Covid


Book 2

Préface de J.D. Michel au livre « Le débat interdit ◄

Il est des enthousiasmes qu'il importe de ne pas voiler, que ce soit par fausse pudeur ou par posture. Le livre que vous tenez entre les mains m'a procuré l'éclairement le plus magistral et le plus délectable que j'aie vécu depuis le début de la « pandémie ». À partir de mon propre domaine (qui étudie la santé dans ses différentes dimensions), j'avais d'emblée repéré, avec bien d'autres, une somme suspecte d'anomalies dans les réponses « sanitaires » à ce qui était — et aurait dû rester — une épidémie relativement banale, et somme toute peu compliquée à gérer.
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Le ou la Covid s'est révélé d'une létalité relative, ne présentant un danger (sauf exception) que pour les personnes en toute fin de vie ou atteintes de comorbidités graves. On sait par ailleurs que la règle de base pour faire face à une épidémie est de laisser la société fonctionner le plus normalement possible, tout en protégeant les groupes de personnes à risque et en confiant au « premier rideau » des médecins généralistes le soin de traiter et d'accompagner les malades — fût-ce avec les moyens du bord.

Red Pill

Meilleur du Web: Peste noire, vaccins Covid, le mythe de Pasteur — « Le Malade imaginaire reflète notre époque », selon Marc Menant

Journaliste et écrivain, passionné d'histoire comme de sciences, Marc Menant se définit comme un « orphelin idéologique » épris de liberté. À rebours d'un consensus médiatique sur les thématiques relatives à la Covid-19, le chroniqueur connu pour ses talents de conteur, en refusant et en questionnant les injonctions sanitaires du gouvernement, s'est vite démarqué de ses confrères. Dans le cadre d'un « Défi de la vérité », nous l'avons reçu pour qu'il nous présente son dernier ouvrage, qui vient de paraitre : L'inquiétante histoire des vaccins (Plon). Tel un détective, l'écrivain, qui anime sur CNews l'émission « La belle histoire de France », explore ici l'histoire de la médecine pour mieux en dénoncer ses travers, ses erreurs, ses impostures, certaines fermement établies, à commencer par celle du mythique Pasteur.
Marc Menant
© FranceSoir
Dans cet entretien, Marc Menant commence par dénoncer cette « médecine qui, dans sa toute-puissance, estime que le savoir qui est le sien est une vérité indubitable, une parole magistère », avant de s'attaquer au cursus universitaire des étudiants en médecine, dont il pointe les lacunes. D'une part, le journaliste regrette l'absence de réflexion critique sur les enseignements :
« Quand on est étudiant en médecine, il y a tellement à apprendre qu'on n'a pas l'opportunité de s'interroger sur ce qui vous est proposé comme enseignement. Vous êtes obligés de l'imbiber et puis de recracher ce qu'on vous a demandé. Donc on a éteint le libre arbitre. »
D'autre part, il s'étonne du contenu des programmes. L'exemple le plus patent qu'il reprend : la quasi-absence de formation en nutrition :
« Or, vous ne connaissez pas un membre médical sérieux qui vous ne vous dira pas : "Ce que vous mangez pourra éventuellement vous conduire à la maladie". »

Bullseye

L'obligation vaccinale échoue en Allemagne

Hier, le Parlement allemand a rejeté par 378 voix contre 296 une proposition de loi qui aurait rendu obligatoire la vaccination de tout Allemand de plus de 60 ans, la « consultation pré-vaccinale » des autres adultes et la création d'un registre vaccinal national de tous les vaccinés. Cette proposition était soutenue par la Social-démocratie (SPD), les Verts et les libéraux (FDP).
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Le gouvernement allemand tenait tant à l'obligation vaccinale qu'il a fait revenir du sommet de l'OTAN sur l'Ukraine Annalena Baerbock, la ministre des Affaires étrangères, pour qu'elle vote. Le thème est toutefois devenu polémique, au point que le Chancelier Scholz a préféré faire porter la loi par des parlementaires plutôt que par le gouvernement, et ne s'est pas lui-même prononcé.

Sheriff

La police de Victoria veut que les Australiens « oublient ce qu'ils ont fait ».

Rita Panahi, présentatrice de Sky News, affirme que la police de Victoria veut que les Australiens « oublient » l'histoire récente après deux années de « dépassement et de maintien de l'ordre sélectif ». « La hiérarchie de la police de Victoria veut reconstruire sa marque », a-t-elle déclaré.
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« Le commandement de la police de Victoria veut que vous oubliiez ce qu'ils ont fait ces deux dernières années, vous savez, le harcèlement des vieilles femmes sur les bancs publics, l'arrestation de femmes enceintes dans leur cuisine pour des publications sur Facebook, l'application de l'interdiction des terrains de jeux pour les enfants et leur réponse brutale aux manifestants anti-blocage ».

Bad Guys

SOTT Focus: Deux semaines pour aplanir le monde

« Tout ceci n'est qu'une digression. Le vrai pouvoir, celui pour lequel nous devons nous battre nuit et jour, n'est pas le pouvoir sur les choses, mais sur les hommes. Comment un homme affirme-t-il son pouvoir sur un autre ? ... En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. S'il ne souffre pas, comment pouvez-vous être sûr qu'il obéit à votre volonté et non à la sienne ? Le pouvoir consiste à infliger la douleur et l'humiliation. Le pouvoir consiste à mettre en pièces des esprits humains et à les reconstituer dans des formes nouvelles qu'il aura choisies. Commencez-vous à entrevoir, alors, le genre de monde que nous sommes en train de créer ? »

~ George Orwell, 1984
« Nous devenons esclaves au moment où nous remettons entièrement les clés de la définition de la réalité à quelqu'un d'autre, qu'il s'agisse d'une entreprise, d'une théorie économique, d'un parti politique, de la Maison Blanche, de Newsworld ou de CNN. »
~ B.W. Powe
Le Covid-19 a disparu comme par magie.

coronavirus
Après plus de deux ans de bombardement ininterrompu de « nouvelles » sur le Covid, cela fait plus d'une semaine qu'aucun article sur le sujet ne fait la Une. Les médias donnent et les médias reprennent. En escamotant soigneusement la « crise Covid », les responsables de ces méfaits tentent de nous faire oublier ce qu'ils nous ont fait, à nous et à nos familles, et les dommages permanents qu'ils ont causés à la société. Repensez à ce qu'était la vie il y a deux ans et imaginez si quelqu'un vous disait qu'une « urgence sanitaire » nécessiterait une répression de toute vie sociale et économique.

Che Guevara

Communiqué de Me Virginie de Araujo-Recchia suite à sa mise en garde à vue par la DGSI

Le 22 mars dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia ainsi que six autres personnes ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d'une enquête liée à Rémy Daillet, mis en examen le 22 octobre dernier pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Elle était l'avocate de cet homme, connu pour ses appels insurrectionnels visant à renverser le gouvernement. Elle ressort de garde à vue le 24 mars et nous confie aujourd'hui son ressenti à travers un communiqué officiel, dans lequel elle souligne que « rien ne lui est reproché » :
« Je n'ai fait l'objet d'aucune poursuite, je n'ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de témoin assisté. »
Me Virginie de Araujo-Recchia
© DRMe Virginie de Araujo-Recchia
Elle y raconte comment s'est déroulée l'interpellation ainsi que l'interrogatoire, en insistant sur les « conditions déplorables » dont nous faisait aussi part Sylvain Baron, Gilet jaune et auteur également arrêté ce jour-là. Puis, elle pose la question :
« N'était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m'emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu'il s'agissait, au final, uniquement d'obtenir des renseignements puisque rien ne m'est reproché ? »
L'avocate s'adresse aussi brièvement aux médias qui ont relaté son interpellation en parlant de terrorisme, d'extrémisme ou encore de complotisme, et assure :
« Je n'en resterai pas là, car il s'agit de pure diffamation et d'intention de nuire, mais je vais solliciter un droit de réponse. »

Book 2

Meilleur du Web: Préface d'un livre sur « la théorie du complot » avec Jean-Dominique Michel

La publication en français du présent ouvrage revêt littéralement un caractère de salut public. Tous les professeurs le savent : entreprendre de transmettre des savoirs portant sur des phénomènes que les étudiants n'ont jamais rencontrés rend, par l'abstraction que cela suppose, l'opération incertaine. En revanche, si vous présentez des clés de lecture, peu après qu'ils en ont fait l'expérience (et possiblement souffert dans leur psychisme et leur chair), l'intégration des connaissances se fera comme celle d'un verre d'eau absorbé au sortir du désert.
La mort de Socrate
La mort de Socrate
Dans son ouvrage, Lance de Haven-Smith décrit et décode les tours et les manipulations qui ont mis nos sociétés sens dessus dessous depuis un funeste mois de janvier 2020. Malgré l'envergure et la complexité de l'analyse, le propos est pourtant fort simple. Dans son acharnement à effacer des pans entiers de la réalité, notre civilisation en vient (entre autres) à nier l'un des principes les plus fondamentaux des systèmes de gouvernance : ainsi que notre espèce en a acquis la nécessaire conscience au cours des âges, ceux qui détiennent le pouvoir tendent naturellement à en abuser, et à ourdir toutes sortes de conspirations pour camoufler leurs agissements derrière de vertueuses professions de foi et des discours qui, comme on le dit, « ne mangent pas de pain ».

Syringe

SOTT Focus: Les effets dévastateurs de la protéine spike du Sras-Covid et des « vaccins » associés — Une « toxine foreuse » qui perfore les membranes cellulaires !

La protéine spike fait des trous dans les membranes cellulaires à des concentrations bien inférieures à celles atteintes par la « vaccination », contribuant à une maladie de type Covid et à des dommages mitochondriaux. Mais qu'en est-il pour le « vaccin » Johnson & Johnson ? [J&J est le seul « vaccin » qui détruit le site de clivage de la furine, voir plus loin dans l'article - NdT]
Protéine Spike
© Inconnu
La protéine spike des « vaccins » Covid subsiste chez l'être humain pendant au moins quatre mois après l'injection. Il s'agit d'une toxine qui perfore directement les membranes cellulaires. Elle provoque des lésions mitochondriales dans les cellules et une maladie de type Covid chez les souris.

Mais se retrouve-t-elle chez l'être humain à des concentrations qui créeraient ces problèmes ? Et les modifications apportées aux protéines spike du « vaccin » sont-elles susceptibles de réduire cette toxicité ?

Cet article est le premier d'une série dans laquelle je décrirai les mécanismes potentiels de la toxicité de la protéine spike et des effets secondaires des « vaccins », et je présenterai des mesures que les « vaccinés » peuvent prendre pour se protéger contre ces effets, voire en guérir. Dans ce premier article de la série, nous examinons la protéine spike en tant que toxine capable de percer des trous minuscules. Tout d'abord, quelques informations essentielles.

Commentaire: Voir aussi les articles suivants :


Bad Guys

L'OMS et ses partenaires préparent un passe vaccinal et identitaire mondial

L'Organisation mondiale de la santé doit prochainement convoquer les États membres et les dirigeants des entreprises de technologie délivrant des certificats de vaccination Covid-19 pour faciliter la création d'un passe vaccinal mondial. Les promoteurs de cette initiative ont justifié cette nécessité pour faciliter des voyages ou pour vanter un effort de réouverture et de relance de l'économie.
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Cette politique, très claire, a consisté dans un premier temps à supprimer les libertés par la justification d'un contexte sanitaire défavorable, puis la restitution des libertés sous conditions : celles d'un contrôle social total sur les individus. La peur et le mensonge permettent de mettre en place ce qui ne pourrait l'être autrement.

Commentaire: Ne pas oublier qu'un des objectifs de la Covid est le trans-humanisme, donc la fin de l'humain sur la terre.


Syringe

Nadal est-il victime des effets secondaires du vaccin ?

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Ce dimanche 20 mars, Taylor Fritz s'est imposé face à Rafael Nadal lors de la finale du tournoi D'Indian Wells. L'américain inflige ainsi au champion espagnol sa première défaite de la saison. Rafael Nadal, joueur de tennis vacciné, justifie cet échec par son état de santé et décrit une douleur sur le côté gauche du haut du corps « comme une aiguille qu'on appuie ».