Journaliste et écrivain, passionné d'histoire comme de sciences, Marc Menant se définit comme un « orphelin idéologique » épris de liberté. À rebours d'un consensus médiatique sur les thématiques relatives à la Covid-19, le chroniqueur connu pour ses talents de conteur, en refusant et en questionnant les injonctions sanitaires du gouvernement, s'est vite démarqué de ses confrères. Dans le cadre d'un « Défi de la vérité », nous l'avons reçu pour qu'il nous présente son dernier ouvrage, qui vient de paraitre :
L'inquiétante histoire des vaccins (
Plon). Tel un détective, l'écrivain, qui anime sur CNews l'émission « La belle histoire de France », explore ici l'histoire de la médecine pour mieux en dénoncer ses travers, ses erreurs, ses impostures, certaines fermement établies, à commencer par celle du mythique Pasteur.
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Dans cet entretien, Marc Menant commence par dénoncer cette « médecine qui, dans sa toute-puissance, estime que le savoir qui est le sien est une vérité indubitable, une parole magistère », avant de s'attaquer au cursus universitaire des étudiants en médecine, dont il pointe les lacunes. D'une part, le journaliste regrette l'absence de réflexion critique sur les enseignements :
« Quand on est étudiant en médecine, il y a tellement à apprendre qu'on n'a pas l'opportunité de s'interroger sur ce qui vous est proposé comme enseignement. Vous êtes obligés de l'imbiber et puis de recracher ce qu'on vous a demandé. Donc on a éteint le libre arbitre. »
D'autre part, il s'étonne du contenu des programmes. L'exemple le plus patent qu'il reprend : la quasi-absence de formation en nutrition :
« Or, vous ne connaissez pas un membre médical sérieux qui vous ne vous dira pas : "Ce que vous mangez pourra éventuellement vous conduire à la maladie". »