© SputnikCivils dans le village libéré de Kafr Batna dans l'est de la Ghouta.
Alors que les dirigeants occidentaux attendaient impatiemment l'attaque chimique présumée pour justifier leur bombardement des sites loyalistes en Syrie, celle-ci n'a jamais eu lieu.
Et pour cause : ce sont les habitants de la Ghouta orientale qui l'ont fait avortée.
La date fatidique du 18 MarsLe site d'informations en ligne libanais
al-Ahed News a obtenu ces révélations de la bouche des habitants qui venaient de sortir de la Ghouta.
Son correspondant en Syrie les a rencontrés dans le centre d'hébergement qui leur a été aménagé à Al-Harjalat, au sud de Damas.
« Tous sont d'accord sur une seule version des faits : les terroristes de la localité de Hamouriyat et des autres localités voulaient réaliser une mise en scène chimique, en même temps de la tenue du Conseil de sécurité le 18 mars écoulé, mais les habitants ont rejeté l'idée, refusant d'être ses comparses », écrit
al-Ahed News, dans son édition de ce lundi 19 mars, rapportant les propos des gens qu'il a interviewés.
Commentaire: Touché ! Et d'une façon si brillante.
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