La Science de l'Esprit
Alors qu'une équipe de chercheurs étudiait les motifs de l'activité cérébrale chez des moutons atteints de la maladie de Huntington, ils ont fait une découverte étonnante qui pourrait offrir une nouvelle compréhension des mécanismes d'action de certains anesthésiques. En l'occurrence, c'est en administrant à leurs sujets de la kétamine, une substance synthétisée pour la première fois en 1962, qu'ils ont découvert une interruption complète de l'activité cérébrale chez ces derniers pendant plusieurs minutes, un phénomène qui, d'après eux, n'avait jamais été observé auparavant.
« Si l'efficacité d'un homme n'est pas guidée et régulée par un sens moral, alors plus il est efficace, pire il est, plus il est dangereux pour le corps politique. Le courage, l'intellect, toutes les qualités magistrales ne servent qu'à rendre un homme plus mauvais s'ils ne sont utilisés que pour son propre intérêt, avec une indifférence brutale aux droits des autres.
Il analyse pour nous cette obsession de la propagation de l'affect entre les individus pour mieux les surveiller et les faire soumettre.
Un monde entièrement stérilisé, promouvoir une vie sans microbe, ce qui, bien entendu, induit la nécessité de se laver les mains le plus souvent possible, de développer les gestes barrière et la distanciation sociale, le tout selon l'injonction connue : « pour votre protection » voilà bien l'objectif de l'oligarchie au pouvoir !
Répétées sur un ton macabre et ad nauseam, de telles recommandations et autres impératifs catégoriques de la même eau, soulignent bien ce qu'est, en vérité, la société de contrôle qui risque de s'imposer à tous et à tout un chacun. Qui risque, car à l'encontre de ce que croient les esprits chagrins, le pire n'est pas certain.
Cet aspect des choses ne peut être correctement expliqué par le langage ou la science. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l'existence des êtres spirituels puisse être directement vécue.
Rudolf Steiner était un philosophe, un éducateur et un spiritualiste autrichien. Au cours de sa vie, il a publié de nombreux livres et articles sur la science de la spiritualité. Il considérait le corps humain comme un réceptacle spirituel, ouvert à l'occupation par d'autres entités.
Pour lui, être conscient de ces forces, c'était avoir le pouvoir de rejeter leur influence négative. Demeurer inconscient de leur existence revenait à n'être qu'une feuille soumise à leurs vents, et la culture spirituelle était la clé pour développer la conscience de ces forces.
« [...] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de remarquer où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir où ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d'être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n'est pas modifiée du fait quel'homme les connaît ou ne les connaît pas. »
~ Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres
Des troubles civils majeurs, des protestations et des émeutes ont commencé à fomenter aux États-Unis le 28 mai, et dans la nuit du 29, et les désordres se sont étendus à plus de trente villes américaines, marquant le plus important phénomène de violence que beaucoup d'entre nous n'aient jamais vu.
Bien que ces événements soient profondément enracinés dans les tensions sociales qui se sont accumulées depuis des décennies, il se trouve que le timing des récentes flambées de désordres coïncide avec une nouvelle vague d'activité solaire, dont la plus forte jamais observée en trois ans.
Les éruptions solaires sont des efflorescences de rayonnement intense qui proviennent de la libération de l'énergie magnétique associée aux taches solaires. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) classe les éruptions solaires en cinq catégories, de la plus faible à la plus forte : A, B, C, M et X. Chaque catégorie est dix fois plus intense que la précédente. Dans chaque catégorie, une éruption est classée de 1 à 9, selon sa force, bien que les éruptions de classe X puissent aller au-delà de 9. Selon la NASA, l'éruption solaire la plus puissante enregistrée était une X28 (en 2003).Spaceweather a le 29 mai publié un rapport :
[Source]
Le Soleil entre à nouveau en éruption — Aujourd'hui, le Soleil a produit sa plus forte éruption solaire depuis près de trois ans. L'explosion de classe M provient d'une tache solaire issue d'un nouveau cycle, et cachée juste derrière la branche nord-est du Soleil. Ce week-end, le site de l'éruption se tournera vers la Terre, ce qui signifie que si les éruptions continuent, celles à venir pourraient être capables de provoquer une perturbation géomagnétique. [Le week-end est passé et il y a eu le 2 juin, une B2,9 et une B1,5 - NdT].
Visitez le site Spaceweather.com pour les mises à jour.
Leur tâche : contrôler le respect des consignes de « distanciation sociale » et porter assistance aux personnes les plus faibles dans la phase dite « 2 » de « déconfinement » contrôlé et de « retour progressif à la normale ». De quoi déclencher la fureur de Fulvio Grimaldi, le grand imprécateur.
Dehors les morveux ! Ou dedans !
On ne nous a offert que trop d'occasions de parler de la guerre d'extermination contre les vieux, conduite par les apôtres du Messie Coronavirus, soutenues par l'évidence aveuglante du peu de considération qu'on a pour ces individus inutiles, coûteux, improductifs, souvent grincheux et, surtout, dépositaires de mémoires gênantes. Nous en avons eu beaucoup moins de mesurer le degré d'hostilité mis en œuvre pour se libérer d'une autre catégorie d'humains coûteux, parasitaires et souvent insolents : les morveux.
Ce n'est pas la première fois, si nous partons de l'épisode du massacre des innocents d'Hérode, que nous ont refilé les auteurs de la Bible, et qu'on imite sans arrêt, jusqu'à l'uranium sur les gosses irakiens et serbes, jusqu'au phosphore sur les gamins de Gaza, aux massacres de Daech en Syrie, aux sanctions contre les enfants d'un peu partout. Mais une escroquerie aussi colossale que celle infligée par une meute de loups ( je demande pardon aux vrais loups ) à un troupeau de moutons déconfinés ( je demande pardon aux vrais moutons ), il me semble qu'il n'y en a eu qu'une fois, il y a environ 2 000 ans, quand, au lieu de la pensée multiple, tolérée, productivement et heureusement débattue, on imposa par la tromperie, la ruse et une violence sanguinaire comme jamais auparavant dans l'histoire humaine, la pensée unique, avant même que le petit humain ait une pensée...
Vais-je avoir suffisamment de clés de lecture pour comprendre et apprécier le film ? ... Avec Muna Moto, je vais enfin découvrir que les chefs d'œuvres dépassent la question de la nationalité de l'art. Ils transcendent les frontières culturelles en touchant au mythe.
On dirait que beaucoup de monde en France s'est senti coupable pendant l'épidémie. Les médias grand public qui adorent et encouragent à longueur de journée ce sentiment avilissant à coups de : « Regrette ! Condamne ! Dénonce ! », nous en donnent quelques exemples.
Pas responsables mais coupables
Des sportifs se sentent coupables d'avoir organisé et/ou participé à un match de foot autorisé : Coronavirus - Valence : la culpabilité de Dani Parejo
Des confinés, de ne pas se montrer assez reconnaissants de l'offre culturelle offerte généreusement (La culpabilité culturelle des confinés) ou de bronzer et écouter de la musique au lieu de participer à l'effort de guerre (De la culpabilité en temps de coronavirus).
Des parents, de ne pas réussir à faire l'école à leur grands enfants tout en faisant du télétravail et en s'occupant des petits (Coronavirus. École à la maison : « Pas de pression ni de culpabilité »)
Des étudiants en médecine d'avoir attrapé le virus en travaillant sans protection dans les hôpitaux pour un euro de l'heure, et de l'avoir transmis à leur parents sans le le savoir, vu qu'il n'y avait pas plus de tests que de masques et de blouses (Coronavirus : entre «culpabilité» et «psychose», récit d'une famille confinée.
L'auteur de Jalons, le Suédois Dag Hammarskjöld ( 1905-1961 ), prix Nobel de la paix à titre posthume, n'était ni empereur, ni prince, mais secrétaire général de l'ONU entre 1953 et 1961, date de son décès dans un accident d'avion à la frontière du Congo ( actuelle République démocratique du Congo ) et de la Rhodésie du Nord (actuelle Zambie), à l'époque de la sécession du Katanga.
Présenté dans le cadre d'une nouvelle édition introduite par le professeur Carlo Ossola, Jalons est un ouvrage difficilement classable : il ne s'agit ni d'un journal intime, ni d'une suite de notes politiques, mais plutôt d'un ensemble de textes (poèmes, allégories, courts récits, aphorismes) rédigés entre 1925 et 1961 et qui, rassemblés, donnent une idée de la formation intellectuelle et spirituelle, mais aussi des convictions et des inquiétudes du diplomate humaniste.
Bon, il faut parler du fascisme. Pas de n'importe quel type de fascisme. Un type de fascisme particulièrement insidieux. Non, pas le fascisme du début du 20e siècle. Pas le parti national fasciste de Mussolini. Pas le NSDAP d'Hitler. Pas le fascisme franquiste ni aucun autre type de mouvement ou de parti fasciste organisé. Pas même les redoutables nazis du Tiki-torch.
C'est de l'autre type de fascisme dont nous devons parler. Le genre qui ne vient pas dans la rue en agitant de grands drapeaux néo-nazis. Le genre qu'on ne reconnaît pas quand on le regarde. C'est comme cette blague sur les poissons et l'eau... le poisson ne reconnaît pas l'eau parce qu'il nage dedans. L'eau l'enveloppe. Le poisson en est inséparable. Il la respire à l'instant où il naît au monde.
Nous l'avons appris de nos parents, qui l'ont appris de leurs parents. Nos enseignants nous l'enseignent à nouveau à l'école. Il est quotidiennement renforcé au travail, dans les conversations avec les amis, dans nos familles et dans nos relations amoureuses. Nous l'absorbons dans les livres, les films, les émissions de télévision, les publicités, les chansons pop, les informations du soir, dans nos voitures, au centre commercial, au stade, à l'opéra... partout, car il est littéralement partout.
Pour nous, cela ne ressemble pas à du fascisme. Le fascisme ne ressemble au fascisme que lorsque vous lui êtes extrinsèque ou que vous le regardez de façon rétrospective. Quand on est dedans, le fascisme ressemble à la « normalité », à la « réalité », au « c'est comme ça ».