Les Maîtres du Monde
C'est du moins l'information révélée ce 16 mai de plusieurs sources fiables, dont le média hongrois DailyNewsHungary. En effet, à en croire ce média, le gouvernement de Viktor Orban a bloqué une aide de 500 millions d'euros destinée à aider l'Ukraine à se ravitailler en armes.
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Pfizer ne lâche rien. Mis sous pression, depuis deux ans, par les citoyens européens qui lui demandent de dévoiler le contenu des contrats de vaccins signés avec la Commission Européenne, le laboratoire américain ne compte pas céder et fait bloc pour empêcher que ces contrats de plusieurs milliards de dollars ne soient rendus publics. Ni en Europe, ni ailleurs.
Pour citer Dylan, qui aurait pu être un épigone de Boulgakov : « Cessons donc de parler à tort et à travers maintenant/l'heure se fait tardive ». Il est désormais évident que l'illusion d'un accord de « paix » en Ukraine est le dernier rêve humide des suspects habituels « incapables de passer un accord », toujours accros aux mensonges et au pillage tout en manipulant habilement des libéraux sélectionnés au sein de l'élite russe.
Trois ans après, ils obtiennent gains de cause après la décision de la justice de les dédommager à hauteur de 5 millions de dollars.
De ce conflit résultent des centaines de civils tués lors des affrontements armés entre l'armée et le puissant groupe paramilitaire des Forces de soutien rapide (FSR), qui regroupe plus de 100 000 hommes.
Cf. notre émission sur la guerre et le grand reset. Il pleut tout le temps, ajoute Antoine, et il fait dix degrés (Bourgogne). Macron va pouvoir rationner l'eau Manu militari. La fin de Twitter et leur euro numérique couronnent le Rien.
Les chiffres sont toutefois étonnants :
Au cours des six dernières décennies, le recours aux sanctions économiques par les puissances occidentales et les organisations internationales s'est considérablement accru. Au début des années 1960, moins de 4 % des pays étaient soumis à des sanctions imposées par les États-Unis, l'Union européenne ou les Nations unies ; aujourd'hui, cette proportion est passée à 27 %. L'ampleur est similaire si l'on considère leur impact sur l'économie mondiale : la part du PIB mondial produite dans les pays sanctionnés est passée de moins de 4 % à 29 % au cours de la même période. En d'autres termes, plus d'un quart des pays et près d'un tiers de l'économie mondiale font désormais l'objet de sanctions de la part des Nations unies ou des pays occidentaux.
Dans l'une des hypocrisies les plus choquantes de cette année, Charles III, roi d'Angleterre - considéré comme un fervent partisan de l'agriculture biologique et des causes environnementales - a donné sa sanction royale à une « innovation » biotechnologique [(New Breeding Techniques] qui permettra aux entreprises britanniques de modifier le génome des animaux et des plantes afin de créer de nouvelles espèces génétiquement modifiées et des « aliments » biotechnologiques).
En prenant cette mesure, Charles a commis un acte de trahison à l'égard de tous les agriculteurs de bonne foi, et en particulier des agriculteurs biologiques.
Cette proposition a été immédiatement relayée au Sénat par Richard Blumenthal (77 ans), Sheldon Whitehouse (67 ans) et Lindsey Graham (67 ans), respectivement sénateurs du Connecticut, du Rhodes Island et de Caroline du Sud.
Commentaire: Avec des fous au pouvoir, tout est possible. Et plus encore.
Commentaire: Terrible situation que les habitants de toute la planète ont vécu, et les Australiens en particulier. Nous avions tous les yeux braqués sur ce qui se passait en Australie, et les tous puissants, ceux qui ont décidé d'enfermer les gens illégalement partout, partout, ont utilisé les Australiens pour le spectacle de la tragique farce de la Covid, pour amplifier la peur, pour menacer le reste de la planète que ce qui se passait en Australie risquait de se passer aussi ailleurs.