Commentaire : Une multitude d'études scientifiques démontrent les effets dévastateurs de ce que l'on appelle le stress : destruction du cerveau, affaiblissement du système immunitaire, altération des gènes et des fonctions cognitives, avec toutes les maladies qui en découlent.
Pourtant, ici, le mal n'est pas une bactérie ou un virus que l'on peut observer au microscope, et c'est ce qui est tout fait étonnant : le stress est une réponse de l'organisme qui « dépend toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent ». Autrement dit, l'interprétation et l'importance que nous choisissons de donner à des stimuli extérieurs déterminent leur bénignité ou leur nocivité. Pour peu que l'on reste dans le domaine circonscrit à la notion de « pression sociale ordinaire », bien entendu.
On ne parle pas ici de guerre ou de torture. C'est alors une très bonne nouvelle puisque l'on peut donc choisir, en toute conscience, volontairement, d'adopter une attitude réflexive plutôt que réactive, ce qui permet de relativiser la nature et l'intensité d'un problème qui se pose à nous. Adopter un mode de pensée qui court-circuitera toute réactivité ordinaire, celle, malavisée et irréfléchie, dont nous faisons preuve quand survient une difficulté, une épreuve, un impondérable. En outre, il existe des pratiques très efficaces qui permettent de « recevoir» différemment ce que nous considérons être des agressions extérieures : exercices de respiration, de relaxation, de méditation, pratique sportive, alimentation appropriée, sommeil de qualité.
On pourra aussi en déduire que si la pensée qui nous anime nous rend malade et peut nous faire mourir, à l'inverse, et sans aucun doute dans les mêmes proportions, il existe des pensées et des attitudes qui guérissent, qui soignent, qui améliorent.
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Nous le savons, nous savons tous qu'il n'y a pas de question plus compliquée que le fait de définir ce qui est pour nous « le sens de la vie ». Une telle question englobe parfois des aspects philosophiques, capitaux et même moraux. Nous restons souvent dans les étiquettes classiques à savoir « Être heureux et rendre les autres heureux. », « nous sentir satisfaits », « faire le bien », etc.
« L'Homme peut conserver un vestige de la liberté spirituelle, d'indépendance mentale, même dans les circonstances les plus terribles de tension psychique et physique. »En revanche, ceux qui en cherchant la réponse à cette question expérimentent un profond vide existentiel sont nombreux. Quel est pour moi le sens de la vie si la seule chose que je fais est de travailler, si toutes mes journées sont identiques et si en réalité je ne trouve un sens en rien de ce qui m'entoure ? Face à cette situation si commune, le célèbre neurologue, psychiatre et fondateur de la logothérapie, Viktor Frankl, avait pour habitude de donner une réponse assez judicieuse qui doit nous inviter à une réflexion adéquate.
Commentaire: Inutile de prendre un médicament pour soigner les formes bénignes qui représentes 98 pour cent des cas. Mieux vaut le réserver aux personnes âgées susceptibles de développer des complications. Si vous êtes en pleine forme, la vitamine C reste la meilleure prévention.