Covid


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Chloroquine : l'appel URGENT d'un groupe de médecins

Association Internationale
Le 26 mars, le gouvernement a INTERDIT aux médecins de terrain de prescrire aux malades le médicament le plus prometteur contre le coronavirus.

Des médecins se révoltent et vous demandent d'agir vite - regardez cet appel et mobilisez-vous !

collectif de médecins : Dr Eric Ménat, Dr Anne Maynadié, Dr Marc Arer, Dr Michel Pontis, Dr Claire Gallon, Dr Isabelle Autonne, Dr Marie Gaujat, Dr Jean-Luc Boesch, Dr Jean-Bernard Morez, Dr Alexis Lacout, Dr Didier Chadefaux, Dr Gérard Piault, Dr Bernard Lequin, Dr Christian Latriche, Dr André Merllié, Dr Nathalie Boulenger, Dr Nicole Sicard, Dr Marie-Carol Fleury-Munier, Dr Christophe Joubert, Dr Monique Riquet, Dr Pierre Branquart, Dr Sophie Raybaud, Dr Claire Delval, Dr Stéphanie Deguisne, Dr Charles Pellissier, Dr Michel Angles, Dr Véronique Ahari, Dr Dominique Eraud, Dr Nathalie Caradot, Dr Alain Dumas...

Bizarro Earth

SOTT Focus: Tour de contrôle à la planète en confinement : Ce n'est qu'un test

Autant le Covid-19 est un disjoncteur, une bombe à retardement et une véritable arme de destruction massive (ADM), un débat acharné fait rage dans le monde entier sur le bien-fondé d'une quarantaine de masse appliquée à des villes, des États et des nations entières.
escolabar
Ceux qui s'y opposent affirment que le confinement de la planète non seulement n'arrête pas la propagation du Covid-19, mais qu'il a également fait basculer l'économie mondiale dans un état de cryogénie - avec des conséquences imprévues et désastreuses. Ainsi, la quarantaine devrait s'appliquer essentiellement à la population présentant le plus grand risque de décès : les personnes âgées.

Commentaire: Lire aussi :


Eye 2

Deux éminents médecins français veulent tester un vaccin contre le Covid-19 sur les Africains

africa coronavirus
Les propos de Jean-Paul Mira et de Camille Locht sur LCI ont scandalisé les téléspectateurs et plusieurs personnalités du foot et du rap.
Une discussion entre deux médecins de premier plan en direct sur LCI a horrifié les téléspectateurs : en effet, ils ont suggéré que l'Afrique soit transformée en gigantesque laboratoire de test pour un vaccin contre le coronavirus, parce que ce continent ne dispose pas des ressources nécessaires pour se défendre contre le Covid-19.

Dans cette séquence, Jean-Paul Mira et Camille Locht ont évoqué la possibilité de tester de nouveaux vaccins sur des populations africaines indigentes.

Mira est chef de service de l'hôpital Cochin à Paris, et Locht est directeur de recherche à l'Inserm.

Commentaire: On peut comprendre que les Africains soient plus que « mitigés » sur ces propos :
Résistez : le sénateur Wetangu'la appelle les dirigeants africains à rejeter les tests de vaccin contre le Covid-19 sur le continent

Africa coronavirus
© Moses Wetangula.Le sénateur de Bungoma Moses Wetangu'la a appelé les dirigeants africains à rejeter les tests de vaccin contre le Covid-19 sur le continent.
Les objections de Wetangu'la font suite aux propos de médecins français selon lesquels l'Afrique serait idéale pour des essais cliniques, du fait de son « incapacité à lutter contre le Covid-19. »

Dans une déclaration où il ne mâche pas ses mots, le chef du parti FORD-Kenya a appelé les dirigeants africains à rejeter toute tentative d'utiliser les Africains comme « rats de laboratoire ».

« L'épicentre du Covid-19 se trouve en Chine, en Italie, en Espagne, en France, aux États-Unis. Les essais cliniques visant à trouver un remède doivent commencer là-bas, et pas dans les pays africains. Les dirigeants africains doivent résister à toute tentative de transformer nos populations en rats de laboratoire. Résistez. », a-t-il tweeté.


Pourquoi soumettre des pays - quels qu'ils soient - à des essais cliniques alors que ce virus est a) moins létal que la grippe saisonnière, et b) qu'il existe de nombreux médicaments dont les tests ont prouvé l'efficacité contre le Covid-19 ?



Cette proposition a provoqué l'ire de nombreux africains, en majorité des Kenyans qui se sont précipités sur les réseaux sociaux pour tacler les scientifiques européens qui veulent transformer les Africains en « cobayes ».

Au niveau mondial, plus d'1 million de personnes ont été infectées par le Covid-19, et 59 172 décès ont pour l'heure été enregistrés.

Les États-Unis comptent le plus grand nombre de personnes infectées (277467) et figurent en troisième position pour ce qui est du nombre de décès (7402).


L'Italie compte le plus grand nombre de décès (14 681), et figure en deuxième position pour ce qui est du nombre de personnes infectées (119 827).

L'Espagne compte 119 199 personnes infectées et 11 198 décès, le plus grand nombre après l'Italie. L'Allemagne compte 91 159 cas et 1275 décès, tandis que la Chine - d'où est partie l'épidémie - compte 81 639 cas et 3326 décès.

À cette heure, le continent africain compte 212 morts, et la plupart des pays enregistrent moins d'un millier de cas, si l'on omet l'Afrique du Sud, qui compte 1505 personnes infectées.


Le Kenya compte 122 cas et 4 décès.
Utiliser les populations pauvres comme cobayes n'est pas nouveau : Vaccins : des enfants pauvres cobayes pour les enfants riches... et l'industrie pharmaceutique


Flashlight

SOTT Focus: Hôpitaux vides ? Où sont tous les patients Covid-19 ?

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Remarquez la date. 11 jours plus tard : mais où sont les patients ?
Le hashtag #FilmYourHospital (Filme ton hôpital - NdT) fait le buzz sur Twitter. Avec un tiers de la population mondiale actuellement « confinée », certains ont décidé de minimiser leurs risques de péter les plombs en allant faire un tour dans leurs hôpitaux locaux pour documenter les scènes de chaos auxquelles ils s'attendaient à assister - pandémie mortelle galopante oblige. Or ils ont été étonnés de trouver des hôpitaux étrangement calmes et nullement débordés. Dans certains d'entre eux, il semble même régner (pardonnez ce jeu de mots) un calme mortel.

Certes, il se pourrait que si les gens voient des salles d'hôpital vides ou excessivement calmes, c'est parce que les cas de Covid-19 (suspectés et/ou confirmés) sont uniquement dirigés - pour l'instant - vers des centres hospitaliers désignés. Cela serait logique d'un point de vue épidémiologique : « confiner » les cas dans un minimum de « points chauds », car les hôpitaux eux-mêmes peuvent rapidement devenir d'importants foyers infectieux. Quelqu'un a-t-il vu des rapports ou des directives concernant une telle mesure administrative ? Je n'en ai pas encore vu. La plupart des rapports sur l'état de préparation des hôpitaux donnent l'impression que les établissements médicaux (tout du moins dans les villes) s'attendent à être « submergés à tout moment ».

Dans l'une des premières vidéos #FilmYourHospital publiées en ligne et intitulée « Mediziner gegen Medien Es gibt keine gefährliche Corona Pandemie », le journaliste allemand Billy Six commence sa visite de l'un des hôpitaux les plus fréquentés de Berlin en affirmant qu'il y a été envoyé par les administrateurs d'un autre hôpital qui lui ont dit que c'était « là-bas qu'on envoyait les cas de Covid-19 ». Mais au lieu de voir du personnel médical courant dans tous les sens pour traiter les cas de Covid-19, comme on pourrait s'y attendre, il a trouvé l'hôpital exceptionnellement calme.

Bad Guys

Meilleur du Web: Coronavirus - À qui profite le crime ?


Commentaire : En moins de 10 minutes, presque tout ce que vous avez à savoir sur Cui Bono est dit...


Qui est derrière cette apocalypse mondiale du Coronavirus ? Une révélation choc qui va vous faire flipper. C'est presque irréel et gravissime. C'est sidérant. Tout le monde devrait savoir ça...
Macron finance hopitaux coronavirus
© artistepro-Youtube

Megaphone

De la chloroquine « au nom du droit à la vie » : des syndicats de médecins saisissent la justice

Le débat a été vif. Et l'audience a presque tourné au face-à-face, hier, devant le tribunal administratif de Marseille, siégeant en référé

Plaquenil, chloroquine, hydroxychloroquine
© AFPPlusieurs syndicats regroupant des professionnels de la santé ont demandé à l'ARS de commander de la chloroquine.

Le débat a été vif. Et l'audience a presque tourné au face-à-face, hier, devant le tribunal administratif de Marseille, siégeant en référé. Le syndicat de médecins d'Aix et Région (Smaer), le syndicat Infin'Idels, un oto-rhino et un généraliste demandent à l'Agence régionale de santé (ARS) de commander urgemment de la chloroquine. "Nous saisissons la justice au nom du droit à la vie", a martelé Me Thibaud Vidal, pour la défense des soignants. "Pourquoi encore attendre sept jours pour constituer des stocks ?", a-t-il insisté. "Qu'est-ce qui empêche de mettre la ceinture de sécurité quand on conduit ?"

L'avocat a rappelé hier que "la demande est mondiale" sur ce type de molécule. Qu'en sera-t-il demain ? D'autant, précise-t-il, que le Maroc, l'Espagne et les États-Unis auraient déjà fait main basse sur les stocks. Certes, le Premier ministre a désormais interdit toute exportation de chloroquine hors de France, mais si demain la vague persistait, comment les Français seraient-ils soignés ? Surtout si l'on apprend que la chloroquine est le remède miracle. Tout le monde attend bien sûr avec impatience les résultats de l'enquête "Discovery" qui doivent être rendus la semaine prochaine. Une enquête qui teste en ce moment 3 500 patients, dont 800 Français.

2 + 2 = 4

SOTT Focus: Leçon du jour - Comment créer une fausse pandémie

Salutations, collègues manipulateurs et trompeurs, et bienvenue dans notre formation pour apprendre comment créer une fausse pandémie ! Comme vous l'avez appris lors de nos précédentes sessions, la première chose dont vous avez besoin pour une mission de ce type est de posséder quelques médias grand public. En tant qu'experts ès manipulation de masse, nous sommes sûrs que vous possédez un ou deux médias, alors allons-y !

Corona
© Inconnu
Fabriquer une pandémie quand il n'y en a pas est bien plus facile qu'on ne le croit. Comme d'habitude, nous aurons besoin d'une bonne mise en lumière, de l'usage des répétitions, de quelques détournements d'attention, de chiffres à moitié inventés et de nos astuces psychologiques habituelles.

Pour déclencher une fausse pandémie, nous avons besoin d'un virus approprié. Il faudrait qu'il soit nouveau de façon à ce que les gens ne le connaissent pas ou peu — de cette façon, vous pouvez leur dire à peu près n'importe quoi, et, compte tenu de leur ignorance, ils ne pourront rien dire qui puisse contredire vos affirmations. Le mieux est de choisir un nom qui fasse peur ou qui sonne bien. Les médias adoreront en parler.

Que ce nouveau virus soit étroitement lié à d'autres virus qui ne sont ni nouveaux, ni rares peut s'avérer très utile. Vous pourrez ainsi les ajouter au cocktail chaque fois que vous avez besoin de gonfler les chiffres. Le monde viral est extraordinairement diversifié, mais les gens n'en savent rien, alors le choix est très large ; en outre, la plupart des gens ne peuvent pas différencier un virus d'une bactérie, ou même d'une très petite araignée.

Corona

La Casa de La Bajon (Confinement Partie 2)

LaBajon
Petite revue de l'actualité par LaBajon. Sa vidéo :

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Coronavirus : un stock de masques datant de 2002 dormirait dans les bâtiments scolaires de Marseille

Un stock de masques fourni dans le cadre d'un plan datant de 2002 dormirait dans des bâtiments scolaires de la ville...

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© illustration L.M.Avec 470 écoles à Marseille, le stock inutilisé laisse rêveur à l'heure où ces masques se font rares...
Elles voulaient en avoir le cœur net. Alors, en milieu de semaine dernière, des employées municipales réquisitionnées dans l'une des dizaines d'écoles marseillaises ouvertes - charge à elle d'assurer la garde d'enfants du personnel de santé et de sécurité - ont déballé une des cinq mallettes consciencieusement mises à l'abri dans cet établissement des quartiers Nord. Théoriquement, toutes sont censées contenir le nécessaire de survie dans le cas où le Plan particulier de mise en sûreté (PPMS) devait être déclenché en urgence. Mis en place en 2002, ce dispositif orchestré par les directeurs d'école vise à protéger écoliers, enseignants et personnel en cas de catastrophe naturelle ou d'intrusion terroriste...

En ouvrant l'une de ces mallettes, les agents de la Ville auront, en tout cas, été rassurées sur un point. "Oui, il y a tout ce qu'il faut. Des blouses, des gants, du gel hydroalcoolique...Mais aussi, quarante masques protégeant les voix respiratoires, vingt pour enfants, vingt pour adultes", détaille une "tata", qui, elle, travaille le visage à découvert. "Rien que dans cette petite école, il y a cinq mallettes conservées en l'état dans des pièces qui serviraient à nous confiner en cas de danger... Imaginez ce que ça représente en termes de quantité de masques à l'échelle de la ville...", s'interroge-t-elle à haute voix.

Commentaire: Ce qui est vrai à Marseille, ne le serait-il pas aussi dans d'autres villes ?


Attention

SOTT Focus: Coronavirus - Ce que vous NE pouvez PAS dire à son sujet

Pssst. Vous.

Oui, vous.

Êtes-vous intéressé par une discussion de... choses ? Vous savez, le genre de choses dont on n'a plus le droit de parler ? Vous savez, depuis le... euhhh... « L'événement » ?
Coronavirus
© The Corbett Report
Vous l'êtes ? Super. Je veux dire, vous avez peut-être remarqué que les choses deviennent un peu houleuses dans le monde. Vous risquez par exemple d'être vilipendé pour avoir osé suggérer qu'un certain nombre de choses au sein de la « nouvelle normalité » pourraient bien être inacceptables.

Toutes ces nouvelles normes sociales et tabous culturels apparus ces dernières semaines semblent avoir également créé une série de nouveaux crimes de pensée : des choses qui ne doivent pas être exprimées de peur de se voir expulsé de la société civilisée... voire pire.

C'est la raison pour laquelle il est crucial que nous parlions de nos préoccupations avant que ces crimes de pensée socialement contrôlés ne deviennent littéralement des crimes. Comme vous le savez certainement, si nous ne réalisons pas aujourd'hui que ces nouvelles normes sociales existent, il sera bientôt impossible d'exprimer des opinions dissidentes.

Permettez-moi donc d'exprimer quelques réflexions personnelles. Mais soyez prévenu : je vous garantis que certaines — a minima — de mes idées vous sembleront offensantes. Vous serez en profond désaccord avec elles. Vous vous mettrez en colère.

La vraie question est : que ferez-vous à ceux qui expriment des opinions avec lesquelles vous n'êtes pas d'accord ? Engager un dialogue avec eux ? Ou exiger que les agents de l'État suppriment leur discours sur Internet et les enferment dans une cage pour crime d'opinion ?

Quoi qu'il en soit, j'ai déjà commis de nombreux délits d'opinion ces dernières semaines, autant vous en faire part. Êtes-vous prêt ? Allons-y.