Histoire Secrète
Il est révélateur que les gens continuent à célébrer la survie des premiers colons à Plymouth -- en remerciant le Dieu Chrétien qui a apparemment protégé et défendu l'invasion Européenne. Le véritable sens de tout cela, aujourd'hui comme hier, doit être continuellement creusé. Les mythes et les mensonges qui planent sur le passé sont constamment utilisés pour couvrir les horreurs et les tortures du présent.
Militaire de carrière, Ehud Barak a activement participé aux guerres de 1967 et 1973 contre les Arabes. Surtout, il fut commandant adjoint des forces « israéliennes » lors de l'invasion sioniste du Liban en 1982 et s'est illustré dans les assassinats et attentats perpétrés contre de nombreux cadres de la résistance palestinienne en Palestine, au Liban et ailleurs.
L'accueil chaleureux réservé par les socialistes français à Ehud Barak, s'inscrit dans une longue tradition de politique coloniale commune :
Tout comme l'Empire romain, les États-Unis sont, pour toujours, marqués par le meurtre. Dans nos vies, les meilleurs et les plus brillants sont exterminés devant nos yeux par la pratique lâche, invisible, indistincte du mal à l'état pur, et par la marque de de la plus vile ambition. Ceux qui ont bénéficié le plus du meurtre de JFK en sont très certainement coupables.
Le 22 novembre 1963, John F. Kennedy était assassiné.
C'est dans le Volkskrant, troisième titre de la presse quotidienne aux Pays-Bas, que les nouvelles accusations contre Ariel Sharon sont apparues en premier lieu, dans une interview donnée par le cinéaste George Sluizer, (78 ans), qui est lui-même juif et vit à Amsterdam.
Sluizer affirme avoir vu Ariel Sharon abattre deux très jeunes enfants palestiniens à coups de révolver, en 1982. Sluizer réalisait à l'époque un documentaire à proximité des camps palestiniens de Sabra et de Chatila.
"J'ai rencontré Sharon, et je l'ai vu tuer deux enfants sous mes yeux", a-t-il déclaré au Volkskrant. Il a ensuite répété cette accusation dans un entretien accordé au magazine "Vrij Nederland" qui précédait une projection de ses films au prestigieux festival international du film documentaire d'Amsterdam. "Sharon a tiré sur deux enfants, comme on tire sur des lapins, sous mes yeux", affirme-t-il.
"Il s'agissait, de tout jeunes enfants, de deux ou trois ans. Il leur a tiré dessus à 10 mètres de distance avec le révolver qu'il portait. J'étais tout près de lui", ajoute le cinéaste, qui situe les faits "probablement" en novembre 1982, alors que Sharon était le ministre israélien de la défense [1].
L'historienne Frances Stonor Saunders, auteure de l'étude magistrale sur la CIA et la guerre froide culturelle, vient de publier dans la presse britannique de nouveaux détails sur le mécénat secret de la CIA en faveur de l'expressionnisme abstrait. Manlio Dinucci s'interroge sur l'usage idéologique de ce courant artistique.
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