À ma grande surprise, j'ai reçu plus de 1 200 commentaires, dont la plupart me disaient avoir vécu la même chose que moi. En voici un minuscule échantillon, pour vous donner une idée :
« Effectivement, j'ai aussi contracté ce nouveau virus sans nom. Je ressens une fatigue comme je n'ai jamais connu. » (Didier)
« Je suis toujours sous antibiotiques à cause d'une toux qui ne veut pas partir. Je n'ai jamais eu de tels symptômes de ma vie. » (Ratiba)
« Toujours pas remise. J'ai 60 ans et je n'ai jamais été malade comme ça ! Très très bizarre cet état. » (Evelyne)
« J'entame la troisième semaine d'une espèce de grippe - bronchite, qui ne veut pas se déloger. Ça perdure, je n'ai jamais vu ça. » (Trish)
Penseur scandaleux pour les uns, intellectuel visionnaire pour les autres, « rebelle destroy » selon ses propres termes, Emmanuel Todd ne laisse pas indifférent. L'auteur de La Chute finale, qui prédisait dès 1976 l'effondrement de l'Union soviétique, était resté discret en France sur la question de la guerre en Ukraine.
Les météorologues pensent que le changement climatique anthropique a renforcé La Niña, et déclenché ce qu'ils appellent le Greenland Block, une large zone de haute pression centrée sur le Pacifique nord associée à une zone de pression atmosphérique plus faible que d'habitude centrée sur le Pacifique occidental. Ils avancent même qu'il s'agit là du principal facteur qui expliquerait les records de froid glacial dans l'hémisphère nord cet hiver. Et pourtant, nous avons aujourd'hui les connaissances qui expliquent ces phénomènes : le Soleil façonne le climat, et la tendance d'un froid global pourrait s'intensifier dans les toutes prochaines années.
Les partisans du réchauffement climatique ont également souligné que la glace de mer de l'Antarctique a atteint son étendue la plus faible jamais enregistrée à la fin du mois de décembre. Pourtant, lorsque l'on regarde sur le long terme, la glace de mer de l'Antarctique affiche toujours une tendance à la hausse. En outre, la couverture neigeuse globale dans l'hémisphère nord est la deuxième plus élevée de ces 17 dernières années.
Dans sa critique de ce livre, le philosophe Eric Werner a souligné l'aspect le plus inquiétant de la guerre au XXIe siècle : son irruption dans l'espace intérieur des sociétés, sa transformation en une guerre du « tous contre tous », sans limites et sans règles. En tant qu'historien et stratège, Wicht « ne se contente pas de décrire les transformations en question, mais les relie à l'évolution globale de nos sociétés, montrant qu'elles sont la conséquence de bouleversements plus profonds. »
Nous sommes aujourd'hui les témoins directs de ces bouleversements profonds, au quotidien. Depuis la publication de son livre, des événements aux proportions tectoniques se sont produits. Il nous a semblé utile de faire le point sur l'esprit et les modalités de l'autodéfense à l'heure du retour de la guerre « conventionnelle » entre forces armées. [Cet entretien est réalisé par Laurent Schang, qui dirige la maison d'édition Éditions Polémarque, à Nancy, France, et Slobodan Despot, basé en Suisse, qui publie le magazine Antipresse.] Un grand merci à Arnaud Imatz et Jean-Cyrille Godefroy, qui ont rendu tout cela possible.
Selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), la couverture neigeuse dans l'hémisphère nord qui s'étend du Minnesota aux États-Unis à la Sibérie est la deuxième plus importante enregistrée au cours des 17 dernières années pour un mois de novembre. Une importante couverture neigeuse au début de la saison froide n'est pas un bon signe, sachant que les masses d'air peuvent se renforcer au cours des mois suivants. Jusqu'à présent, la tendance est à la persistance d'un hiver froid et rigoureux.
Mais peut-être que les pathocrates au pouvoir ne se soucient plus de ce que pensent les « petites gens ». Qu'est-ce qui a fait reculer les gouvernements au moment où ils étaient sur le point d'imposer physiquement la « vaccination » obligatoire en 2022 : des preuves croissantes que les « injections vaccinales » n'avaient aucun effet sur la réduction de la transmission du Covid-19 ou sur le nombre des hospitalisations ? L'inquiétude face au mécontentement croissant et généralisé ? Ou l'annonce par Vladimir Poutine, fin février, que la Russie ne resterait plus les bras croisés pendant qu'un régime fantoche installé par les États-Unis en Ukraine y attaquait les Russes ethniques ?
La plupart des gens ne le sont pas, pour une raison ou une autre.
Certaines personnes détestent le fait qu'il y ait une guerre là-bas, tandis que d'autres l'aiment mais détestent le fait qu'elle n'a pas encore été gagnée, d'un côté ou de l'autre.
Commentaire: Vous pouvez lire la seconde partie ici