Le docteur Bryan Ardis nous fait part de ses recherches quant au Remdésivir, présenté par Anthony Fauci comme un « médicament » soi-disant « miracle » qu'il a imposé comme étant le soi-disant « seul remède » pour soi-disant guérir du Covid-19 dans les hôpitaux des États-Unis. Le docteur Bryan Ardis évoque aussi les recherches qu'il a menées sur le protocole sanitaire en général et surtout sur la FDA qui savait TOUT des effets indésirables des injections expérimentales nommées « vaccins » anti-Covid-19 avant même que les produits ne reçoivent ne serait-ce qu'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.
Il parle aussi d'une nouvelle maladie qui a été repéré chez les enfants vers avril 2020. Il s'agit du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique ou PIMS — MIS-C en anglais — celui-là même qu'ils ont appelé la maladie de Kawasaki soi-disant en lien avec le Covid-19. Selon le docteur Ryan Ardis, dès que les adultes ont commencé à être injectés, plusieurs centaines d'enfants avaient développé cette maladie — avant même qu'aucun d'entre eux ne soit injecté, et au moment où la vidéo a été enregistrée, en juillet 2021, au moins 4 000 de ces enfants avaient développé un syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique.
Les opérations de sauvetage ont été entravées par les routes et les ponts endommagés, et les efforts supplémentaires ont été stoppés par les inondations causées par la tempête tropicale Grace. Les derniers rapports font état de plus de 2 200 morts et 12 200 blessés.
Ida, le cinquième ouragan le plus puissant à frapper les États-Unis, a dévasté la côte de la Louisiane, causant des dégâts considérables dans les grandes villes comme celle de la Nouvelle-Orléans. Des vents violents et des pluies diluviennes, des chutes d'arbres et des inondations ont endommagé les infrastructures de base. Un million de foyers et d'entreprises se sont retrouvés sans électricité, et plus de 600 000 personnes n'avaient pas d'eau courante. Au total, l'ouragan a causé 50 milliards de dollars de dégâts.
Plus de 1 100 maisons ont été endommagées en Corée du Nord, des milliers de personnes ont été évacuées et des fermes et des routes ont été emportées après plusieurs jours de pluies diluviennes et d'inondations. Les autorités s'attendent à un impact négatif sur les approvisionnements alimentaires en raison des dégâts importants subis par les cultures.
Après avoir obtenu quatre diplômes du MIT (B.S. en biophysique, M.S., E.E., et Ph.D. en génie électrique et informatique), Stephanie Seneff a mené des recherches sur les réseaux à commutation de paquets, la modélisation informatique du système auditif humain, le traitement du langage naturel, les systèmes de dialogue parlé et l'apprentissage d'une seconde langue. Spécialisée dans la modélisation et l'analyse du système auditif humain pour améliorer la communication entre humains et ordinateurs, elle fait des recherches et publie également sur des sujets liés à la biologie et à la médecine.
Nous ajoutons que Stephanie Seneff a écrit un livre Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l'environnement » qui n'a pas été traduit en français - NdT] ou Le Printemps silencieux de notre temps.
À noter aussi que depuis que les articles du Dr Joseph Mercola sont supprimés de son site Web après 48 heures, tout comme certaines de ses vidéos d'ailleurs, il reste malgré tout très souvent possible d'en trouver des Pdfs constitués par des lecteurs avisés — voir notre article consacré à ce qui précède Chasse aux sorcières : victime de menaces, le Dr Mercola est contraint de SUPPRIMER le contenu entier de son site Web - le fruit de 25 années de travail réduit en fumée.
La transcription en anglais de la vidéo (elle aussi « disparue » de mercola.com) qui fait l'objet du présent article peut être consultée ICI au format Pdf. La vidéo en anglais qui dure presque une heure et demie a également été sauvegardée sur Rumble ICI et sur BitChute ICI ; les deux sont inclues à la fin de l'article.
La personne qui a sauvegardé cette vidéo sur Rumble en donne la présentation suivante :
« Il s'agit de l'une des interviews les plus importantes jamais réalisées, qui passe au crible les aspects génétiques et microbiologiques des [soi-disant -NdT] « vaccins » anti-Covid-19, ainsi que les informations artificielles et génétiquement modifiées qui sont [par leur biais - NdT] transmises dans le corps humain ; de même, [nous verrons que - NdT] la transcriptase inverse, bien plus courante dans notre organisme, permet l'intégration d'ARN artificiels dans le génome humain.Voici donc la traduction française de l'interview menée à la mi-mai 2021. Pour des raisons pratiques et pour gagner du temps, nous avons pris le parti de laisser le terme « vaccin » utilisé par le docteur Joseph Mercola et le professeur Stephanie Seneff. Il est bien entendu qu'il ne s'agit pas d'un « vaccin » stricto sensu, mais bien d'une expérimentation génique nommée « vaccin » pour soustraire de l'esprit des populations que cette expérience constitue une pratique illégale, à tout le moins.
Ils jouent à Dieu — et ces [soi-disant - NdT] « vaccins » anti-Covid-19 sont un moyen d'y parvenir.
En termes de maladie, c'est littéralement comme ouvrir une boîte de Pandore. Mais dans cette vidéo, on vous explique le contexte scientifique et médical de chaque composant, le pourquoi et le comment. Les dangers potentiels sont gravitationnels à tous les niveaux d'un point de vue médical — ils sont équivalents à une arme biologique.
Bien que cette interview utilise de nombreux termes scientifiques, je vous invite à l'écouter, car elle aborde littéralement les aspects les plus fondamentaux des [soi-disant - NdT] « vaccins » anti-Covid-19, l'intégrité biologique humaine et les conséquences négatives, voire les dommages pour la vie. Et nous le voyons déjà chez de nombreuses personnes...
Le contenu original n'existe plus chez Mercola, et est difficile à trouver ailleurs. »
Accrochez-vous et bonne lecture !

Sources : https://web.archive.org/web/20080415035750/
http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/ccdr-rmtc/97vol23/23s4/23s4b_f.html
Comme partout ailleurs, nous assistons au Canada à la valse des confinements, déconfinements, re-confinements, obligation du port du masque, abandon de cette obligation, retour de cette obligation... Bref les Canadiens sont de plus en plus confrontés à des mesure liberticides, des restrictions, des contraintes et des obligations instituées sous la menace.
À New York, dans un futur pas très lointain, une peste ravage la population et fait des milliers de victimes. Pour arrêter la propagation de la maladie, le gouvernement regroupe les personnes contaminées dans des camps et les marque de la lettre P.Le fléau en question est un virus du type HIV, et nous sommes dans les années où ce virus commençait à être connu et à susciter la peur au sein des populations.
À l'époque, nous pouvions dire que ce n'était qu'un film et que cela ne pourrait jamais arriver dans notre monde moderne.
Puis vint le Covid-19 et toute sa panoplie de mesures liberticides, de restrictions et de contraintes.
Au Canada, ce film de 1993 est en train de devenir la réalité de 2021. Voici ce que le gouvernement du Canada publiait sur son site en date du 13 août 2021 :
On va voir quelle est l'idéologie derrière tous ces travaux de recherche dont le caractère scientifique reste à démontrer. Une idéologie toujours présente en filigrane dans le discours ultra libéral, et plus que jamais d'actualité.
Note des éditeurs : A priori, l'émission avec Ariane Bilheran et Akina à laquelle l'auteur fait référence ci-dessus est la suivante :La sociologie comme outil de gestion de la société
Nous mettons aussi à disposition de nos lecteurs la même vidéo sur Odysee au cas où YouTube censure la première :
Le contrôle des masses et de l'esprit des individus n'est pas nouveau : les religions par exemple s'en sont fait une spécialité depuis des siècles et déjà Platon allait sur ce terrain. Mais la formalisation de ce qui est devenu une véritable discipline "scientifique" remonte à l'entre-deux guerres avec les travaux de la Tavistock Clinic, en Grande-Bretagne.
1921 : La Tavistock Clinic
Avant les nazis, le concept de contrôle mental a été élaboré par la Tavistock Clinic créée en 1921. A cette époque de nombreuses cliniques spécialisées traitaient les adultes et les enfants, et la Clinique Tavistock (sous le nom de Tavistock Square Clinic for the Treatment of Functionnal Nerve Disorders ) s'est spécialisée dans le traitement précoce des enfants.
L'objectif était donc de traiter — et non soigner, un mot absent des études et rapports de l'époque — l'humain (enfant comme adulte mais avec des départements séparés) via la médecine, la psychologie, la sociologie en même temps. Une approche novatrice qui s'inscrivait dans le courant de pensée eugéniste, sur lequel on va revenir dans cet article.
Les premiers vice-présidents honoraires de la clinique étaient des gens aussi réputés que Sigmund Freud, qui était alors en Angleterre, HG Wells, Carl Jung[1], Cyril Burt, Julian Huxley et quelques autres.
La clinique Tavistock qui disait faire de la « nouvelle psychologie » issue principalement des théories de Karl Jung et Freud a été créée en 1921 par le psychiatre Hugh Crichton-Miller, qui a dirigé par exemple la Société Royale de Médecine ou la Société Britannique de Psychologie dans les années 30, et par Cyril Burt qui a été en contact avec les eugénistes dès ses études à Oxford et a notamment travaillé sur le caractère « héréditaire » du QI [2].
Commentaire: Voir aussi nos articles liés :
- Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
- Eugénisme et contrôle de l'humanité — Les plans des élites sont purement et simplement démoniaques
- La Fabian Society et la doctrine pour le Nouvel ordre mondial
- Comment l'impensable redevient pensable. Eric Lander, Julian Huxley et le réveil de monstres endormis
- Les dix étapes d'un génocide
Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l'auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n'auraient pas déjà fait l'objet de publications antérieures — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu'il articule tous ces aspects d'une manière qui donne à voir l'image de l'agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l'être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l'auteur connecte les points.Le déploiement mondial des [soi-disant - NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d'un programme bien plus vaste qui englobe l'eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d'institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.
Bonne lecture.
En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l'ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d'utilisation de l'ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l'article indique que :
« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l'ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l'ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l'administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l'utilisation de l'ARN comme médicament. »L'un des chercheurs du Salk Institute cités dans l'article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses - NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream - NdT] pour avoir attiré l'attention sur les dangers possibles des [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu'il n'existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d'ARNm que l'homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu'il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.
Du point de vue politique, à partir des velléités impériales d'Olivier Cromwell (1599 - 1658), ce qui deviendra l'empire britannique a étendu son emprise sur le monde via le développement du système des banques centrales, du parlementarisme représentatif et du droit anglo-saxon (qui tourne autour des seuls axes commerciaux et maritimes). Il faut immédiatement rappeler que ce « droit anglo-saxon » s'était émancipé du principe de droit continental à partir de 1531 (naissance de l'Église anglicane sous le règne du Roi Henri VIII), transformant sa vocation initiale, qui était d'organiser les conditions de la vie en commun, en « arme de contrôle des populations » aux mains des puissants.
Olivier Cromwell a initié le principe de Commonwealth, sorte de République commerciale universelle rattachée à la Couronne en utilisant sa boîte à outil faite d'anonymat, d'opacité, de théâtre politique (via le parlementarisme dit représentatif), afin d'établir les ferments de ce qui deviendra (est d'ores et déjà devenu !) l'hégémonie capitalistique et apatride de la haute finance anglo-saxonne. Précisons immédiatement que c'est donc bien le modèle capitalistique hollando-britannique qui s'est imposé, aux dépens du modèle rhénan de la cogestion et de ce qui aurait pu devenir le modèle français de la codécision (la participation).
C'est précisément ce rapport de force politique qui a généré l'obsession des tenanciers économiques à imposer une nouveau modèle impérial appelé « Gouvernement mondial » afin de réduire drastiquement l'humanité et de mettre en esclavage les rares survivants. Cet esclavage prendra la forme de la fusion des identités biologique et numérique, c'est-à-dire du contrôle des moindres actes et pensées des Hommes, ce qui n'a rien de commun avec toutes les tyrannies que nous avons historiquement connues.
Note des éditeurs : L'ouvrage de Nissim Amzallag, La Réforme du Vrai, est particulièrement éclairant sur ce qui précède mais aussi sur ce qu'il est advenu de la science depuis quatre siècles, cette « autorité d'une idéologie maquillée en savoir ».
Pourquoi parler de science ? Parce que c'est cette même « science » qui, depuis plus de quatre siècles, a permis de définir et d'asseoir les décisions prises quant à la route que nous avons suivie depuis, que ce soit en ce qui concerne la finance, l'économie, le commerce, les politiques, les guerres, la recherche, la médecine, le droit, les lois, etc. En lisant l'ouvrage, surtout si l'on a acquis au préalable des connaissances quant à la Réalité du monde dans lequel nous vivons, on ne peut que constater que TOUT est lié.
Ce sont ces mêmes décisions prises en s'appuyant sur cette « science idéologique » qui ont tracé la voie vers le globalisme devenu aujourd'hui une réalité, globalisme pour un contrôle absolu et un pouvoir total auxquels aspirent depuis plusieurs siècles les élites cachées au sein de la perfide Albion, aidés par leurs cousins d'outre-Atlantique et leurs plus proches atouts disséminés dans le monde entier.
Note des Éditeurs : Ariane Bilheran — philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l'étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme — a commencé à écrire des articles qui relatent les « Chroniques du totalitarisme », celles qui témoignent du temps totalitaire que nous vivons. Nous avons publié les trois premières parties réunies en un seul article que vous pouvez retrouver ICI. Nous publions aujourd'hui la trilogie suivante des travaux d'Ariane Bilheran — Ô Combien fondamentaux pour comprendre le monde dans lequel nous vivons, à l'instar — entre autres — de l'ouvrage de Andrew Labczewski, La ponérologie politique — Étude de la genèse du mal appliqué à des fins politiques.
Nos lectrices et à nos lecteurs pourront aussi se référer à cet autre article d'Ariane Bilheran que nous avons publié en juin dernier et qui est constitué de trois parties réunies, Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l'aliénation collective.
Un autre article, fondamental en ce qui concerne les mécanismes du totalitarisme et de la psychopathie, a par ailleurs été traduit par l'équipe éditoriale française de Sott.net : La psychopathie et les origines du totalitarisme.
Bonne lecture !
« En réalité il n'avait rien fait. Il s'était contenté d'obéir aux ordres ;4 — L'apogée paranoïaque
Depuis quand est-ce un crime d'obéir aux ordres ?
Depuis quand est-ce une vertu de se rebeller ?
Depuis quand serait-ce de la décence de préférer la mort ? »
~ Hannah Arendt, « Culpabilité organisée et responsabilité universelle », in Humanité et Terreur
Le corps dans le système totalitaire : l'apogée paranoïaque
Dans l'hypocondrie délirante de la paranoïa, la maladie est partout, vécue comme dangereuse, mortelle, ennemie du vivant. Le malade est opposé au sain, comme l'impur au pur: ordre est donné d'éliminer (et avant cela, d'« évincer » pour reprendre le mot de Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation Nationale en France, concernant les enfants non vaccinés) la partie du corps social désignée comme impure.
L'impureté est à traquer par la terreur et des méthodes radicales : la fin justifie les moyens. C'est la raison pour laquelle la « terreur est constitutive du corps politique totalitaire, tout comme l'est la légalité pour le corps politique républicain. » (H. Arendt). On pourrait tout autant dire qu'en régime totalitaire, l'illégalité est force de loi.
La magie du 11-Septembre
James Hepburn a conclu son livre Farewell America de 1968 par ces mots :
« L'assassinat du président Kennedy était l'œuvre de magiciens. C'était un tour de scène, avec des accessoires et de faux miroirs, et quand le rideau est tombé, les acteurs et même le décor ont disparu. »[1]Le 11-Septembre fut aussi un tour de passe passe de magiciens — la même compagnie, je crois. Ils n'ont pas seulement fait disparaître les plus hauts gratte-ciel de New York dans un nuage de fumée avec le mot magique « Oussama Ben Laden ». Ils ont également fait apparaître puis disparaître des avions. Pas seulement l'UA93, englouti par la terre, ou le AA77, vaporisé dans le Pentagone. Je parle aussi de l'UA175, qui s'est soi-disant écrasé sur la tour sud (laissons de côté l'AA11, dont l'unique image fantomatique a été capturée de manière surnaturelle par les frères Naudet deux fois récompensés aux Emmy Awards).
Commentaire: voir aussi les articles de Laurent Guyénot que nous avons déjà publiés :
- Entretien avec Laurent Guyénot - John F. Kennedy et l'État profond
- Conférence de Laurent Guyénot à Genève — « Israël et le double assassinat des frères Kennedy »
- 11-Septembre : Inside Job ou Mossad Job ?
- Kennedy, le lobby et la bombe
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