OF THE
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Note du traducteur : On peut supposer qu'il s'agit des vaccins en général, mais surtout des « produits » dangereux pour la santé qui sont injectés sous le nom fallacieux de « vaccin » anti-Covid. Autant dire qu'ils ont l'air un « tantinet » désespérés, et que leur « agenda vaccinal » — lui-même un sous-agenda d'autres agendas, comme des poupées russes — ne fonctionne pas aussi bien qu'ils l'espéraient. Sinon, pourquoi prendre de telles contre-mesures ?Le Dr Vivek Murthy, Chirurgien général des États-Unis, a publié jeudi un avis mettant en garde les citoyens de son pays contre la « menace urgente » que représentent la désinformation et les fausses informations en matière de santé, lesquelles ont
« menacé la réponse des États-Unis face au Covid-19 et continuent d'empêcher les Américains de se faire vacciner, prolongeant ainsi la pandémie et mettant des vies en danger. »L'avis de 22 pages appelle les entreprises du secteur des technologies de l'information et des médias sociaux à assumer davantage de responsabilités pour mettre un terme à la diffusion en ligne de fausses informations sur la santé.
« Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »Le Dr David Martin a répondu :
« Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C'est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s'est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »
Note du traducteur : Comme c'est souvent le cas pour les traductions d'articles rédigés d'un point de vue des États-Unis ou de la Grande-Bretagne, le contenu ne se réduit pas uniquement au pays (occidental) dont il est question. Ne doutez pas que les structures gouvernementales dont il est question dans cet article n'existent qu'en Grande-Bretagne.Les gouvernements utilisent la peur pour contrôler et manipuler leurs citoyens. C'est ce que viennent d'admettre les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B), un sous-comité qui, au Royaume-Uni, conseille le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE). Ils sont bien placés pour le savoir, car ils ont plaidé en faveur de ce projet et déclarent aujourd'hui que c'était une regrettable erreur.
Les scientifiques membres d'un comité qui a encouragé le recours à la peur dans le but de contrôler le comportement des populations pendant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l'éthique » et « totalitaire ». Dans un nouveau livre sur le rôle de la psychologie dans la réponse au Covid-19 du gouvernement, les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B) ont regretté l'usage de ces tactiques .La guerre psychologique est réelle
Le SPI-B a averti en mars de l'année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » représenté par le Covid-19 étant donné qu'« un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ».
Gavin Morgan, un psychologue de l'équipe, a déclaré :« Il est clair que le recours à la peur comme moyen de contrôle n'est pas éthique. Cette pratique est empreinte de totalitarisme. Une telle position au sein d'un gouvernement moderne n'est en rien éthique. Bien que je sois une personne de nature optimiste, tout ceci fait que j'ai aujourd'hui une vision plus pessimiste des gens. »
Note du traducteur : Voici la traduction d'une interview menée par Mike Whitney sur l'origine du Sras-CoV-2, dans laquelle Ron Unz répond à ses questions.
« [...] Il reste la forte probabilité que le Covid [Sras-CoV-2 - NdT] provienne d'un laboratoire et qu'il ait était conçu pour servir d'arme biologique [...] La Chine était sûrement la cible visée [et] les États-Unis semblent être la source probable de l'attaque [...] Les suspects les plus plausibles seraient des éléments malveillants de notre appareil de sécurité nationale [...] Le virus et ses dispositifs de dispersion pourraient avoir été obtenus à Fort Detrick et des agents de la CIA [...] auraient été envoyés à Wuhan pour le propager. »Question 1 — Ce qui rend votre théorie sur les origines du Sras-CoV-2 si controversée, ce n'est pas qu'elle suggère que l'agent pathogène a été créé dans un laboratoire, mais qu'il s'agit en fait d'une arme biologique volontairement libérée par des agents étatsuniens menant une guerre secrète contre les ennemis présumés des États-Unis. Voici la « citation clé » de votre article intitulé « La machine de propagande des États-Unis et le récit orwellien d'un virus échappé d'un laboratoire » [publié en anglais par The Unz Review sous le titre « American Pravda: George Orwell's Virus Lab-Leak » - NdT] :
~ Ron Unz, rédacteur en chef de The Unz Review ; extrait de ce qui suit.
« [...] Il reste la forte probabilité que le Covid provienne d'un laboratoire et qu'il ait était conçu pour servir d'arme biologique, mais nous ne disposons pourtant d'aucune indication sérieuse quant à l'existence d'une fuite provenant d'un laboratoire. Donc, si l'épidémie initiale de Wuhan était due au déploiement d'une puissante arme biologique, mais pas à une fuite accidentelle d'un laboratoire, alors la Chine était sûrement la cible visée, victime plutôt que coupable [...]Alors, voici la question : Pensez-vous que les récents développements donnent plus de crédit à votre théorie explosive ou croyez-vous maintenant que le Covid-19 a simplement été « accidentellement » répandu à la suite d'une erreur humaine ?
Étant donné notre actuelle confrontation militaire et géopolitique avec la Chine, les États-Unis semblent être la source probable de l'attaque [...] Les suspects les plus plausibles seraient des éléments malveillants de notre appareil de sécurité nationale, probablement certains des néoconservateurs de l'État profond que Trump a placés au sommet de son administration.
Cette petite poignée de comploteurs de haut vol aurait alors fait appel aux ressources de l'appareil de sécurité nationale des États-Unis pour mener à bien l'opération. Le virus et ses dispositifs de dispersion pourraient avoir été obtenus à Fort Detrick et des agents de la CIA ou des membres des forces spéciales auraient été envoyés à Wuhan pour le libérer [...] En fait, ce qui s'est passé est un scénario du type Dr Folamour, mais transposé dans la réalité. »
« Bien des gens affirment qu'on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n'est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l'émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C'est pour ton bien... Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l'esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j'ai affirmé que ce que nous vivions n'était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m'ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n'y ont pas intérêt), prétendant que j'exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.
~ Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953
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