La disparition de l'argent liquide, dans nos sociétés dites développées, est programmée. La question restant de savoir par qui ...
On vous l'a affirmé.
On vous le répète. D'ailleurs, il aurait déjà disparu, comme il le lui a été intimé au nom du culte numérique, s'il n'était pas si mal élevé et ne cessait de s'inviter à une table qui n'est pas dressée pour lui.
© KEYSTONE-FRANCE / GAMMA-KEYSTONEEchange de nouveaux billets à un guichet de banque à Paris en juin 1945.
Sans oublier qu'en période d'incertitude, les gens reviennent presque instinctivement vers les fondamentaux. Et l'argent liquide, c'est physique, ça se touche. Sans pour autant aller jusqu'à une obsession à la Picsou, le liquide rassure beaucoup plus que les transactions virtuelles.
Autant utiliser notre très cher coronavirus pour implanter les dogmes globalistes, il est prêt, là, il attend, il a le temps. Un virus contre le monde réel, humain, physique, c'est une occasion à ne pas rater. Surtout que le culte du virtuel bugue et que l'on voit se renforcer l'opposition de nos deux mondes : le monde du réel, de la vie, des hommes et celui post-humain, post-moderne et globaliste. En Russie aussi.
D'une manière générale, le tout virtuel a du mal à s'implanter dans nos sociétés, trop humaines pour certains. La Suède revient au liquide après une phase de fanatisme numérique, Amazone aux États-Unis innove ... et réintroduit le liquide comme mode de paiement. L'on n'arrête plus le progrès.
Plus particulièrement, suite à l'instabilité économique causée par la crise du coronavirus, un phénomène de résistance au tout numérique se cristallise en Russie, au niveau des petits commerces, malgré une propagande « progressiste » tout-numérique, grandissant proportionnellement aux difficultés objectives d'une transformation souple de la société.
Commentaire: Voir l'excellent ouvrage Pour en finir avec Pasteur - Un siècle de mystification scientifique, du Docteur Éric Ancelet