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Comme
Le Monde, nous avons pu nous procurer l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés visant le projet de loi sur le renseignement, pour y revenir profondément. Objectif ? Opposer cet avis à l'une des versions du projet de loi désormais à l'air libre (
le texte en PDF), en fait avant son analyse par le Conseil d'État.
Après la loi de programmation militaire, celle contre le terrorisme, ce projet de loi sur le renseignement a été présenté ce matin en Conseil des ministres, avant son dépôt à l'Assemblée nationale, accompagné de l'avis du Conseil d'État. Le vote suivra dans quelques semaines.
Son objectif ? Une profonde mise à jour des règles encadrant, parfois mal, les pratiques du renseignement. Cet « update » serait, aujourd'hui même, d'une impérieuse nécessité, selon l'exécutif : assurer la protection de l'État, celle des agents qui flirtent avec l'illicite, mais également les citoyens. Dans son avis, la CNIL ne dit pas autre chose : « les dispositions projetées doivent (...) permettre d'encadrer juridiquement les pratiques des services de renseignement pouvant porter atteinte à la vie privée et d'assurer ainsi la licéité de la collecte et de l'exploitation de l'ensemble des informations recueillies par l'intermédiaire de ces techniques ».
Commentaire: Ajoutons à la liste des causes :
- une alimentation complètement polluée par des centaines d'agents chimiques
- une alimentation complètement dénaturée, monstrueuse, issue du « génie » génétique
- des gens baignant dans un electro-smog permanent dont l'influence délétère engendre des dégâts au niveau cellulaire : appareils électriques en tous genres, antennes relais, haarp, etc.
Bien évidemment, nous sommes tous américains.