Commentaire : À la lumière de la guerre de libération/dénazification et démilitarisation menée par la Russie en Ukraine, le monumental article qui suit, bien que datant de 2018 et relatif à l'infrastructure mondiale massive de laboratoires d'armes biologiques que les États-Unis maintiennent dans le monde — mais aussi en Ukraine et en Géorgie — laisse à penser que la démilitarisation de l'Ukraine par la Russie ne concernerait pas uniquement les armes dites conventionnels, mais également les armes biologiques (même si ces dernières font certainement l'objet d'attentions particulières, au vue de leurs natures).
Nous avions publié en 2017 un article qui évoquait, au conditionnel, les laboratoires militaires américains en Ukraine :
— Les États-Unis seraient en train de transformer l'Ukraine en « bombe biologique », nous avons aujourd'hui un certain nombre de réponses...
et un autre en 2018 qui présentait celui que nous publions aujourd'hui :
— Enquête journalistique: les États-Unis développent des armes biologiques dans les laboratoires à travers le monde
En ce qui concerne l'accusation de la Chine qui pointe du doigt depuis le début de la « crise Covid-19 » un certain laboratoire biologique installé de longue date dans le Maryland aux États-Unis, Fort Detrick pour le nommer, comme étant une source possible du Sras-CoV-2/Covid-19, voir notre article :
— Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2
L'armée américaine produit régulièrement des virus, bactéries et toxines mortels en violation directe de la Convention des Nations Unies sur l'interdiction des armes biologiques. Des centaines de milliers de personnes involontaires sont systématiquement exposées à des agents pathogènes dangereux et à d'autres maladies incurables. Des scientifiques de la guerre biologique utilisant la couverture diplomatique testent des virus artificiels dans les laboratoires biologiques du Pentagone dans 25 pays à travers le monde. Ces laboratoires bilogoqies américains sont financés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA [« Agence de réduction des menaces de la Défense »]) dans le cadre d'un programme militaire de 2,1 milliards de dollars — Cooperative Biological Engagement Program (CBEP [« Programme coopératif d'engagement biologique »]) — et sont situés dans des pays de l'ex-Union soviétique tels que la Géorgie et l'Ukraine, au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est et en Afrique.
Commentaire: Oui, la Russie en a assez de l'élite occidentale à deux visages, pour qui le droit international est un bâton avec lequel on peut frapper les autres pays sans le respecter soi-même, parce que l'élite occidentale se considère comme exceptionnelle. La Russie va maintenant montrer que les lignes rouges sont des lignes rouges et qu'elles seront renforcées si les efforts diplomatiques normaux restent vains.
Voir aussi en anglais :