Note du traducteur : Il était temps de s'intéresser un peu plus en détail à l'entreprise Moderna — à l'origine baptisée ModeRNA — et à tous les aspects et acteurs qui lui ont permis de prospérer « grâce » à la plandémie de Covid-19. Cette article constitue le premier volet d'une série en trois parties. La première partie s'attache aux quelques années tumultueuses pour Moderna qui ont précédé l'arrivée de la plandémie de Covid-19. La seconde partie se concentrera sur l'histoire de Moderna depuis l'avènement de cette même plandémie. La troisième partie examinera comment le miracle tant attendu par Moderna qui s'est produit lors de la crise du Covid-19 n'était que le début de son sauvetage miraculeux, puisque l'entreprise a non seulement étendu son partenariat avec le gouvernement, mais aussi avec une entreprise liée à la CIA.En raison de préoccupations persistantes liées au manque de fiabilité — mais pas que — de son système capable de délivrer de l'ARNm qui menaçaient l'ensemble de son éventail de produits, l'entreprise Moderna était avant le Covid-19 sur le point de perdre des investisseurs. La peur causée par la [soi-disant - NdT] crise pandémique a largement fait disparaître ces préoccupations, même si rien ne prouve qu'elles aient jamais été résolues.
Cette série est longue, mais il s'agit d'un travail d'investigation majeur dont le contenu révèle bien des aspects non seulement en ce qui concerne Moderna, mais aussi Big Pharma, le Forum économique mondial et le Département de la Défense des États-Unis, et surtout, il donne un éclairage sur le dangereux réseau bien structuré du Pouvoir mondial — une hydre — qui s'abat sur les populations depuis plus de 18 mois sous couvert d'une « plandémie de Covid-19 ». L'analyse de Whitney Webb est, comme bien souvent, magistrale.
Le terme « vaccin » a été changé chaque fois qu'il est question des produits transgéniques nommés « vaccins anti-Covid-19 ». Sauf indication contraire, toutes les emphases (italique et gras) sont de notre fait.
Accrochez-vous et bonne lecture.
Ceux qui ont analysé la [soi-disant - NdT] crise du Covid-19 et ses effets se sont surtout concentrés sur la façon dont sa nature perturbatrice a entraîné des transformations et des recalibrages majeurs dans la société et l'économie. Cette perturbation s'est également prêtée à une variété d'agendas qui avaient besoin d'un événement au potentiel de « réinitialisation » pour faire aboutir leurs projets. Dans le cas de l'industrie des vaccins, le Covid-19 a entraîné des transformations spectaculaires dans la manière dont les agences fédérales gèrent l'approbation des contre-mesures médicales en cas de crise déclarée, dans la manière dont les essais des vaccins candidats sont menés, dans la manière dont le public perçoit la vaccination et même dans la manière dont le terme « vaccin » est défini.
De tels transformations, bien qu'évidentes, ont suscité des éloges de la part de certains et de vives critiques de la part d'autres, cette dernière catégorie étant largement censurée du discours public à la télévision, dans la presse écrite et en ligne. Cependant, en analysant objectivement ces transformations radicales, il est clair que la plupart de ces réformes dans le développement et la politique des vaccins favorisent de façon spectaculaire la rapidité et la mise en œuvre de technologies nouvelles et expérimentales au détriment de la sécurité et d'études approfondies. Dans le cas des « vaccins », on peut affirmer que personne n'a davantage profité de ces transformations que les développeurs des produits transgéniques nommés « vaccins anti-Covid-19 » , en particulier l'entreprise pharmaceutique et biotechnologique Moderna.
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