Santé et Bien-être
De plus, les plages de référence fournies dans les rapports d'analyses de laboratoire sont souvent trompeuses, car ce qui est considéré comme « normal » n'est pas nécessairement idéal pour une santé optimale. Alors, quels tests de laboratoire valent vraiment la peine d'être effectués chaque année, et quelles sont les plages de référence idéales que vous recherchez ?
Dans cet entretien, Marc Menant commence par dénoncer cette « médecine qui, dans sa toute-puissance, estime que le savoir qui est le sien est une vérité indubitable, une parole magistère », avant de s'attaquer au cursus universitaire des étudiants en médecine, dont il pointe les lacunes. D'une part, le journaliste regrette l'absence de réflexion critique sur les enseignements :
« Quand on est étudiant en médecine, il y a tellement à apprendre qu'on n'a pas l'opportunité de s'interroger sur ce qui vous est proposé comme enseignement. Vous êtes obligés de l'imbiber et puis de recracher ce qu'on vous a demandé. Donc on a éteint le libre arbitre. »D'autre part, il s'étonne du contenu des programmes. L'exemple le plus patent qu'il reprend : la quasi-absence de formation en nutrition :
« Or, vous ne connaissez pas un membre médical sérieux qui vous ne vous dira pas : "Ce que vous mangez pourra éventuellement vous conduire à la maladie". »
Chacune de ces paillettes est constituée d'une colonie de bactéries. Et pour être plus précis, ce sont des cyanobactéries, cyano pour bleu, vu que certaines sont de couleur bleu-vert. Ces bactéries vivent dans l'eau et font de la photosynthèse, comme les végétaux ! Donc elles consomment du CO2 pour produire de l'oxygène.
Ce document propose une compréhension des modes d'influence de l'industrie du médicament sur la décision publique en prenant appui sur la gestion aujourd'hui correctement documentée de la grippe A(H1N1) et en prolongeant la réflexion sur la gestion de la pandémie de covid. Il propose cinq pistes pour une réappropriation de la santé par les autorités publiques dans un régime démocratique.
La protéine spike des « vaccins » Covid subsiste chez l'être humain pendant au moins quatre mois après l'injection. Il s'agit d'une toxine qui perfore directement les membranes cellulaires. Elle provoque des lésions mitochondriales dans les cellules et une maladie de type Covid chez les souris.
Mais se retrouve-t-elle chez l'être humain à des concentrations qui créeraient ces problèmes ? Et les modifications apportées aux protéines spike du « vaccin » sont-elles susceptibles de réduire cette toxicité ?
Cet article est le premier d'une série dans laquelle je décrirai les mécanismes potentiels de la toxicité de la protéine spike et des effets secondaires des « vaccins », et je présenterai des mesures que les « vaccinés » peuvent prendre pour se protéger contre ces effets, voire en guérir. Dans ce premier article de la série, nous examinons la protéine spike en tant que toxine capable de percer des trous minuscules. Tout d'abord, quelques informations essentielles.
Afin d'avoir une vision plus juste de la situation, Réinfo Covid Québec a décidé de présenter chaque lundi des statistiques comme en Angleterre et en Écosse avec les données des 28 derniers jours.
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