LA DÉCISION du gouvernement de réserver l'usage de la chloroquine à la phase la plus aiguë de la maladie a suscité l'incompréhension de nombreux pontes de la médecine - qui se montrent pourtant très dubitatif à propos du médicament fétiche du professeur Raoult.
En découvrant cette mesure - qui reprenait scrupuleusement les préconisations du Haut Conseil de la santé publique - , les membres des Académies de médecine et de pharmacie sont tombés de l'armoire. Dans un avis publié le 25 mars, ces experts considéraient que la prescription de l'hydroxychloroquine « pour les malades hospitalisés en détresse respiratoire ne saurait être une réponse adaptée pour des patients dont la charge virale est, à ce stade, le plus souvent inexistante ».
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