OF THE
TIMES
« Je sortais de la pharmacie, j'allais au bureau de tabac lorsque le tueur m'a bousculée. Il s'est retourné et, dans le mouvement, la visière de son casque s'est relevée de quelques centimètres. J'ai alors aperçu un tatouage ou une cicatrice au niveau de sa joue gauche. J'ai aussi entrevu ses yeux à travers la visière. Il avait un regard froid, d'une lucidité effrayante. Un regard que l'on n'oublie pas ».Ce témoignage, délivré sur RTL par l'une des personnes présentes près de ce distributeur de Montauban devant lequel trois militaires ont été pris pour cible pourrait apporter une précieuse aide aux policiers chargés de retrouver le tireur.
« En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »Aucun événement politique n'étant le fruit du hasard, la première question à se poser est donc : « Cui Bono ? » c'est-à-dire : « À qui profite le crime ? »
« ça aurait pu se passer ici, il aurait pu y avoir le même assassin, ces enfants sont exactement comme vous, la victime n'y est pour rien. C'est très important de penser à ces enfants, à leur famille et c'est très important de réfléchir au monde tel qu'il est, tous ensemble, dans l'école de la République, ..., ces enfants avaient 3 ans, 6 ans et 8 ans et l'assassin s'est acharné sur une petite fille .... »Imposer une minute de silence dans les écoles peut à la limite se comprendre, mais son discours est honteux, inacceptable.