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« Anatomie d'un désastre » avec Jean-Dominique Michel, un des plus grands spécialistes mondiaux de santé publique

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© InconnuJean-Dominique Michel
Les propos de Jean-Dominique Michel peuvent choquer - ou rassurer. Le Genevois est depuis 30 ans l'un des plus grands spécialistes mondiaux de santé publique. Il a travaillé nuit et jour ces dernières semaines pour comprendre ce qui nous arrive. Interview grand format par ATHLE.ch et PHUSIS.ch Philosophie. A écouter absolument avant de vous faire votre propre idée de la crise que nous vivons.

Light Saber

SOTT Focus: Si l'expérience suédoise est concluante, les mesures de confinement n'auront servi à rien


L'article qui suit est une critique des mesures de confinement draconiennes, publiée dans un média mainstream (on n'entend pas beaucoup les médias alternatifs s'exprimer sur le sujet ces temps-ci). Le postulat de départ est que la « pandémie de COVID-19 est réelle - c'est-à-dire que l'auteur part du principe que les chiffres officiels sont exacts et que les gouvernements et la population doivent de toute évidence se prémunir contre ce virus.

Néanmoins, l'auteur fait remarquer que la Suède - le SEUL État chrétien dont le gouvernement n'a pas pris de mesures hitlériennes contre sa population - rapporte en essence le même taux de mortalité (très très bas) par COVID-19 que les autres pays, un « hic » qui laisse apparaître que les mesures de confinement n'ont AUCUN EFFET préventif ou réducteur sur la progression de cette prétendue « pandémie ».


people outside
Lorsque des commentateurs étrangers débattent des mesures très légères prises par la Suède contre le Covid-19, ils ont tendance à prendre un ton offensé. Ce qui est surprenant à première vue. On aurait pensé que chacun aurait à cœur la réussite de l'expérience menée par ce pays nordique. Après tout, si la Suède parvient à venir à bout de cette épidémie sans faire exploser son économie, il y a de l'espoir pour le reste du monde. Jusque-là, il y a de nombreux signes encourageants. La maladie semble essentiellement suivre la même trajectoire en Suède qu'ailleurs.

Même si nous devons attendre des données plus complètes, les modélisations réalisées par les autorités du pays laissent suggérer que le taux d'infection à Stockholm a atteint un pic le 8 avril. Si tel est le cas, nous devons réfléchir aux implications, à savoir qu'une fois mises en place des règles d'hygiène de base et de distanciation sociale, resserrer la vis ne change peut-être pas grand-chose. Ce qui serait une bonne nouvelle pour le reste d'entre nous. L'approche du « laisser-faire » ne rétablirait peut-être pas complètement nos économies, mais cela nous permettrait au moins de les sortir du coma artificiel dans lequel nous les avons plongées.

Dans les grandes lignes, la Suède suit l'approche adoptée par le Royaume-Uni la semaine précédant les mesures de confinement - l'approche que nos stratèges adoptaient autrefois, lorsqu'on savait garder la tête froide. Le 23 mars, dans un revirement brutal, les magasins britanniques fermaient et on priait les gens de rester chez eux.

Pourquoi ce revirement ? Était-ce à cause des médias qui, dans un accès d'hystérie, avaient exigé des mesures de confinement similaires à celles instaurées sur le continent ? Ou des réactions d'indignation après que des gens avaient visité des sites pittoresques le jour de la Fête des mères en Angleterre ? Ou de la modélisation réalisée par l'Imperial College, publiée quelques jours auparavant, qui prévoyait des centaines de milliers de morts en l'absence de quarantaine de masse ? Quelle que soit l'explication, le confinement est monté en puissance naturellement, chaque nouveau décès servant d'argument pour imposer des restrictions encore plus sévères.

Bullseye

SOTT Focus: Covid-19 - La catastrophe humanitaire provoquée par le Plan diabolique de « confinement » mondial voulu par Bill Gates, Rockefeller et autres psychopathes

D'abord, il y a la fourbe mystification, un gouvernement — presque — universel ment dans le monde entier au sujet d'un virus mortel que l'OMS a nommé Covid-19. La décision d'un confinement mondial — littéralement conçu pour provoquer un effondrement économique mondiale — avait déjà été prise lors de la conférence du Forum économique mondial de Davos, qui s'est tenu du 21 au 24 janvier 2020. Le 30 janvier, l'OMS déclarait le Covid-19 urgence de santé publique de portée internationale. À ce moment-là, seuls 150 cas de Covid-19 étaient recensés en dehors de la Chine. Déclarer une pandémie n'était en rien justifié. Le 11 mars, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, a transformé l'urgence de santé publique de portée internationale en pandémie. Cette déclaration a donné le feu vert pour la mise en œuvre du « Plan ».
prepping toilet paper
© Inconnu
La pandémie était nécessaire pour servir de prétexte à l'arrêt de l'économie mondiale propre à provoquer son effondrement et le naufrage de la vie sociale qui lui est inhérente.

Il ne s'agit en aucun cas d'une coïncidence. Un certain nombre d'événements préparatoires se sont produits, tous orientés vers une monumentale catastrophe historique mondiale. Tout a commencé il y a au moins dix ans — probablement bien avant — avec le tristement célèbre rapport Rockefeller de 2010, qui décrit la première phase d'un plan monstrueux, appelé scénario « Lock Step » [Étape de confinement - NdT]. L'Event 201, qui s'est tenu à New York le 18 octobre 2019 figure parmi les derniers préparatifs de la « pandémie ».

L'événement était parrainé par le Centre de santé publique Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, le club des riches et des puissants qui se réunit chaque année en janvier à Davos, en Suisse. Un certain nombre de groupes pharmaceutiques — notamment des groupes d'intérêt en faveur des vaccins — ainsi que les Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis et de la Chine y ont participé.


L'un des objectifs de l'Event 201 était une simulation informatique d'une pandémie de virus à corona. Le virus simulé avait au départ été nommé SARS-2-nCoV, pour être ensuite renommé 2019-nCoV. Les résultats de la simulation ont été désastreux : en 18 mois, 65 millions de personnes en étaient mortes et la bourse avait chuté de plus de 30 %, entraînant un chômage et des faillites sans précédent. Il s'agit précisément du scénario dont nous vivons aujourd'hui le premier stade.

Bell

Des phares dans la nuit du Coronavirus ?

Plus le temps passe, moins on comprend ce qui se passe. Chaque intervention des génies qui nous gouvernent épaissit le mystère. Les millions de Français enfermés chez eux depuis des semaines, n'arrivent pas à savoir à quelle sauce ils vont être mangés.
pppp
© Inconnu

Ils écoutent patiemment les interminables discours auto-satisfaits de Jupiter et ses satellites et, à chaque fois, ils en savent un peu moins. Tout ce qu'ils voient, c'est que les certitudes de tous ces grands seigneurs s'effritent avec le temps.

Brick Wall

Retourner le scénario : L'OMS loue le fait que la Suède à ignoré le confinement et dit que c'est un « modèle » pour les pays qui vont de l'avant

L'Organisation mondiale de la santé a salué la Suède comme un "modèle" dans la lutte contre le coronavirus, alors que les pays lèvent les mesures de confinement - après le refus controversé de la nation d'imposer des restrictions.
sweden restaurant covid lockdown
© JESSICA GOW/TT News Agency/AFP via Getty ImagesDimanche, des gens sont assis dans un restaurant en plein air à Stockholm.
Le Dr Mike Ryan, le principal expert de l'OMS en matière d'urgences, a déclaré mercredi qu'il y avait des "leçons à tirer" de la nation scandinave, qui s'est largement appuyée sur les citoyens pour s'autoréguler.

"Je pense qu'il existe une perception selon laquelle la Suède n'a pas mis en place de mesures de contrôle et a simplement laissé la maladie se propager", a déclaré le Dr Ryan aux journalistes. "Rien ne peut être plus éloigné de la vérité."

Commentaire: Le taux de mortalité pour les coronavirus est au mieux douteux et cela vaut doublement pour la Suède. Lors d'une conférence de presse tenue le 22 avril avec le ministère suédois de la santé, le ministre de la santé Anders Tegnell a déclaré :
« Nous n'utilisons pas les décès pour notre modélisation car ils sont trop incertains à bien des égards", a-t-il déclaré. "Mais notre modélisation est plutôt basée sur les cas diagnostiqués. Nous avons dit à plusieurs reprises que les décès sont importants à bien des égards, mais pas lorsqu'il s'agit d'élaborer des stratégies car il y a un intervalle trop long entre le moment où l'on est exposé et celui où l'on meurt. Nous avons effectué ce contrôle de qualité par rapport au registre des décès pour les cas où les personnes sont mortes longtemps, longtemps après avoir été exposées et qui, pour une raison quelconque, n'ont pas été prises en charge par notre système de santé. Mais maintenant, grâce à ce nouveau système de contrôle de qualité, nous les retrouvons. Nous faisons cela une fois par semaine. »
D'où proviennent donc les chiffres totaux de décès cités ci-dessus ?

Source : Jackie Salo, New York Post


Camcorder

La Chine a installé des caméras même chez les habitants

Plusieurs Chinois placés en quarantaine ont constaté que des dispositifs de surveillance avaient été installés devant leur logement. Dans certains cas plus rares, des caméras ont été placées à l'intérieur des habitations.
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Le lendemain de son retour à Pékin, Ian Lahiffe a constaté avec effarement qu'une caméra de surveillance était en train d'être installée devant la porte de son appartement. Son objectif était braqué droit sur lui.

Question

SOTT Focus: Tucker Carlson : les mesures de confinement sont-elles efficaces ?

Il semble que cette question n'intéresse pas beaucoup les politiciens.

carlson

Dominoes

Décryptage avec Jean-Jacques Crèvecoeur : Quels risques et retombées de la pandémie ?

Jean-Jacques Crèvecoeur

Jean-Jacques Crèvecoeur partage ses connaissances au travers de sa chaîne Youtube et le fruit de plus de 35 années de cheminement. Le cœur de sa philosophie et de sa démarche sont le respect de l'humain et de sa liberté de choix.

Bulb

SOTT Focus: Pasteur versus Béchamp - La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l'occasion d'ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Béchamp versus Pasteur
© InconnuBéchamp (à gauche) versus Pasteur (à droite)
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l'idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons et bien sûr des virus. Bien que l'idée ait circulé bien avant que Pasteur ne devienne éminent, ses travaux de laboratoire dans les années 1860 ont donné l'impression de fournir les preuves scientifiques qui manquaient auparavant.

Ce que l'on sait moins, c'est que d'autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ». Ils considéraient que le facteur le plus important qui détermine si une personne tombe malade ou non ne tient pas en la présence d'un germe, mais relevait plutôt de la disposition propre à l'environnement interne du corps (le « terroir » ou le terrain) à se préparer en vue de repousser ou de détruire le germe en question.

L'un des principaux scientifiques de la théorie du terrain était Antoine Béchamp (1816-1908). Pasteur et Béchamp étaient des rivaux acharnés autour de nombreuses questions scientifiques. Le livre de R. B. Pearson, publié en 1942 Pasteur: Plagiarist, Imposter [Pasteur, plagiaire et imposteur - NdT] suggère même que Pasteur a plagié une partie de ses travaux à partir de ceux de Béchamp — ce qui a dû constitué pour ce dernier un point de contestation compréhensible, lui qui finalement est mort dans l'oubli le plus total. En revanche, Pasteur est devenu habile à s'auto-promouvoir, au point que son nom est devenu un mot commun bien après sa mort.


Commentaire : Pasteur ne s'est par contre pas promu tout seul... Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l'on reprend le contexte de l'époque où fleurissait aussi la théorie de l'évolution de Darwin, l'on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s'exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d'entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Nous pouvons aussi nous interroger sur la fonction exact des microbes dans l'écologie planétaire, et déterminer s'ils ne seraient pas en fait nécessaires à l'évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd'hui religion.


Commentaire:
Voici quelques extraits de l'ouvrage du Dr Éric Ancelet, Pour en finir avec Pasteur (pages 83, 84, 85, 87, 90, 91).
Bien introduit dans les antichambres du pouvoir, Pasteur va imposer ses vues sur un autre sujet à la mode, celui de la génération spontanée, dont il va pourfendre les défenseurs avec sa vindicte coutumière. Les savants s'affrontent rarement dans la sérénité.

L'orgueil et les préjugés s'en mêlent, comme la nécessité d'assurer sa carrière, ses titres et ses subventions.
[...]
La négation par Pasteur d'une « génération spontanée » à partir de matière inerte était donc justifiée en son temps, mais elle l'a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les « espèces microbiennes », sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter mais en aucun cas de se transformer en « autre chose ». Or Béchamp puis Tissot ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique.
[...]
Ce dernier passage est très intéressant si l'on considère le « Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ou la similitude frappante entre les possibles transformations réversibles de ces micro organismes et les astéroïdes qui peuvent devenir des comètes (et revenir à l'état d'astéroïde, ou pas), qui elles-mêmes peuvent devenir des planètes, le tout en fonction du champ électrique cosmique dans lequel ils et elles progressent.
Voir : Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon

Pour en revenir au livre du Dr Éric Ancelet, poursuivons.
De ces débats découlent deux conceptions radicalement opposées de l'écologie microbienne.
Pour Pasteur, le microbe génère la maladie. [...] « À chaque germe une maladie ». [...] « À chaque maladie un vaccin ».
[...]
Pour Béchamp, la maladie active le microbe.
[...]
Alors, Pasteur ou Béchamp ?

Nous avons vu pourquoi la France du siècle dernier avait besoin que Pasteur ait raison. Bien mieux que Béchamp, savant discret et peu « médiatisé », Pasteur était capable de jouer le rôle politique de fer de lance d'une France républicaine profondément éprouvée dans son orgueil national.
Toutefois,
C'est seulement en 1877 que Pasteur, âgé de 55 ans [...] va entreprendre des recherches sur les micro-organismes « responsables » des maladies humaines et animales.
Avant cela, Pasteur a plagié les travaux antérieurs de Béchamp, travaux dédiés à des recherches sur les maladies des vers à soie. Il présentera le résultat de ces travaux comme les siens propres sans jamais citer Béchamp, et en affirmant que ses travaux sont antérieurs à ceux de Béchamp. En outre, et pour bien appuyer le tout, en « fin diplomate et beau parleur » qu'il est, Pasteur « dédiera son traité sur les maladies des vers à soie à l'Impératrice ». Puis,
C'est alors que survient un événement considérable dans une vie humaine, surtout à la lumière d'une « médecine nouvelle » qui à chaque maladie associe, non pas un microbe pathogène ou un gène défectueux, mais un conflit de nature psycho-émotionnelle.

Le 19 octobre 1868, à l'âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une attaque d'hémiplégie qui paralyse son côté gauche.

Selon les lois biologiques du docteur R.G. Hammer, il pourrait s'agir d'une « crise épileptoïde » déclenchée en phase de guérison par un œdème cérébral situé dans l'hémisphère droit, au niveau des centres moteurs. Guérison de quoi ? Chez l'homme droitier, cette partie du cerveau est en étroite relation avec des conflits de territoire. Or Pasteur vient d'imposer in extremis son antériorité sur Béchamp ! Nous devons signaler aussi que l'hémisphère droit et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur, correspondent classiquement à la part féminine de l'être, à la passion, au sens artistique, à l'intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s'est construite sur des valeurs purement masculines, l'action, l'affrontement, l'analyse, la raison, que toute le biologie post-pasteurienne est infirme, hémiplégique de naissance ?
On ne peut que se résoudre à croire que c'est le cas... Pasteur est hémiplégique depuis neuf ans quand il entreprend les recherches pour lesquels il est « connu ».


Bizarro Earth

Le Covid-19 et l'Aube rouge

L'épidémie de Covid-19 a tué à ce jour plus de 200 000 personnes et plongé des milliards d'autres dans une peur panique. Une panique qui prive la plupart d'entre eux de tout sens critique et les pousse à prendre ou à approuver des décisions politiques stupides.
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Le docteur Richard Hatchett. Il fut conseiller du président George W. Bush pour qui il imagina le confinement obligatoire de la population civile et dirige aujourd’hui le CEPI, groupe de coordination mondiale de l’investissement vaccinal créé par le Forum de Davos autour de la Fondation Gates. Il est le premier à avoir assimilé l’épidémie de Covid-19 à une « guerre » (sic).
Un groupe de personnalités, l'Aube rouge ( Red Dawn ), dont les correspondances ont été révélées par Kaiser Health News et le site du New York Times, est parvenu à imposer une idéologie apocalyptique : la Chine nous aurait déclaré la guerre et nous ne pourrions nous protéger qu'en confinant tous les civils.

Dans un précédent article [1], j'ai démontré comment des prévisions statistiques effrayantes sur le nombre de décès que le Covid-19 occasionnerait ont été élaborées par un charlatan, le professeur Neil Ferguson de l'Imperial College London, maintes fois contredit par les faits durant les deux dernières décennies.

J'ai également montré dans un autre article [2] que les mesures de confinement en Chine n'avaient pas de mobile médical, mais politique (la théorie du « mandat du ciel »). Il reste à expliquer d'où vient le confinement obligatoire de tous tel qu'il est pratiqué en Occident.