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lun., 29 mai 2023
Le Monde pour les Gens qui Pensent

Covid

Caesar

Viktor Frankl - Dire oui à la vie dans les moments difficiles

Le sens de la vie selon Viktor Frankl repose sur le fait de trouver un objectif, d'en assumer la responsabilité pour nous-même et pour l'être humain en tant que tel. Ainsi, en sachant clairement « pourquoi », nous pourrons faire face à tous les « comment ». En nous sentant libres et certains de l'objectif qui nous motive, nous serons capables de générer des changements afin de créer une réalité beaucoup plus noble.
Pensées libératrices

Commentaire : Une multitude d'études scientifiques démontrent les effets dévastateurs de ce que l'on appelle le stress : destruction du cerveau, affaiblissement du système immunitaire, altération des gènes et des fonctions cognitives, avec toutes les maladies qui en découlent.

Pourtant, ici, le mal n'est pas une bactérie ou un virus que l'on peut observer au microscope, et c'est ce qui est tout fait étonnant : le stress est une réponse de l'organisme qui « dépend toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent ». Autrement dit, l'interprétation et l'importance que nous choisissons de donner à des stimuli extérieurs déterminent leur bénignité ou leur nocivité. Pour peu que l'on reste dans le domaine circonscrit à la notion de « pression sociale ordinaire », bien entendu.

On ne parle pas ici de guerre ou de torture. C'est alors une très bonne nouvelle puisque l'on peut donc choisir, en toute conscience, volontairement, d'adopter une attitude réflexive plutôt que réactive, ce qui permet de relativiser la nature et l'intensité d'un problème qui se pose à nous. Adopter un mode de pensée qui court-circuitera toute réactivité ordinaire, celle, malavisée et irréfléchie, dont nous faisons preuve quand survient une difficulté, une épreuve, un impondérable. En outre, il existe des pratiques très efficaces qui permettent de « recevoir» différemment ce que nous considérons être des agressions extérieures : exercices de respiration, de relaxation, de méditation, pratique sportive, alimentation appropriée, sommeil de qualité.

On pourra aussi en déduire que si la pensée qui nous anime nous rend malade et peut nous faire mourir, à l'inverse, et sans aucun doute dans les mêmes proportions, il existe des pensées et des attitudes qui guérissent, qui soignent, qui améliorent.


Nous le savons, nous savons tous qu'il n'y a pas de question plus compliquée que le fait de définir ce qui est pour nous « le sens de la vie ». Une telle question englobe parfois des aspects philosophiques, capitaux et même moraux. Nous restons souvent dans les étiquettes classiques à savoir « Être heureux et rendre les autres heureux. », « nous sentir satisfaits », « faire le bien », etc.
« L'Homme peut conserver un vestige de la liberté spirituelle, d'indépendance mentale, même dans les circonstances les plus terribles de tension psychique et physique. »
En revanche, ceux qui en cherchant la réponse à cette question expérimentent un profond vide existentiel sont nombreux. Quel est pour moi le sens de la vie si la seule chose que je fais est de travailler, si toutes mes journées sont identiques et si en réalité je ne trouve un sens en rien de ce qui m'entoure ? Face à cette situation si commune, le célèbre neurologue, psychiatre et fondateur de la logothérapie, Viktor Frankl, avait pour habitude de donner une réponse assez judicieuse qui doit nous inviter à une réflexion adéquate.

Alarm Clock

Le danger caché du coronavirus : la stratégie du choc

La France au bord de la dictature néolibérale. La France est aujourd'hui sous confinement total pour protéger les français du coronavirus. Ce choix de confinement est la stratégie proposée par le gouvernement pour ralentir la progression du virus.

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Il s'agit d'éviter de surcharger les hôpitaux et donc éviter de se retrouver dans un scénario à l'italienne avec des milliers de gens qui meurent parce qu'il n'y a pas la place de les prendre en charge.

En Corée du sud la stratégie a été très différente. Ils dépistent tout le monde, isolent les malades et les soignent dans des centres dédiés pour ne pas contaminer plus de monde. La Corée du Sud n'a jamais été mise en quarantaine et ils ont finalement eu très peu morts.

Le confinement est une privation quasi-totale de liberté. Ce vendredi le parlement a donné tout pouvoir au Président pour faire passer toutes les lois qu'il jugera bonne pour l'économie par ordonnance. Pendant que nous sommes privés de la liberté de nous opposer, le Président a prévenu que beaucoup de choses allaient changer.

Le changement que nous devons craindre est celui décrit par Naomi Klein dans son livre « La stratégie du choc ». On verra dans cette vidéo ce qu'est la stratégie du choc, quelques endroits où elle a été vécue, ce qu'on peut craindre pour la France aujourd'hui et ce qui est déjà en train d'arriver avec la loi « urgence coronavirus ».

Smiley

Trop envie de sortir

Doucement la patience d'Eliott a ses limites ...
Le cas Pucine

Le cas Pucine - Confinement : Les Attestations

Question

Pourquoi tant de patients atteints de coronavirus sont-ils morts en Italie ?

La pandémie de coronavirus fait payer un lourd tribut à l'Italie, avec des hôpitaux débordés et un confinement national imposé. Mais les experts sont également préoccupés par un taux de mortalité apparemment élevé, le nombre de décès dépassant le total signalé en Chine.
Italia, trend
© Inconnu
Courbe Covid-19 Italie
Sur les 63 927 personnes atteintes de coronavirus en Italie, 6 077 sont décédées à ce jour. En revanche, la Chine compte beaucoup plus de cas, 81 496, mais 3 274 décès.

En termes très bruts, cela signifie qu'environ 9 % des patients atteints de coronavirus confirmés sont morts en Italie, contre 4 % en Chine. Selon cette mesure, l'Allemagne, qui a jusqu'à présent recensé 28 865 cas et 118 décès, a un taux de mortalité de seulement 0,4 %.

Alors pourquoi cette disparité ?

Selon le professeur Walter Ricciardi, conseiller scientifique du ministre italien de la santé, le taux de mortalité du pays est bien plus élevé en raison de la démographie - le pays a la deuxième population la plus âgée au monde - et de la manière dont les hôpitaux enregistrent les décès.

Black Cat 2

Et maintenant on culpabilise les citoyens

« Une des stratégies les plus efficaces mises en œuvre dans toute situation d'urgence par les pouvoirs forts consiste à culpabiliser les individus pour obtenir d'eux qu'ils intériorisent la narration dominante sur les événements en cours, afin d'éviter toute forme de rébellion envers l'ordre constitué. » Une tribune venue d'Italie qui s'applique à ce qui se joue aujourd'hui en France.
street,police
© Pedro Da Fonseca
Une des stratégies les plus efficaces mises en œuvre dans toute situation d'urgence par les pouvoirs forts consiste à culpabiliser les individus pour obtenir d'eux qu'ils intériorisent la narration dominante sur les événements en cours, afin d'éviter toute forme de rébellion envers l'ordre constitué.

Cette stratégie a été largement mise en œuvre dans la dernière décennie avec le choc de la dette publique, présenté comme la conséquence de modes de vie déraisonnables, où l'on vivait au-dessus de ses moyens sans faire preuve de responsabilité envers les générations futures.

L'objectif était d'éviter que la frustration due à la dégradation des conditions de vie de larges couches de la population ne se transforme en rage contre un modèle qui avait donné la priorité aux intérêts des lobbies financiers et des banques sur les droits des individus.

C'est bien cette stratégie qu'on est en train d'être déployé dans la phase la plus critique de l'épidémie de coronarivus.

Vader

Le coronavirus et la matrice de la peur pour changer de société

Alors que la France doit être confinée chez elle pour raison de coronavirus, mais que les autorités, suivant les recommandations de l'OMS et de l'UE, n'ont pas envisagé la fermeture des frontières, car il est des choses sacrées, il devient urgent de sortir de cette pandémie d'hystérie collective pour reprendre ses esprits. Avant que, jouant à merveille du ressort de la peur, nos populations aux aguets n'en appellent, affolées, à un système dictatorial. Pour les sauver de quoi ? De la maladie ? De la mort ? Soulignons simplement que le coronavirus a été découvert en 1937 et qu'il s'agit déjà de sa seconde pandémie.
coronavirus
Le coronavirus est l'objet de toutes les attentions. Mais d'attentions, semble-t-il, assez sélectives. Deux remarques, alors que chacun est appelé à s'enfermer chez soi, afin d'éviter de tomber malade. Afin certainement de vivre éternellement. Car ainsi, grâce au confinement, les maladies seront vaincues.

Première remarque : Si, le coronavirus est moins grave que la grippe. C'est pourquoi les médias les uns après les autres ne cessent d'expliquer que le coronavirus est plus grave (car plus mortel), et que finalement ça n'a rien à voir.

Syringe

Quand Patrick Cohen voulait expliquer la vaccination à Didier Raoult

Patrick Cohen : « Si ça ne circule plus, c'est peut être parce que les gens sont très vaccinés non ? »
Didier Raoult
: « Je suis content que vous vouliez m'expliquer la poliomyélite mais je vais vous l'expliquer moi ».
Patrick Cohen
© France 5
Patrick Cohen
La vidéo :

Caesar

« Lui, il a pris le taureau par les cornes » : plongée dans le groupe Facebook pro-Didier Raoult

Plus de 120 000 inscrits en moins de quatre jours. Sur Facebook, le groupe « Didier Raoult vs Coronavirus » a fait le plein d'internautes depuis sa création vendredi. Tous soutiennent l'infectiologue qui prône l'usage de la chloroquine pour soigner les malades du Covid-19 ou, a minima, ils ne comprennent pas que la molécule ne soit pas donnée à davantage de patients.
Didier Raoult

Didier Raoult

Depuis trois jours, de très nombreuses publications sont partagées sur ce groupe, public et ouvert à tous. On y trouve, pêle-mêle, des articles de presse concernant la recommandation des autorités sanitaires de ne pas utiliser la chloroquine sauf pour les cas graves de Covid-19, des visuels avec des messages ou des extraits vidéos, ou encore des textes personnels. Chacun de ces posts recueille généralement des dizaines voire des centaines de commentaires en quelques heures.

« Éviter des centaines voire des milliers de morts »

Un même sentiment ressort de tous ces messages : l'incompréhension, alors que le nombre de nouveaux cas et de décès quotidiens en France augmente de jour en jour (au total, 19 856 personnes testées positives et 860 décès recensés lundi soir).

« Avec le nombre de morts qu'il y a, je ne comprends pas qu'on n'essaie pas de sauver des vies coûte que coûte. C'est ça qui me gêne : si ça s'emballe comme en Italie, on aurait pu éviter des centaines voire des milliers de morts avec la chloroquine », argumente auprès du Parisien Florent Lacasse, coach sportif de 39 ans installé à Aix-en-Provence.

Commentaire: Inutile de prendre un médicament pour soigner les formes bénignes qui représentes 98 pour cent des cas. Mieux vaut le réserver aux personnes âgées susceptibles de développer des complications. Si vous êtes en pleine forme, la vitamine C reste la meilleure prévention.


Propaganda

Covid-19 : propagande et manipulation

Revenant sur l'épidémie de Covid-19 et sur la manière dont les gouvernements y réagissent, Thierry Meyssan souligne que les décisions autoritaires de l'Italie et de la France n'ont aucune justification médicale. Elles contredisent les observations des meilleurs infectiologues et les instructions de l'Organisation mondiale de la Santé.
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Lors du sommet franco-italien de Naples, le 27 février, le président français et celui du Conseil italien, Emmanuel Macron et Giuseppe Conte, annoncent qu’ils réagiront ensemble à la pandémie.
Apparition de l'épidémie en Chine

Le 17 novembre 2019, le premier cas de personne infectée par le Covid-19 a été diagnostiqué dans la province de Hubei, en Chine. Au départ, les médecins ont tenté de communiquer sur la gravité de cette maladie, mais se sont heurtés aux autorités régionales. Ce n'est que lorsque le nombre de cas s'est multiplié et que la population en a vu la gravité que le gouvernement central est intervenu.

Cette épidémie n'a pas d'importance statistique significative. Elle tue très peu, même si ceux qu'elle tue passent par une terrible détresse respiratoire.

Butterfly

Le virus du wétiko - La plus terrible des pandémies connue de l'humanité

Ce qui suit est la première partie d'une série de trois articles. La deuxième partie est ICI, et la troisième partie sera traduite prochainement. Cette série a initialement été publiée en 2011.


Commentaire : Est-il utile de prévenir le lecteur que ce qui suit constitue dans sa totalité un « éclairage » dans la compréhension de certains mécanismes des événements « pandémiques » en cours ?


Dans Christophe Colomb et autres cannibales, l'auteur indigène Jack D. Forbes explore avec lucidité une pathologie qui a façonné chez l'humain une attitude autodestructrice connue depuis de nombreuses années par les Amérindiens. La description qu'il fait de cette maladie me semble clairement identique à la maladie psycho-spirituelle de l'âme décrite dans mon livre, The Madness of George W. Bush: A Reflection of our Collective Psychosis [« La folie de George W. Bush - Un reflet de notre psychose collective », ouvrage non traduit en français - NdT]. J'y expose le concept de psychose collective que j'appelle « égophrénie maligne », à laquelle l'humanité est en proie depuis l'aube de son histoire. Forbes décrit cette même pandémie psychique ainsi :
« Depuis des milliers d'années, les êtres humains souffrent d'un fléau, d'une affection pire que la lèpre, d'un mal pire que la malaria, d'une maladie bien plus terrible que la variole. ».
Humain trois faces
© Inconnu
Depuis des siècles, les peuples natifs traquent le même virus « psychique » que j'appelle « égophrénie » maligne et qu'ils nomment wétiko, du terme crée pour désigner une personne ou un esprit malveillant qui terrorise les autres [« par des actes terribles et diaboliques incluant le cannibalisme », d'après Christophe Colomb et autres cannibales de Forbes - NdT]. Le professeur Forbes, qui fut l'un des fondateurs du mouvement amérindien au début des années 60, déclare : « L'histoire épidémiologique de la maladie du wétiko constitue, en grande partie et de façon tragique, l'histoire du monde des 2 000 dernières années. ». « Maladie de l'âme ou de l'esprit », le wétiko/égophrénie maligne est au sens propre du terme une « psychose ». Nous désignons Forbes et moi, bien que sous un nom différent, la même maladie de la psyché, de l'âme et de l'esprit à l'origine de l'inhumanité de l'humanité envers elle-même.

L'étude de l'entité du wétiko nécessite au préalable d'invoquer son esprit et d'entrer en relation avec lui, comme pour un rituel magique. Pour éviter une trop grande « imbrication » avec l'objet de notre contemplation, le wétiko doit être considéré et abordé avec un maximum d'objectivité, comme s'il nous était extérieur. L'épidémiologie du wétiko se distingue de celle de toute autre maladie par son origine psychique unique. L'incarnation du virus wetiko dans la psyché même qui constitue le fondement de notre enquête, pose un vrai défi. Conscient de ce dilemme, Forbes indique qu'il tente d'examiner la maladie « d'un point de vue aussi libre que possible des hypothèses créées par la maladie même qui est étudiée. ». Si le cadre de référence nous permettant d'examiner le virus du wétiko nous est inconnu, la clairvoyance requise pour initier le processus de guérison sera obscurcie par la maladie et notre enquête compromise. L'observation à la fois chez les autres et dans l'« autre » aspect de soi du processus par lequel le virus se manifeste permet de « le » voir de façon plus objective. Voir et reconnaître les manifestations de cette psychose dans le monde constitue une image reflet nous permettant de voir et reconnaître la même maladie telle qu'elle se présente subjectivement dans notre propre esprit.

Commentaire: Fiction ou réalité ? « Les parasites de l'esprit » ou la description du wétiko dans le classique de science-fiction de Colin Wilson