© InconnuCollin Powell, le 5 février 2003, devant le Conseil de Sécurité de l’ONU
L'erreur à répétition de la grande majorité grégaire des humains sensibles de cette planète est ce réflexe inconscient, pavlovien, de recours systématique aux émotions face à n'importe quel événement porté à leur connaissance.La technique est simple et fait appel aux fondamentaux de l'ingénierie sociale et aux mécanismes de fabrication du consentement désormais célèbres grâce à Noam Chomsky et Edward Herman (
La fabrication du consentement, Agone, 2008), mais aussi à Guy Debord et au mouvement situationniste avant eux. Citons les travaux de Walter Lippmann (
Public opinion, 1922) et du neveu de Freud, Edward Bernays (
Propaganda, 1928, traduction: Zones, 2007) dans les années 1920, sur l'ingénierie du consentement et la manipulation de l'opinion publique institutionnalisée, théories qui influenceront plus tard Joseph Goebbels et le régime nazi...
Maintenant que nous avons notre point Godwin, nous allons pouvoir entrer dans le vif du sujet.
Commentaire: La stratégie de la LICRA : accuser la victime ! Dieudonné n'a jamais agressé personne, il n'a pas de plaies « à panser », sinon les siennes. C'est lui, qui ne demande qu'à exercer son métier d'humoriste, qui, depuis des années, est attaqué (parfois physiquement), censuré, insulté, diffamé et harcelé. Son récent communiqué montre bien qui, dans cette affaire, est sincère et cherche véritablement la paix et la réconciliation, et qui, au contraire, veut la « guerre », et fait tout pour que la situation se dégrade. À qui profite cette stratégie du chaos ? Certainement pas à Dieudonné...