« Il est important de ne pas permettre que notre histoire impériale soit dénigrée, car si notre histoire impériale a été tout ce qu'ils disent, à savoir une litanie d'atrocités, alors l'autorité morale de l'Occident est érodée ». (Nigel Biggar, professeur de théologie à Oxford, interviewé sur le site
Conservativehome, le 16 septembre 2020.)
L'acteur provincial qui occupe le devant de la scène mondiale« Le
Serviteur du peuple » est une série télévisée ukrainienne qui raconte l'histoire d'un jeune professeur de province naïf, joué par un comédien juif appelé Vladimir (alias Volodymyr - mais veuillez le dire d'abord à M. Biden) Zelensky, qui n'est pas corrompu et devient ainsi l'héroïque président de l'Ukraine.
Cette série est diffusée sur la chaîne américaine Netflix. Elle a été soigneusement scénarisée par des sociétés de relations publiques américaines avec l'aide de Hollywood, afin de faire élire leur candidat après le désastre du milliardaire juif marchand d'armes Porochenko, et
d'éviter le risque qu'un véritable Ukrainien soit élu. En tant que telle, cette campagne a été couronnée de succès. Les électeurs ukrainiens dupés ont dûment donné à Zelensky une majorité de voix et la marionnette a été élue. Cependant, une fois qu'il a été élu, c'est la dégringolade, car il a vendu son âme au diable pour la célébrité et la richesse. C'est l'histoire faustienne classique de l'imbécile flatté, soutenu désespérément et de manière autojustifiée par les élites occidentales, car s'il échoue, leur autorité morale est — une fois de plus — ouvertement démontrée comme étant nulle (voir ci-dessus).
Commentaire: A n'en point douter, certains élus sont très probablement persuadés d'être investis d'une mission de la plus haute importance pour l'avenir de leur nation, voire de l'humanité, et de faire le bien en utilisant les outils que la République et la démocratie leur offrent volontiers. Ah, que c'est beau le progrès et la démocratie, vous ne trouvez pas ? Il est vrai que certains esprits un brin rebelles pourraient être tentés de penser que l'enfer est plus que jamais pavé de bonnes intentions...
Par ailleurs, en science, le consensus n'existe pas et ne doit pas exister, sinon ce n'est plus de la science et on entre dans le doctrinaire voire le totalitarisme. Ou y sommes-nous déjà ?
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