L'enquête déconstruit l'image lisse d'un mouvement qui a inspiré le public occidental, alors que trois mouvements néonazis étaient présents aux côtés des manifestants à Kiev fin 2013 et début 2014. De là, ils ont infiltré les institutions gouvernementales en Ukraine et, avec une aide militaire, financière et technologique considérable des forces de l'OTAN et des agences de renseignement occidentales, ont progressivement pris le contrôle des forces militaires du pays et les ont dirigées pour lancer une « opération anti-terroriste » qui visait les Russes ethniques opposés à la révolution de Kiev.
Commentaire : À la lumière de la guerre de libération/dénazification et démilitarisation menée par la Russie en Ukraine, le monumental article qui suit, bien que datant de 2018 et relatif à l'infrastructure mondiale massive de laboratoires d'armes biologiques que les États-Unis maintiennent dans le monde — mais aussi en Ukraine et en Géorgie — laisse à penser que la démilitarisation de l'Ukraine par la Russie ne concernerait pas uniquement les armes dites conventionnels, mais également les armes biologiques (même si ces dernières font certainement l'objet d'attentions particulières, au vue de leurs natures).
Nous avions publié en 2017 un article qui évoquait, au conditionnel, les laboratoires militaires américains en Ukraine :
— Les États-Unis seraient en train de transformer l'Ukraine en « bombe biologique », nous avons aujourd'hui un certain nombre de réponses...
et un autre en 2018 qui présentait celui que nous publions aujourd'hui :
— Enquête journalistique: les États-Unis développent des armes biologiques dans les laboratoires à travers le monde
En ce qui concerne l'accusation de la Chine qui pointe du doigt depuis le début de la « crise Covid-19 » un certain laboratoire biologique installé de longue date dans le Maryland aux États-Unis, Fort Detrick pour le nommer, comme étant une source possible du Sras-CoV-2/Covid-19, voir notre article :
— Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2
L'armée américaine produit régulièrement des virus, bactéries et toxines mortels en violation directe de la Convention des Nations Unies sur l'interdiction des armes biologiques. Des centaines de milliers de personnes involontaires sont systématiquement exposées à des agents pathogènes dangereux et à d'autres maladies incurables. Des scientifiques de la guerre biologique utilisant la couverture diplomatique testent des virus artificiels dans les laboratoires biologiques du Pentagone dans 25 pays à travers le monde. Ces laboratoires bilogoqies américains sont financés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA [« Agence de réduction des menaces de la Défense »]) dans le cadre d'un programme militaire de 2,1 milliards de dollars — Cooperative Biological Engagement Program (CBEP [« Programme coopératif d'engagement biologique »]) — et sont situés dans des pays de l'ex-Union soviétique tels que la Géorgie et l'Ukraine, au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est et en Afrique.
Tout au long du mois, des blizzards jamais vus ont frappé une grande partie de la côte Est et des États du centre des États-Unis et ont paralysé des villes entières et privé d'électricité des millions de personnes.
Cette situation survient près d'un an après les dommages causés pendant plusieurs jours au réseau électrique du Texas par un gel catastrophique qui avait privé d'électricité des millions de personnes et provoqué des centaines de décès. Ce fut l'une des pires coupures du réseau électrique de l'histoire des États-Unis.
Les États de la partie supérieure de la côte Est sont déjà confrontés à des pénuries alimentaires, sans perspective de réapprovisionnement à ce jour. Certains de ces États comptent sur le Canada pour leurs importations alimentaires, mais cette situation pourrait n'être que temporaire puisque les chaînes d'approvisionnement et de distribution du Canada sont désormais interrompues.
C'est ce qui se passe lorsqu'une bande de hyènes, de chacals et de petits rongeurs en haillons titillent l'ours : un nouvel ordre géopolitique voit le jour à une vitesse vertigineuse.
D'une réunion dramatique du Conseil de sécurité russe à une leçon d'histoire de l'ONU donnée par le président russe Vladimir Poutine, en passant par la naissance des Bébés Jumeaux - les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk - jusqu'à l'appel lancé par les républiques séparatistes à Poutine pour qu'il intervienne militairement afin d'expulser du Donbass les forces ukrainiennes de bombardement et de pilonnage soutenues par l'OTAN, tout s'est déroulé sans heurts, à la vitesse de la lumière.
De ces évènements, une image aura particulièrement marqué les esprits, celle où une femme âgée et handicapée semble se faire piétiner sous les sabots d'un cheval monté par un policier :
Les camionneurs ont décidé de rouler en direction de Québec.
Puisque le Canada est un pays avec une immense superficie, et comme le dit si bien sa devise nationale « A mari usque ad mare » soit « d'un océan à l'autre », un convoi s'est également mis en route dans la partie est du Canada pour également se diriger vers Ottawa.
Traduction de l'image : Voir ci-dessous.The Independent a fait une entrée précoce (et en force) dans la course au prix du « pire journalisme de l'année », en rapportant hier la mort de l'entraîneur de gymnastique hongrois Szilveszter Csollany avec le titre :
« Le médaillé d'or olympique anti-vaccin Szilveszter Csollany meurt du Covid, à 51 ans » [à gauche sur l'image - NdT]Le problème flagrant de ce titre apparaît clairement trois paragraphes après le début de l'article :
« Alors que Csollany avait, selon le [journal hongrois Blikk] exprimé des opinions anti-vaccination sur les médias sociaux, le sextuple médaillé des championnats du monde avait été vacciné pour pouvoir continuer à travailler comme entraîneur de gymnastique. » [à droite sur l'image - NdT]Le traitement journalistique est épouvantable, pernicieux jusqu'à en être criminel.
En effet, contre toute attente, ce ne sont pas les professionnels de la santé qui sont montés au front mais bien les camionneurs qui en ont ras-le-bol de « toutes les mesures » anti-Covid liberticides. Et selon ce que nous dit le journal Les Affaires1 en date du 24 janvier 2022, ce ne sont pas seulement les non-vaccinés qui manifestent : les vaccinés participent aussi à ce mouvement, ce qui explique la longueur du convoi.
Un groupe de camionneurs recueille des millions de dollars dans le cadre d'une collecte de fonds alors qu'il traverse le pays pour protester contre la vaccination obligatoire, même si la grande majorité des conducteurs de poids lourds a été inoculée.
Source : Les Affaires1
Commentaire: Oui, la Russie en a assez de l'élite occidentale à deux visages, pour qui le droit international est un bâton avec lequel on peut frapper les autres pays sans le respecter soi-même, parce que l'élite occidentale se considère comme exceptionnelle. La Russie va maintenant montrer que les lignes rouges sont des lignes rouges et qu'elles seront renforcées si les efforts diplomatiques normaux restent vains.
Voir aussi en anglais :