Covid


Microscope 1

Covid-19 - Le rôle des télomères quant au risque plus élevé de décès

Âge, obésité, diabète, hypertension... De nombreux facteurs de sévérité de l'infection au Covid-19 sont désormais bien identifiés. Toutefois, de nombreux patients ne répondant pas à ces critères peuvent aussi souffrir du virus et parfois sévèrement. Une équipe de chercheurs des Cliniques universitaires Saint-Luc et de l'UCLouvain en Belgique a investigué le rôle potentiel des télomères dans le cadre du Covid-19.
Télomères
© Inconnu
Les télomères sont des séquences d'ADN qui protègent l'extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire. Leur taille diminue en fonction de l'âge de la cellule et de l'individu. Lorsqu'ils deviennent trop courts, notamment chez les personnes âgées, les cellules entrent en sénescence — un phénomène proche de la mort cellulaire Ces structures jouent donc en quelque sorte le rôle d'horloge biologique cellulaire.

La longueur des télomères n'est toutefois pas la même pour tous les individus du même âge et dépend, entre autres, de certains variants génétiques. À côté d'un impact démontré sur la survenue de nombreuses maladies chroniques, un raccourcissement des télomères semble affecter les défenses contre les virus. On suppose que les individus dont les télomères sont plus courts épuisent plus rapidement leur stock de cellules immunitaires.

Biohazard

« Vaccin » contre le Covid : la mise en garde du Pr Perronne

L'agenda mercantile avance à marche forcée : quelques mois seulement après l'apparition « officielle » du Sras-CoV-2 (on en repère désormais des traces dès l'été 2019... fort loin de la Chine !), voici que les pharmas, à grand coups d'effets d'annonce et sous les acclamations diligentes de la presse qui semble avoir définitivement avoir perdu tout recul, prétendent nous vacciner à tour de bras dans les semaines et les mois à venir.
sdfgg
Euuuuhhh... Ceci pose tout de même un certain nombre de problèmes. D'abord parce qu'il ne s'agit en réalité non pas d'un vaccin mais d'une thérapie génique encore jamais expérimentée sur l'être humain. Qui aurait requis de cinq à dix ans pour être développée d'une manière qui respecte les protocoles de sécurité normaux. Et dont on ne comprend pas l'urgence au regard du taux de létalité du nouveau coronavirus, équivalent bel et bien à celui d'une grippe moyenne !

Commentaire: Lire aussi :


Sun

Sortez, respirez, prenez de la vitamine D, du zinc, marchez, vivez, tenez-vous dans vos bras.

Bonjour, Je suis Pascal Sacré, docteur en médecine, chirurgie et accouchements en Belgique depuis 25 ans. Anesthésiste, j'exerce la médecine de soins intensifs depuis 17 ans et ce n'est pas fini.
nhrygj
J'ai été licencié par un hôpital où je travaillais depuis 9 ans sans aucun problème, pour mes opinions et leur expression, par écrit. Pour la direction de cet hôpital, cette liberté fondamentale dans une démocratie est une faute grave.

Bullseye

SOTT Focus: Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu'à ce que l'an 2020 arrive

L'article publié par Daisy Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d'État mondial/ mondialiste actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.

Théorie conspirationniste
© Inconnu
Le Covid-19, c'est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n'y a pas de peur, il n'y a pas de Covid-19. La peur et l'incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d'un jour à l'autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d'inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l'establishment médical. La réponse au coronavirus relève d'une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l'esprit de nombre de gens, tandis qu'on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d'un point de vue scientifique s'enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l'impression d'être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l'humanité » des pires maladies infectieuses.

Laissons la parole à Daisy Luther, et nous reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.

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Vous vous souvenez de l'époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d'implants de puces RFID, de l'obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s'est avéré que ces théories du complot n'étaient pas si « délirantes » après tout.

Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis - NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.

Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l'année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l'année où nous avons enfin dit, ça suffit.

Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes... jusqu'à aujourd'hui, où elles deviennent bien trop réelles.

Clipboard

Propagande de la peur et mensonges à tous les étages

La Belgique s'enfonce désormais dans ce qu'il faudra bien finir par appeler par son nom, le terrorisme d'État. Les médias à la botte n'en finissent plus de publier des articles plus terrifiants les uns que les autres, afin de justifier les mesures toujours plus coercitives prises par le gouvernement.
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Nos libertés ne sont plus, et le peu qu'il nous reste de droits nous sera ravi sous peu, soyez-en sûr. D'ailleurs désormais les médias ne parlent plus de ce qui serait interdit, mais bien de ce qui est encore autorisé par nos mamamouchis omnipotents, omniscients, et si tellement préoccupés par notre protection. Vous le voyez, là, le petit glissement sémantique?

Dominoes

SOTT Focus: Vaccins anti-Covid, sûrs et efficaces ? Avis du Conseil Scientifique, de la HAS, ce qu'en a fait la Commission européenne

L'industrie pharmaceutique s'est donc déjà lancée dans la production de centaines de millions de doses de vaccins anti-Covid un peu partout dans le monde, dans le plus grand désordre. Peu importe que toute la communauté scientifique encore indépendante tire toutes les sonnettes d'alarme possibles, les firmes s'entêtent dans un productivisme démentiel simplement justifié par des messages publicitaires atterrants de nullité.

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Où sont leurs preuves d'efficacités? Quels résultats ont-t-elles obtenu en matière de biosécurité s'agissant de ces produits? Plongée dans l'enfer de l'appât du gain sans limite, bonne lecture.

Bad Guys

Meilleur du Web: Incroyable censure de l'État belge filmée en direct lors d'une conférence de presse du gouvernement — Vidéo

Le Nouveau Monde exige le « consensus ». Toute dissonance est soumise à censure. D'une manière ou d'une autre. Et celle-ci prend différentes formes en 2020. On a largement assisté à la décrédibilisation de personnes de premier plan, étiquetées complotistes. Une stratégie redoutable, bien rodée, qui fait mouche encore — de moins en moins — auprès des personnes qui ne s'informent qu'auprès des médias sous contrôle de la haute finance.
censure
© Inconnu
Nous vivons au quotidien les suppressions brutales de vidéos de la plateforme YouTube. Facebook est pas mal dans son genre aussi. Toutefois, dans cette vidéo, nous découvrons une forme surprenante de censure. Cette fois-ci, elle est directe, et empêche un représentant de la presse de formuler sa question normalement lors d'une conférence de... presse de son gouvernement. Assez troublant. En cas de censure de cette vidéo, vous pouvez allez directement sur la page de KAIROS - journal antiproductiviste pour une société décente.

Après plus de 7 mois d'interdiction, le gouvernement belge a tout fait pour que le journaliste de Kairos ne puisse pas accéder à la conférence de presse du 27 novembre.

Une fois dans le « bunker », grâce à sa persévérance et à son avocate, Alexander De Croo a vraisemblablement évité qu'il pose sa question. Alors qu'il insistait et demandait cinq fois la parole, Alexander De Croo l'a volontairement désigné en dernier : ainsi, la régie pouvait sciemment couper le micro et l'image, et donc le censurer.

La question interdite
« Des dizaines de milliers de chômeurs, une augmentation massive de suicides, des violences familiales exacerbées, des personnes mises à la rue, un décrochage scolaire massif ; divorces, alcoolisme, violences sociales, croissance des cas psychiatriques, perte de repère, chez les jeunes notamment, totalement incapables de se projeter dans l'avenir, étudiants du supérieur rivés devant des écrans toute la journée, en dépression, paupérisés par l'absence de jobs, des sans domiciles qui meurent encore plus nombreux... Afin d'évaluer le rapport coût/bénéfice des mesures politiques prises contre le Covid, quand comptabiliserez-vous les conséquences sociales, économiques, sanitaires de ces mesures ? Ne pensez-vous pas que les supposés effets bénéfiques de ces mesures sont contrebalancés par leurs conséquences dramatiques ? »
La vidéo :

Bulb

SOTT Focus: Pourquoi tout le monde semble-t-il avoir oublié comment fonctionne le système immunitaire ? Le « terrain », les nutriments essentiels, le Covid-19 et les vaccins

Le bombardement médiatique autour de la crise du Covid-19 omet étrangement toute mention du pouvoir du système immunitaire humain. Il est essentiel pour les personnes qui ont un esprit critique de regarder au-delà du vacarme et d'apprendre pourquoi un mode de vie sain et une approche nutritionnelle ciblée — que je défends passionnément depuis plus de 30 ans dans ma pratique — constituent en réponse au Covid-19 une stratégie à ce point efficace.
Virus Covid
© Inconnu
Microbe ou terrain ?

Cette question reprend le grand débat entre deux hommes de science célèbres, Louis Pasteur et Antoine Béchamp. L'essentiel du débat peut se résumer à cela : Les microbes (Pasteur) provoquent-ils les maladies ? Ou est-ce un terrain pauvre (Béchamp) qui permet aux microbes de s'implanter et de se propager à un rythme rapide ? En d'autres termes, l'exposition à un microbe signifie-t-elle que vous êtes destiné à « attraper » la maladie ou à être « infecté » ? Le microbe possède-t-il le pouvoir total de contrôler votre destin ? Ou la personne exposée est-elle un hôte réceptif ? Son système immunitaire est-il une machine bien réglée, ou est-il faible et insuffisant ? En d'autres termes, son niveau de résistance à l'exposition est-il élevé ou faible ? Voir mon récent post sur Facebook pour une explication plus détaillée de ce « Grand Débat » [en anglais - NdT].

Nous baignons dans une mer de micro-organismes

Les scientifiques ont déterminé qu'il existe approximativement :
  • 30 milliards de milliards de cellules dans un corps humain de taille moyenne ;
  • 40 milliards de milliards de bactéries sur et dans le corps humain ;
  • 380 milliards de milliards de virus sur et dans le corps humain ;
Ainsi, et à en juger par les chiffres, il semblerait que les virus soient de loin le plus grand nombre d'organismes présents sur et dans notre corps, quoique nous fassions pour les éviter ou les éliminer. Ils font partie de notre constitution.

Crusader

Meilleur du Web: Répression, phase 2 — L'institut Pasteur a déposé plainte en diffamation contre les réalisateurs du documentaire « Hold-up »

Tenu responsable de l'épidémie de coronavirus par des thèses dites complotistes depuis plusieurs semaines, l'Institut Pasteur passe à l'offensive. Le laboratoire français a — selon des informations de Checknews et LCI — déposé lundi dernier une plainte en diffamation contre Pierre Barnérias, le réalisateur du documentaire controversé Hold-Up.
Hold-Up le film censuré
Nul doute que l'Institut Pasteur ne laissera pas les « théories complotistes » ternir son image. Ce film controversé, dont des personnalités avaient fait la promotion sur les réseaux sociaux, défend la thèse selon laquelle le Covid-19 est une manipulation des gouvernants. Il existe pourtant un certain nombre de faisceaux de preuves qui permettent de croire pourtant que c'est le cas. Le documentaire accuse l'Institut d'avoir fabriqué le coronavirus « en insérant une séquence d'ADN de la malaria dans un virus peu dangereux ». Aurait-il tort ou raison ?

Rappelons néanmoins que dans une étude que nous avons traduit et publié à partir de l'article source publié lui dans bioRxiv le 31 janvier 2020, des scientifiques indiens ont trouvé dans 2019nCov des insertions semblables au SIDA qui ne sont pas présentes dans les autres coronavirus. Cela laisse penser que le virus pourrait être le résultat de manipulations génétiques.

Il n'empêche que l'Institut Pasteur a indiqué à LCI que
« L'extrait vidéo que l'on voit à partir de 1h 49 dans le documentaire Hold-Up et qui cite l'Institut Pasteur a été versé à un dossier plus large remis à la justice. »
Dans cette séquence, l'ancien pharmacien Jean-Bernard Fourtillan — qui a osé tester des patchs qu'il avait lui même conçus sur des malades atteints de Parkinson et Alzheimer sans autorisation de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament — affirme que le Covid-19 « a été fabriqué par l'Institut Pasteur ». Il appuie ses dires sur le dépôt en 2004 d'un brevet par l'Institut pour la recherche d'un vaccin contre le Sras, une autre forme de coronavirus qui a tué, selon Santé Publique France, 774 personnes entre 2002 et 2003 dans le monde.

Syringe

La Hongrie est le premier pays européen à choisir le vaccin russe Spoutnik V — L'Union européenne grince des dents

Alors que l'Union européenne accumule les contrats avec des laboratoires pharmaceutiques occidentaux — Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Sanofi-GSK, Pfizer-BioNTech et CureVac — la Hongrie, par ailleurs engagée dans un bras de fer sur le budget avec Bruxelles, a donc décidé de se démarquer de cette tendance qui prédomine au sein de l'UE.
Vaccin Spoutnik V
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Peter Szijjarto, le ministre des Affaires étrangères hongrois, s'est par ailleurs félicitée le 27 novembre dernier d'avoir reçu des échantillons du vaccin russe Spoutnik V pour lutter contre le Covid-19 : « Nous sommes le premier pays de l'Union européenne à recevoir un tel échantillon. »

Si dans les faits, l'approche pragmatique de Budapest consiste à garder sous la main plusieurs options pour sa campagne de vaccination, elle est loin d'être en phase avec Bruxelles. Il semble pourtant que les États devraient pouvoir choisir pour leurs populations, sans que cet aspect soit politique. Kirill Dmitriev, responsable du fonds souverain russe qui a permis le développement de Spoutnik V a déclaré :
« Les vaccins devraient rester en dehors de la politique et les pays devraient avoir le choix dans la manière de protéger leurs citoyens. »
Il a ajouté que la Russie était prête à partager les données avec l'Agence européenne des médicaments et qu'elle avait l'intention de rendre possible la production du vaccin en Hongrie et dans les autres pays de l'Union européenne qui le souhaitent. Une filiale du fonds souverain russe a également demandé un avis scientifique à l'Agence européenne des médicaments fin octobre, mais n'a reçu aucune réponse jusqu'à présent.