Covid
Depuis quinze jours, la Société des eaux de l'Ouest parisien (SEOP), fournisseur de l'eau potable de plus d'un million d'usagers franciliens a augmenté la dose de chlore dans l'eau du robinet. « Nous avons anticipé une diminution de la consommation avec l'arrêt de nombreuses entreprises, explique François Doussin, directeur général de la SEOP. L'eau reste plus longtemps dans les canalisations des clients, le chlore permet de garantir sa qualité. »
La contamination de l'eau potable par le Covid-19 est improbable, mais la chlorer davantage est toutefois utile pour tuer le virus lors du lavage des mains. Alors que le confinement a été prolongé au 15 avril prochain, la SEOP dispose de 30 jours de stocks de chlore pour traiter l'eau. Il n'y a pas de difficultés d'approvisionnement.
Vous avez fait savoir mardi que vous ne participeriez plus aux réunions du comité scientifique qui conseille nos autorités sur la conduite à tenir face à l'épidémie, pourquoi ?
Je n'ai pas deux heures à perdre dans des discussions qui ne vont pas à l'essentiel. Ici, nous sommes submergés de travail, nous sommes submergés par les résultats des tests et les données de nos patients. Un tiers de nos 75 lits d'hospitalisation est renouvelé tous les jours, nos équipes sont mobilisées H24... C'est cela qui m'importe, pas les causeries où il ne faut surtout froisser personne.
Les critiques, les mises en cause, cela vous blesse ?
Les critiques et les conversations de bar sur les plateaux télé, je m'en fous à un point que vous n'imaginez pas. Ce qui m'ennuie, en revanche, c'est que la France, mon pays, ne suive pas ce qui est raisonnable et prenne du retard parce que des gens qui se pensent importants ne veulent pas se dédire. Moi, je suis serein, je sais comment cela va se terminer.
C'est ce que certains vous reprochent, de prédire l'avenir.
Il ne s'agit pas de prémonition mais de savoir. Dans le domaine qui est le mien, je sais ce que je dis, je sais ce que font mes équipes, j'accumule des données - donc du savoir supplémentaire - et je mesure tous les jours l'effet clinique de ce que je préconise. Certains ne veulent pas y croire ? C'est leur problème. Les politiques et leurs décisions, c'est l'Histoire qui les juge. On verra très vite ce qu'il en est pour cette crise. On connaîtra la vérité. Un millier de patients ont été déclaré positifs aux tests que nous avons réalisés. Grâce au suivi de leur traitement, nous disposons d'une somme considérable de données. Nous les compilons. Elles nous donneront bientôt une idée plus précise de l'action de l'hydroxychloroquine.
« On est en train d'envoyer des soignants se tuer au travail alors qu'il y a des stocks de masques qui attendent à côté. »Fabrice Coudour est écœuré. Dans son réseau de syndicalistes, il a recensé des centaines de milliers de masques et de matériels de protection stockés, en attente d'être récupérés... depuis le 13 mars. Ce jour-là, un décret a été publié par l'État pour réagir en catastrophe à l'épidémie du coronavirus. « Eu égard à la nature de la situation sanitaire et afin d'en assurer la disponibilité ainsi qu'un accès prioritaire aux professionnels de santé et aux patients », stipule le texte, les stocks de masques respiratoires et anti-projections détenus par les entreprises « sont réquisitionnés, jusqu'au 31 mai 2020 ». Mais quels sont ces stocks détenus par les sociétés publiques et privées ?
Commentaire : Cela signifie presque certainement que le virus n'est PAS originaire de Chine et qu'il circule dans le monde depuis de nombreux mois — même s'il le fait peut-être sous ses formes mutantes les plus récentes.
Wuhan — comme Bergame, le centre de l'Iran et Madrid — s'avère alors être un « point chaud », probablement en raison d'un certain nombre de facteurs LOCAUX.

Giuseppe Remuzzi, vend la mèche : « Des médecins ont vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées, en décembre, et même en novembre ».
« Cela signifie que le virus circulait, au moins dans [la région nord de] la Lombardie et avant que nous ayons eu connaissance de cette épidémie en Chine. »
Au moment où les commentaires de Remuzzi deviennent publiques, les scientifiques poursuivent toujours leurs recherches quant à l'origine du Covid-19. L'expert chinois en maladies respiratoires Zhong Nanshan avait précédemment déclaré que même si la Chine a été la première à signaler l'agent pathogène, il n'était pas possible de connaître avec certitude sa provenance réelle.
Commentaire : La Chine a fondamentalement résolu un problème mondial dont les autorités occidentales — y compris les médecins — n'avaient pas conscience jusqu'en janvier. En conséquence, ils se font traiter de « terroristes du virus ».
Commentaire: Une question demeure : pourquoi une province — Bergame — d'une région — Lombardie — du nord de l'Italie est-elle si durement touchée ?
Nous n'avons pas précisément la réponse à cette question...
Mais il est intéressant de noter que la Chine a pris cette situation suffisamment au sérieux pour placer Wuhan en quarantaine, identifier le coupable (« Covid-19 »), craquer son génome, et en informer le monde, y compris en partageant les protocoles à même ou pas d'atténuer ses effets et de sauver autant de vies que possible.
L'Italie, l'Union européenne, les États-Unis, l'OTAN et le hautain « Ordre occidental » NE L'ONT PAS FAIT.
Soit dit en passant, cette révélation d'une « étrange épidémie de pneumonie » l'automne dernier correspond à notre propre expérience directe. L'un de nos rédacteurs a contracté début décembre ce que nous soupçonnions être une « pneumonie cryptogénique » — terme général utilisé par les experts pour désigner une « pneumonie d'origine inconnue ».
Plusieurs médecins n'ont cependant pas pu la diagnostiquer, croyant plutôt que ce qu'ils voyaient sur les scanners pulmonaires était un cancer. Les biopsies ont cependant permis d'écarter cette hypothèse. Même à cette époque, ils ne considéraient PAS qu'il s'agissait d'une source virale !
Le coronavirus pourrait très bien être présent dans la population mondiale depuis bien plus longtemps que ce que l'on pensait. Si c'est le cas, cela montre à quel point la panique actuelle est sans fondement — et pire encore, comment elle est alimentée par des intérêts géopolitiques et d'ingénierie sociale malveillants.
Après le discours du Président Macky Sall au soir du 24 mars, l'état d'urgence est entré en vigueur le lendemain, sur l'étendue du territoire sénégalais.
Dans la foulée, un couvre-feu de 20h à 6h a été instauré, deux mesures qui étaient, du reste, réclamées par les experts sanitaires au regard de la multiplication des cas de contamination dans la population ( 96 cas, selon un bilan officiel établi le 26 mars ).
Mais c'est sur les chapeaux de roues que le couvre-feu a débuté. Des images postées sur les réseaux sociaux ont montré des policiers bastonnant avec une extrême violence des personnes qui ont eu la malchance ( ou l'outrecuidance ) de se trouver encore dans les rues après 20h.
Commentaire: Les gens sont coupables de quoi au fait ? Pourquoi les forces de l'ordre, les Etats, les gouvernements, les politiciens traitent les gens comme s'ils étaient des... virus ?
Pour encadrer son suivi de la pandémie, le ministère de la santé israélien a publié une nouvelle application de suivi du coronavirus, disponible sur Android et sur iOS, d'après The Bleeping Computer. Nommée The Shield (le Bouclier), elle alerte ses utilisateurs dans le cas où ils auraient pu croiser un patient touché par le coronavirus, afin qu'ils se mettent en quarantaine.
Le gouvernement a insisté sur la mise en place d'un traitement des données respectueux de la vie privée et du consentement des patients et des utilisateurs. Sauf que parallèlement, il a également autorisé son agence du renseignement à mobiliser un dispositif antiterroriste pour identifier les personnes potentiellement contaminées, comme le rappelle le New York Times.
Commentaire: Un système de surveillance bientôt mis en place en France et dans toute l'Europe ?
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Une infirmière italienne de 34 ans luttant en première ligne contre la pandémie de coronavirus s'est suicidée après avoir été testée positive au Covid-19, car elle était terrifiée à la pensée d'avoir contaminé d'autres personnes.
Selon le Daily Mail, Daniela Trezzi souffrait d'un « stress considérable » et craignait d'avoir répandu le virus mortel en traitant des patients à l'hôpital San Gerardo de Monza, en Lombardie - région durement touchée par le Covid-19.
Elle travaillait dans l'unité de soins intensifs, avant d'être mise en quarantaine après avoir été testée positive au Covid-19, toujours selon le Daily Mail.
Mais avant cela, je tiens à préciser que je crois que cette histoire de Covid-19 est réelle, et qu'elle constitue probablement la menace la plus mortelle pour l'humanité dans toute l'Histoire des menaces mortelles pour l'humanité.
D'après les données que j'ai consultées, ce n'est qu'une question de jours, ou d'heures, avant que presque tout le monde sur Terre ne soit infecté et ne meure dans des souffrances atroces, seul, ou ne souffre de symptômes légers et courants similaires à ceux du rhume, ou d'aucun symptôme du tout.
Je pense que je dois le dire clairement, avant de procéder à notre exercice de réflexion, parce que je ne veux pas qu'on pense à tort que je fais partie de ces nazis probablement soutenus par la Russie qui se promènent en disant « c'est juste la grippe », ou qui répandent de dangereuses théories conspirationnistes sur les armes biologiques et la loi martiale, ou qui doutent ou remettent en question les mesures de bon sens consistant à confiner le monde entier (au risque d'entraîner une nouvelle Grande Dépression) à cause de la découverte d'un virus idéalisé.
De toute évidence, il ne s'agit pas seulement de la grippe. Des milliers de personnes sont en train d'en mourir. Certes, la grippe fait bien plus de victimes, des centaines de milliers chaque année, mais ce virus Covid-19 est totalement nouveau, et ne ressemble à aucun des autres millions de virus qui circulent en permanence, et les experts disent qu'il va probablement tuer, ou rendre gravement malade, ou brièvement incommoder des millions, voire des milliards de personnes si nous ne confinons pas des pays entiers et ne terrorisons pas tout le monde jusqu'à la soumission totale.
Le 16 mars, le Commandement précise que "depuis janvier l'US Army a déployé à partir des États-Unis en Europe 6.000 soldats", avec 12.000 pièces d'équipement ( allant des armements personnels aux chars d'assaut ), et qu'a été "complété le mouvement de soldats et équipements depuis divers ports jusqu'aux aires d'entraînement en Allemagne et Pologne". En plus de ceux-ci, "9.000 soldats USA basés en Europe" participent aussi à l'exercice.
Le but déclaré des USA est de "déployer une force crédible de combat en Europe en appui à l'OTAN", évidemment contre l' "agression russe". Le but réel - écrivions-nous il y a deux mois et demi sur il Manifesto ( le seul journal qui à ce moment-là donnait l'information du Defender Europe 20 )- est de semer une tension et de nourrir l'idée de l'ennemi.
Le scénario déclaré de l'exercice ne pourrait jamais se vérifier, notamment parce qu'un affrontement armé entre OTAN et Russie serait inévitablement nucléaire. C'est là le vrai scénario auquel s'entraînent les forces USA en Europe.
Commentaire: Extrait du film de Stanley Kubrick Docteur Folamour (1964) :
L'OMS continue d'appeler à dépistage massif et systématique des cas suspects en Europe. De plus en plus de scientifiques se prononcent aussi sur l'intérêt d'un dépistage massif et Olivier Véran a lui même indiqué que la France réfléchissait à un changement de stratégie. « La France se prépare à adapter sa stratégie de dépistage au moment où elle lèvera le confinement », a-t-il affirmé samedi.
Depuis le 7 mars dernier un arrêté permet aux laboratoires de biologie médicale de réaliser le test de dépistage avec remboursement. Mais dans un communiqué commun, 16 organisations de praticiens, biologistes, pharmaciens et médecins, parmi lesquels figurent la CSMF, la FMF ou le SML, pointent du doigt un obstacle majeur : une pénurie de réactifs. « Certains laboratoires qui avaient mis en place leur technique de dépistage il y a plusieurs jours sont contraints d'arrêter la réalisation de ces tests par manque de consommables », écrivent-ils.
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