Il s'avère que tous les scientifiques et les médecins qui ont insisté sur le fait que le Molnupiravir était « extrêmement sans danger » — il faut oser quand même — ne s'appuient finalement pas vraiment sur la « science ». En effet, selon un rapport publié jeudi par Barron's, d'autres scientifiques craignent que le médicament ne provoque des cancers ou des malformations congénitales. Autant pour le supposé « formidable niveau de sécurité » du médicament, comme l'a affirmé le Dr Scott Gottlieb dans une interview le jour où Merck a rendu la recherche publique.
En dépit des avertissements émanant de plusieurs scientifiques selon lesquels son nouveau — pas si nouveau, voir en fin d'article l'historique de la molécule — « médicament anti-Covid-19 » pourrait avoir des effets secondaires très dangereux, comme des cancers et des malformations congénitales, Merck a officiellement soumis à la FDA sa pilule pour approbation. Si elle est approuvée — et tout porte à croire qu'elle le sera — ce serait la première pilule antivirale pour « traiter le virus ».
Les États des côtes est et ouest de l'Inde ont été soumis à des records de précipitations et de crues soudaines. Au Gujarat, 1,6 million d'habitants ont été concernés et 7 000 ont été évacués. À Odisha, les pluies diluviennes ont affecté 2,3 millions de personnes dans 4 964 villages, 7 500 maisons ont été endommagées et environ 130 000 hectares de terres agricoles ont été détruits.
La tempête Ida a entraîné des pluies torrentielles, des crues soudaines, de la grêle et des tornades dans tout le nord-est des États-Unis, ce qui a provoqué la mort de dizaines de personnes et engendré des dégâts considérables. Les villes de New York et du New Jersey ont été impactées par des précipitations records, et des habitants se sont retrouvés piégés dans des sous-sols et des voitures inondés.
Accrochez-vous : ça décape.
« Les concerts, je ne souhaite pas en faire tant que le pass sanitaire est en vigueur. »
Note des éditeurs : Toutes les mesures appliquées dans le monde depuis 2020, y compris la vaccination obligatoire, sont légales en vertu du Règlement sanitaire international de 2005, signé par 196 pays.
Vous trouverez ci-dessous un article du Dr Urmie Ray BA, MA, Mmath, Ph.d. Cantab, publié sur le site Web de Principia Scientific International, une association d'intérêt communautaire à but non lucratif légalement enregistrée au Royaume-Uni en tant que société constituée à des fins caritatives. Principia Scientific International est une communauté autonome de scientifiques impartiaux du monde entier qui délibèrent, débattent et publient des réflexions de pointe sur un éventail de questions sans idée préconçue.
En attente d'un traité international habilitant l'OMS
Du 29 novembre au 1er décembre 2021, les États membres se réuniront en session spéciale avec l'OMS pour discuter et éventuellement signer un nouveau traité sur la préparation et l'intervention en cas de pandémie. Cette décision, prise en mars 2021, est soutenue par 26 nations, dont l'Australie, le Canada, l'Islande, la Norvège, la République de Corée, l'Afrique du Sud, l'Ukraine, le Royaume-Uni, les États-Unis, l'Uruguay et les États membres de l'Union européenne[1]. L'absence de la Russie, de la Chine et de l'Inde parmi ces 26 pays mérite d'être soulignée. Le Règlement sanitaire international (2005)[2] signé par 196 pays donne déjà aux États le droit légal de :
- revoir l'historique des déplacements dans les zones touchées ;
- examiner les preuves de l'examen médical et de toute analyse de laboratoire ;
- exiger des examens médicaux ;
- examiner les preuves de vaccination ou d'autre prophylaxie ;
- exiger une vaccination ou une autre prophylaxie ;
- placer les personnes suspectes sous observation de santé publique ;
- mettre en place une quarantaine ou d'autres mesures sanitaires pour les personnes suspectes ;
- mettre en œuvre l'isolement et le traitement si nécessaire des personnes affectées ;
- mettre en œuvre la recherche des contacts des personnes suspectes ou affectées ;
- refuser l'entrée des suspects et des personnes concernées ;
- refuser l'entrée des personnes non affectées dans les zones affectées ; et
- mettre en œuvre un filtrage de sortie et/ou des restrictions sur les personnes des zones affectées.
« un état ou une condition au cours duquel des mesures sont appliquées par une autorité sanitaire à un ... moyen de transport ou conteneur, pour empêcher la propagation de maladies, de réservoirs de maladies ou de vecteurs de maladies de l'objet de la quarantaine. »[3]
On peut considérer ce document comme l'analyse et le résumé les plus importants de ce qui se passe sur la planète, où ces mondialistes génocidaires entreprennent des meurtres de masse à une échelle sans précédent qui dépasse l'entendement. Nous sommes dans une guerre contre le mal, dont l'objectif principal est le contrôle et la mort.
Commentaire: Pour en savoir plus sur le Dr Zelenko, lire nos articles :
- A New York le Dr Zelenko traite 500 patients avec le protocole hydroxychloroquine + zinc : Zéro décès, Zéro hospitalisation, Zéro intubation
- Injections de produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 — Le Dr Zelenko met en garde contre un potentiel génocide planétaire !
Les banques centrales s'inspirent du modèle du bitcoin et préparent la création de leurs propres « monnaies numériques ». En supprimant tout ce qui reste de vie privée, en accordant un contrôle total sur chaque transaction, et même en limitant les options du citoyen lambda quant à la manière dont il souhaite dépenser son argent.
Dès lors que le bitcoin et d'autres crypto-monnaies ont fait leur apparition et qu'elles ont été présentées comme un moyen d'échange indépendant et alternatif qui échappe au statu quo financier, il ne fallait pas sortir de Saint Cyr pour comprendre que cette nouvelle alternative allait assez rapidement être absorbée, modifiée et redéployée au service de l'État.
Intégrer la « Monnaie numérique de Banque centrale » : la réponse des dominants au bitcoin.
Pour ceux qui n'en ont jamais entendu parler, les « Monnaies numériques de banque centrale » sont exactement ce qu'elles semblent être, une version numérisées de la Livre, du Dollar, de l'Euro, etc., émises par les banques centrales.
Ici, la frontière, entre le vivant et le non-vivant, s'estompe, d'abord sur le plan de la forme et au niveau juridique, puis matériellement, au niveau du réel économique et politique. Actuellement, les brevets s'étendent au biologique lui-même. Le vivant devient un pur objet.(1) L'impératif de différenciation est dès lors radicalement mis en échec. La logique de l'altérité est rompue par le retour à l'Un primitif, à une nouvelle image de la déesse-mère, qui résulte ici de l'accouplement du biologique et de l'informatique.
Qui voudrait ne serait-ce que le concevoir ? Après tout, ceux qui croient les articles de presse et les reportages télévisés sont certains d'être « sauvés » et non sacrifiés.
Sauvés du Covid, du réchauffement climatique, des Russes et bien sûr des « terroristes ». Et pendant ce temps là, les individus dotés d'un degré raisonnable de conscience reconnaissent que ceux qui mènent la barque tentent de mettre en œuvre un plan grandiose grâce auquel ils pourront contrôler tous les aspects matériels de la vie quotidienne. Ce que Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, aime appeler « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
Comment: Ce qui suit est la 3e partie d'une série d'articles dont voici les liens :
1ère partie : Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2
2e partie : L'ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19
Le présent article fait également l'objet d'un chapitre du livre Mass extinctions, Evolutionary Leaps and Viral Information (à paraître)
Eugénisme
Le concept de sélection raciale n'est pas nouveau. Il y a 2500 ans, Platon promouvait déjà la reproduction sélective [1]. L'un des legs de la théorie fallacieuse du darwinisme est la réémergence de l'eugénisme à la fin du XIXe siècle [2]. Au début du XXe siècle, des politiques eugénistes étaient déjà largement appliquées aux États-Unis, au Japon, dans plusieurs pays européens et, bien sûr, dans l'Allemagne nazie, dont les programmes eugénistes s'inspiraient des politiques eugénistes poursuivies aux États-Unis [3].
En général, ces politiques consistaient à stériliser des individus « inaptes », dont les représentants des « races inférieures », et à stimuler la reproduction des individus « aptes », dont les représentants des « races supérieures ».
Mais les révélations sur les atrocités commises par les nazis pendant la Deuxième guerre mondiale n'ont pas mis fin aux programmes eugénistes. Des programmes documentés de stérilisations forcées étaient toujours pratiqués au XXIe siècle dans des régions comme la Californie [4], en Espagne [5] et au Pérou [6].
Toutefois, il existe une différence fondamentale entre les nazis et les partisans actuels de l'eugénisme : l'avènement de la génomique en général et de l'édition génomique [7] en particulier. Aujourd'hui, les scientifiques sont capables de modifier le génome humain et de transférer des gènes, de favoriser certains traits et d'en inhiber d'autres. La technologie actuelle permet le séquençage de la totalité d'un génome humain en 30 minutes [8] et la création de séquences génétiques entières. [9]
Dans certains cercles scientifiques, l'impulsion idéologique de créer une « meilleure » race est toujours forte. Par exemple, le professeur [10] et conseiller [11] du METI (Messaging Extraterrestrial Intelligence - protocole de post-détection de civilisations extraterrestres) à l'Université Johns Hopkins, Nathaniel C. Comfort, promeut publiquement l'eugénisme :
L'impulsion eugéniste nous pousse à éliminer les maladies, à vivre plus longtemps et en meilleure santé, à être plus intelligent et mieux adapté aux conditions de la société ; et les bienfaits sur la santé, le frisson intellectuel et les profits de la biomédecine génétique sont trop grands pour que nous puissions agir autrement. » [12]En passant, c'est l'Université Johns Hopkins qui, via son Centre de recherche sur le Coronavirus, piste les cas de COVID-19 à travers le monde et fournit ses données aux médias et aux gouvernements. [13]
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