Cette étude s'ajoute à une liste croissante d'articles publiés et évalués par des pairs (Mawson, 2017; Hooker and Miller, 2020) qui comparent la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé l'ampleur des dommages causés par les vaccins, et que l'épidémie de maladies chroniques chez les enfants n'est plus guère un mystère.
L'étude que le CDC a refusé de faire
Depuis 1986, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont légalement tenus de mener des études portant sur l'innocuité des vaccins et d'émettre tous les deux ans un rapport relatif à cette innocuité en ce qui concerne les vaccinations des enfants. En 2018, il a été établi qu'ils ne l'avaient jamais fait. Il incombe donc aux groupes non gouvernementaux de faire le travail que le CDC refuse de faire.
En tant que première organisation gouvernementale à promouvoir la vaccination des Américains, le CDC refuse de s'incriminer dans l'épidémie de maladies chroniques infantiles. Nous avons affaire ici au cas classique dans lequel on demande au renard de surveiller le poulailler. Pour ne pas risquer de voir le public se détourner de la vaccination, ils contribuent à créer un vide de preuves.

Image fournie par le ministère des armées. Vision de ce que pourrait être le combattant du futur en 2040/2050, avec des vêtements connectés, plus de protections et une interface homme/machine permettant d’aider le combattant, et issue de travaux d’étudiants de l’école de design Strate pour l’armée de terre.
En imaginant le soldat de 2030, le comité d'éthique des armées a tranché pour un mix entre Spiderman et Batman, dans son premier avis publié cette semaine. Le groupe composé de 18 membres de civils et militaires est chargé d'apporter un éclairage sur les questions d'éthique soulevées par les innovations scientifiques, techniques et leurs éventuelles applications militaires. Il devait travailler sur deux thématiques : le soldat augmenté et l'autonomie des systèmes d'armes létaux déjà testés en Chine via un drone d'attaque et commandé en masse par le Royaume-Uni. Concernant le premier sujet, le groupe de réflexion créé fin 2019 estime qu'il est nécessaire de commencer les recherches sur des méthodes invasives ou non pour augmenter les capacités des soldats.
Le temps du grand ménage est arrivé. Parce que s'il vous arrive en ce moment d'éprouver la sensation d'être au sein d'une bataille spirituelle, vous n'êtes pas seul. Nombre des plus grands érudits, philosophes et ascètes du monde ont compris l'aspect multidimensionnel du monde dans lequel vivent des êtres non physiques, bons et mauvais, en lutte perpétuelle contre nous et les uns contre les autres. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l'existence des êtres spirituels puisse être directement vécue parce que
« [...] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de voir où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir à quel endroit ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d'être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n'est pas modifiée du fait que l'homme les connaît ou ne les connaît pas. »Vous n'êtes pas seul, mais vous pourriez avoir dans votre entourage des personnes qui entravent votre voie vers la spiritualité et déséquilibrent votre recherche d'harmonie intérieure. L'article qui suit explore ce sujet. Il sera suivi par quelques citations qui aideront peut-être les lectrices et les lecteurs à y voir plus clair.
~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres
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Nous vivons une époque de folie. Il semble que nous soyons entrés dans la zone crépusculaire. Un « tourbillon » tordu de polarisation extrême et de systèmes de valeurs contradictoires. Un monde où la haine est palpable des deux côtés du point de contrôle de la polarité. La volonté orchestrée de provoquer des divisions sur tous les fronts : race, sexe, politique et religion ne devrait pas surprendre ceux qui sont sur le chemin de la spiritualité. L'énergie de l'ancienne ère des Poissons se meurt et les débranchés se battent contre la marée montante de la nouvelle ère du Verseau.
L'enfer se déchaîne. Les émeutes et la violence abondent, les pénuries alimentaires, les confinements, les conditions météorologiques extrêmes et les maladies sont au rendez-vous, et à mesure que la vie s'écoule, nos préjugés profonds et notre instinct de conservation se manifestent. Des instincts de survie délibérément exacerbés par nos sombres dirigeants, des êtres au charisme néfaste qui cherchent désespérément à garder le contrôle d'un paradigme moribond.
Programmés pour les conflits
Les humains sont programmés pour les conflits. Nous possédons tous un schéma interne de type Jekyll et Hyde — un M. Gentil et un M. Méchant qui partagent le même espace. Chacun d'entre nous est soumis à des forces positives et négatives qui envahissent notre esprit et bouleversent notre vie. La lutte pour la polarité devient évidente lorsque nous vérifions nos propres dialogues internes. Nous avons tous un Gollum qui partage notre conscience, et il est parfois inconfortable de surveiller notre pensée... et ce qu'elle révèle sur l'état de notre conscience.
- Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
- Les vaccins n'empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
- Les vaccins n'empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
- Les vaccins n'empêcheront pas les décès dus au Covid.
« Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu'ils sont exactement. »
~ Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l'école de pharmacie de l'université du Maryland
« La différence entre le génie et la stupidité, c'est que le génie a ses limites. »Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m'empêche pas d'attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »
~ Albert Einstein
Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n'a aucun sens, surtout si l'on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.
Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n'a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »
Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l'establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n'est qu'un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu'elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu'elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.
Nicole Delépine écrivait en 2017 :
« Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C'est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d'une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l'arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s'était déjà produit « ouvrant la voie à l'adoption d'un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l'euthanasie et de l'extermination des personnes handicapées dès 1931. »Ceci étant posé, voici le communiqué de Christian Cotten du 2 décembre 2020.
Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d'obligations et c'est le rôle du parlement que de protéger les droits des citoyens en dehors de toute querelle médicale et en l'absence de péril. »
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Médecins — Pharmaciens — Infirmiers — Fonctionnaires de la santé !Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l'État français. Vous serez ainsi sollicités dans les prochaines semaines pour la mettre en œuvre, tout particulièrement dans les EHPAD. Les vaccins qui seront utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n'a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n'existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu'aux probables effets secondaires à court et long termes, bénins ou handicapants voire létaux.
Premier avertissement avant poursuites pour viol du Code de Nuremberg et atteinte à l'intégrité d'autrui
Cette campagne vaccinale est ainsi constitutive de façon irréfragable d'une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujets de cette expérimentation et qu'il est largement documenté scientifiquement que nombre de vaccins produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels.
Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d'interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code, reconnu internationalement depuis cette époque.
Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que les études — pour protéger la vie et la santé des personnes testées [voire vaccinées, puisque c'est initié dans certains pays dès la semaine prochaine - NdT] — ne soient pas poursuivies jusqu'à ce que l'on dispose d'un protocole d'étude adapté pour répondre aux importantes préoccupations en matière d'innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l'encontre du vaccin et du protocole d'étude.
Les pétitionnaires demandent d'une part qu'un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d'études sérieuses quant au test PCR. C'est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l'efficacité d'un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l'éventuel bénéfice d'un vaccin ne peuvent être déterminés avec une certitude suffisante, et c'est la raison pour laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l'éthique.
En outre, ils exigent qu'il soit exclu, par exemple au moyen d'expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures — qui proviennent en partie de la nature des coronavirus — puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :

« PRENEZ VOTRE PLACE DANS LE RANG »
Poster de propagande créé par la Grande-Bretagne en 1915
C'est la première leçon du pouvoir : des sociétés entières peuvent être facilement influencées lorsqu'elles souffrent de l'illusion que les mauvais moments seront éphémères et que les gouvernements les garderont en sécurité quoi qu'il arrive.
Le Covid-19, c'est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n'y a pas de peur, il n'y a pas de Covid-19. La peur et l'incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d'un jour à l'autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d'inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l'establishment médical. La réponse au coronavirus relève d'une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l'esprit de nombre de gens, tandis qu'on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d'un point de vue scientifique s'enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l'impression d'être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l'humanité » des pires maladies infectieuses.
Laissons la parole à Daisy Luther, et nous reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.
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Vous vous souvenez de l'époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d'implants de puces RFID, de l'obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s'est avéré que ces théories du complot n'étaient pas si « délirantes » après tout.
Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis - NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.
Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l'année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l'année où nous avons enfin dit, ça suffit.
Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes... jusqu'à aujourd'hui, où elles deviennent bien trop réelles.
Où sont leurs preuves d'efficacités? Quels résultats ont-t-elles obtenu en matière de biosécurité s'agissant de ces produits? Plongée dans l'enfer de l'appât du gain sans limite, bonne lecture.
Microbe ou terrain ?
Cette question reprend le grand débat entre deux hommes de science célèbres, Louis Pasteur et Antoine Béchamp. L'essentiel du débat peut se résumer à cela : Les microbes (Pasteur) provoquent-ils les maladies ? Ou est-ce un terrain pauvre (Béchamp) qui permet aux microbes de s'implanter et de se propager à un rythme rapide ? En d'autres termes, l'exposition à un microbe signifie-t-elle que vous êtes destiné à « attraper » la maladie ou à être « infecté » ? Le microbe possède-t-il le pouvoir total de contrôler votre destin ? Ou la personne exposée est-elle un hôte réceptif ? Son système immunitaire est-il une machine bien réglée, ou est-il faible et insuffisant ? En d'autres termes, son niveau de résistance à l'exposition est-il élevé ou faible ? Voir mon récent post sur Facebook pour une explication plus détaillée de ce « Grand Débat » [en anglais - NdT].
Nous baignons dans une mer de micro-organismes
Les scientifiques ont déterminé qu'il existe approximativement :
- 30 milliards de milliards de cellules dans un corps humain de taille moyenne ;
- 40 milliards de milliards de bactéries sur et dans le corps humain ;
- 380 milliards de milliards de virus sur et dans le corps humain ;