf qu'ils disposent d'un talent (ou d'une naissance) que les autres n'ont pas et qui leur permet d'accéder au standing professionnel et consumériste.
Cette génération verrait donc sa concentration réduite et la gratification instantanée ainsi que de pauvres compétences non verbales comme la capacité d'établir un contact visuel durant la conversation. Certains experts s'inquiètent de la banalité de certains « Tweets ». Les utilisateurs de Facebook ressentiraient le besoin de devenir des « minicélébrités » qui sont admirées quotidiennement. Les gens se définissent alors sur le nombre de gens qui les connaissent. On se demande plus ce que les autres pensent de nous que ce que nous pensons de nous-mêmes.
Selon une nouvelle étude à laquelle ont participé deux écoles privées d'un pays de l'Afrique de l'Ouest, les enfants qui fréquentent une école qui a recours au châtiment corporel réussissent beaucoup moins bien à accomplir des tâches faisant appel aux fonctions exécutives - des processus psychologiques comme la planification, la pensée abstraite et les gratifications dilatoires - que ceux dont l'école s'en remet à des mesures disciplinaires plus douces comme le retrait.
Publiées dans le journal Social Development, les découvertes concluent qu'un environnement très sévère peut avoir des effets néfastes à long terme sur l'intelligence verbale des enfants et leurs fonctions exécutives. Ainsi, l'étude indique que les enfants exposés à un environnement très sévère pourraient développer des problèmes comportementaux liés aux déficits des fonctions exécutives.
Réalisée par la professeure Victoria Talwar, de l'Université McGill, la professeure Stephanie M. Carlson, de l'Université du Minnesota, et le professeur Kang Lee, de l'Université de Toronto, l'étude portait sur 63 enfants de maternelle ou de première année qui fréquentent deux écoles privées de l'Afrique de l'Ouest. Leurs familles vivent dans le même quartier urbain. Les parents étaient pour la plupart fonctionnaires, professionnels et commerçants.
Commentaire: Il ne faut pas oublier le contexte de l'étude, c'est à dire au sein d'une classe. Un châtiment corporel devant tout le monde est humiliant et improductif. Cependant un enfant à besoin d'être guidé. On ne peut pas l'élever comme si le danger extérieur n'existe pas et que ses actes n'ont aucune conséquence. Un châtiment corporel doit être proportionné, rare et juste.