Coïncidences ? Le mot cléNous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l'injection génique sur l'immunité. Plusieurs généticiens avaient d'ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l'activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.
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Les mois ont passé, et la folie vaccinale s'est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c'est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.
Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l'ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu'il soit expliqué en détail) si le patient refuse l'injection expérimentale, d'effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c'est comme cela », et nous l'avons bien accepté !
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