Les Maîtres du MondeS


Cult

Comment prendre le contrôle d'une nation ? (méthode gratuite !)

Voici une méthode en 10 étapes pour prendre le contrôle d'une nation :
  1. Demandez a un banquier (Pompicsou- Rothschild) de devenir copain avec le gars intelligent qui gouverne le pays (De Gaulle), pour qu'il devienne premier ministre (1962)
  2. Faites tomber le gars intelligent qui gouverne (De Gaulle) avec une révolution (mai 1968)
  3. Faites élire le banquier (Pompicsou) a la tête du pays (1969)
  4. Faites-lui voter une loi privant le pays du droit de créer sa propre monnaie (1973)
  5. Cela oblige ainsi l'état a emprunter auprès des banques et des investisseurs internationaux
  6. Attendez patiemment que les politiques dépensent plus que l'état n'encaisse (1973 - 1998)
  7. Créez une banque supranationale indépendante (BCE) battant sa propre monnaie (1998). S'il le faut appuyez-vous sur un bel idéal (l'Europe) pour faire passer la pilule
  8. Attendez patiemment que les politiques dépensent plus que l'état n'encaisse (1998 - 2012). Si ça ne va pas assez vite créez une bonne crise (Subprime 2008) pour qu'ils s'endettent plus vite
  9. Enfin mettez un ancien banquier (Mario Le Dragon - Goldman Sachs) à la tête de cette banque supranationale (2011)
  10. Attendez patiemment que les états soient en faillite pour leur imposer ce que vous avez décidé. Si ça ne va pas assez vite créez une crise, voire quelques guerres par-ci par-là

Vader

Robert Fisk sur la Syrie : « Armée de rebelles? C'est une bande d'étrangers ! »

Après avoir passé une bonne période de temps sur la scène de la bataille en Syrie, le journaliste anglais chevronné Robert Fisk, correspondant au Moyen Orient du quotidien britannique The Independent reconnaît la présence intensive d'éléments étrangers dans les rangs de la soi-disant « Armée syrienne libre » (ASL). Au lieu de qualifier cette rébellion armée de « révolution populaire » à la manière de ses collègues occidentaux, et après avoir analysé et témoigné des faits réels sur le terrain, le journaliste anglais utilise désormais le terme de « combattants étrangers », pour qualifier ceux qui combattent le régime en Syrie.


Dans un article intitulé « Armée de rebelles? C'est une bande d'étrangers!", publié jeudi le 23 août dans The Independent, Robert Fisk braque la lumière sur le niveau médiocre de connaissance, de culture, et de la conscience de ces combattants étrangers sur les moindres circonstances du conflit auquel ils participent: le lieu.

« Tu ne vas pas croire ! », s'est exclamé le major Somar de l'armée syrienne régulière en s'adressant au journaliste. « L'un des prisonniers (combattant étranger arrêté) m'a dit qu'il ne savait pas que la Palestine était aussi belle. Il croyait qu'il est en Palestine pour combattre les Israéliens », a écrit Robert Fisk.

Stormtrooper

Décapitations à la tronçonneuse, combattants et argent étrangers : quelques vérités sur l'Armée Syrienne Libre

Syrian mercenaries
© Reuters / Reuters TVMembres armés de L'ASL
Il est assez formidable cet article du journal El pais. Il est conçu comme une pièce de propagande en faveur de l'opposition armée au gouvernement syrien. Sauf que la journaliste, Mayte carrasco, qui a semble-t-il séjourné à plusieurs reprises aux côtés des membres de l'Armée Syrienne Libre est une professionnelle et qu'elle rapporte des faits qui sont édifiants et contredisent son propos propagandiste de manière évidente : de l'argent étranger et de nombreux combattants étrangers venus d'un peu partout, de France, d'Australie, d'Espagne...

Et figurez-vous que parmi ces combattants étrangers, il y a même des non musulmans. C'est-à-dire soit des soldats ou des agents de pays occidentaux, soit des mercenaires recrutés par les occidentaux et payés par qui vous voudrez. On a même un gros bataillon de la fameuse Armée Syrienne Libre qui est constitué, dirigé et financé par un membre d'une riche famille de Dubaï (prototype de la démocratie comme on sait). De moins en moins syrienne en fait comme le font bien comprendre le titre et le sous-titre de l'article.

Des combattants incapables par ailleurs de mener de véritables opérations de combat sauf si le commandement en est assumé par le quartier général de l'ASL en Turquie, c'est-à-dire en réalité par les conseillers Américains, Britanniques et Français. Des combattants qui ne s'embarrassent pas de prisonniers sauf pour les fusiller ou les décapiter à la tronçonneuse. Le poids des salafistes est par ailleurs clairement signalé, tant au niveau de la présence humaine que de l'apport financier considérable pour être nié par la journaliste elle-même qui conclut sur la solitude des combattants de la prétendue Armée Syrienne Libre.

Mais peut-être est-ce un travail de réécriture effectué à Madrid qui a abouti à ce résultat étrange que je vous livre.

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L'Armée Syrienne Libre transforme ses prisonniers en kamikazes

Après avoir diffusé la vidéo que nous vous présentons ici la BBC l'a retirée. Ella a toutefois été copiée et mise sur Youtube. Cette vidéo, réalisée par une équipe du New York Times, nous apprend que des groupes appartenant à la prétendue Armée Syrienne « Libre » se servent de prisonniers pour leur faire commettre des attentats suicides à leur insu.


Stormtrooper

L'armée américaine, un camp d'entraînement pour nazis et criminels

Wade Michael Page
© inconnuWade Michael Page, le tueur qui a assassiné sept Sikhs dans le Wisconsin, a servi dans l'armée.
"Une armée levée sans un examen minutieux du choix de ses recrues n'a jamais été viable sur la durée. Et nous sommes désormais convaincus que c'est là la cause de tous nos malheurs" (Végèce, écrivain romain du début du Ve siècle).

Wade Michael Page, le tueur qui a assassiné sept personnes dans un temple sikh du Wisconsin le 4 août, était sans doute un déséquilibré. Mais il était également un ancien soldat, exclu de l'armée en 1998, ainsi qu'un "suprémaciste blanc". Page est-il un cas isolé, une "pomme pourrie", selon la théorie généralement servie par les canaux officiels après de tels drames, ou le symptôme d'un phénomène bien plus large dans les rangs de l'armée américaine ?

Dans une tribune intitulée "Des néo-nazis, des gangs et des criminels dans l'armée américaine", publiée sur le site d'Al-Jazira, la journaliste et écrivain Belén Fernández réfute la thèse de la "pomme pourrie". L'auteur s'appuie notamment sur un article du Christian Science Monitor, qui explique comment certains mouvements néo-nazis et suprémacistes se font enrôler pour se former à l'art de la guerre afin de mettre ensuite à profit leur savoir-faire militaire. A en croire un responsable du ministère de la défense, la présence d'extrémistes dans l'armée "n'est pas épidémique, mais de toute évidence nous parlons de plusieurs milliers de personnes".

Star of David

Collaboration US Al Qaeda Dans Des Opérations Terroristes Pour Dépecer Le Moyen Orient Au Profit D'Israël

Le concept de guerre au terrorisme a été crée conjointement par les US Israël dans les années 80 pour combattre tous les mouvements d'émancipation populaire obstacle à l'hégémonie planétaire de l'Empire judéo chrétien sioniste. De la Bosnie à la Syrie on retrouve cette axe diabolique US Al Qaeda Israël Arabie Saoudite.

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Dans les années 80 et 90 le terrorisme d'état utilisant des proxys a sévi en Bosnie Kosovo Afghanistan. Puis il a de nouveau frappé en Libye en 2011 et depuis plus d'un an et demi il déstabilise la Syrie.

Les Etats Unis parlent de « guerre contre le terrorisme » mais agissent en collaboration avec toute une myriade de nébuleuses terroristes dont la plus connue est Al Qaeda.

La politique de changement de régime est une constante de la politique étrangère de l'Empire judéo chrétien sioniste pour renverser des gouvernements « communistes « ou des dirigeants considérés comme « communistes »(proches de Moscou ou faisant affaire avec Moscou notamment en matière d'armement) tels Slobodan Milosevic, Moammar Kadhafi, et le dernier ciblé Bashar al Assad.

Tous sont considérés par leurs proxis fantassins ces terroristes salafistes wahhabites takfiris proche ou appartenant à la mouvance al Qaeda une création CIA /Arabie Saoudite comme des hérétiques des infidèles. Tous ont refusé de faire allégeance à l'Empire et tous ont dirigé et dirigent encore dans le cas d' Assad des états séculiers où cohabitent différents groupes éthno religieux.

Alors si le véritable ennemi des US c'est «le terrorisme islamique » pourquoi détruire les uns après les autres en les divisant en petites entités éthnico religieuses ces pays séculiers ?

Comment ce fait-il que les plus proches alliés arabes des US au Moyen Orient soient des dictatures monarchiques islamistes extrémistes : Arabie Saoudite , Qatar, Koweït, Jordanie, Bahreïn...Le Bahreïn hébergeant la 5ème Flotte US et le Qatar et l'Arabie Saoudite finançant et armant les terroristes d'Al Qaeda et autres mercenaires déployés en Syrie pour renverser le gouvernement syrien de Bashar al Assad ?

Light Sabers

Meilleur du Web: Préface du livre de Susan Palmer "Les Nouveaux hérétiques de France"

Susan Palmer, sociologue canadienne professeur d'études religieuses à Montréal. Voici la traduction française de la préface de son dernier livre "Les Nouveaux hérétiques de France", qui malheureusement n'est pour l'instant disponible qu'en anglais.

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PREFACE

Expérience de recherches dans une zone de guerre


En 1995, beaucoup de mes collègues chercheurs en sociologie des nouveaux mouvements religieux ont commencé à exprimer leur inquiétude et leur fascination concernant le traitement des nouvelles religions en France. Un universitaire italien y faisait référence en parlant de « l'hystérie antisectes de la France » ; un sociologue américain présenta un papier sur « les guerres antisectes à la française ». Un journaliste du Figaro (Ivan Rioufol) écrivit « il y a de l'hystérie anti-sectes dans l'air... une absurde et inutile inquisition. » En 1996, une commission nommée par l'Assemblée Nationale publia le rapport Guyard sur les sectes en France, qui produisit une liste de 173 groupes - présumés dangereux. Je fus invitée à apporter ma contribution à un ouvrage critiquant ce rapport. Intitulé avec esprit « Pour en finir avec les sectes », il reprenait les critiques d'universitaires internationaux, qui soulignaient les nombreuses erreurs du rapport concernant les groupes spécifiques qu'ils avaient étudiés. L'objectif était de montrer la piètre qualité des recherches et l'approche alourdie de préjugés qui avaient réuni les informations de ce rapport.

Airplane

Les Etats-Unis se livrent, comme Al-Qaeda, à des attaques complémentaires après les attaques de drones (RT)

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© inconnu
Au Pakistan, les Etats-Unis ont lancé des attaques complémentaires de drones tout de suite après leur première attaque, en ciblant en particulier les gens qui venaient au secours des blessés. Ces méthodes ont été largement condamnées, y compris par les Nations-Unies qui les considèrent comme des crimes de guerre.

Un reportage de Glenn Greenwald du Guardian* dévoile l'hypocrisie du gouvernement étasunien au sujet de ces pratiques. Le FBI a mis en garde contre le fait que " des terroristes soient susceptibles d'utiliser des systèmes explosifs pour tuer et blesser les secouristes accourant sur le lieu d'une précédente attaque" mais les Etats-Unis eux-mêmes utilisent ces mêmes méthodes.

En 2004, le FBI a alerté les Etasuniens sur la possibilité d'attaques secondaires, destinées à "inspirer plus de terreur" en précisant que ces attaques se produisaient généralement dans l'heure qui suivait la première attaque.

"Du matériel explosif peut être dissimulé dans des objets quotidiens comme les voitures, les porte-documents, les pots de fleur et les poubelles, ou transporté au même endroit par une personne prête à se suicider et peut exploser moins d'une heure après la première attaque pour tuer les premières personnes qui arrivent sur le lieu de l'attentat ainsi que la population en général," est-il spécifié dans l'avertissement.

Le second avion qui s'est écrasé sur le World Trade Center le 11 septembre est considéré comme une attaque secondaire.

Tout en mettant sa population en garde contre ces méthodes, le gouvernement étasunien a tenté de justifier le fait qu'il les utilisait aussi. Une vidéo de 2010 diffusée par WikiLeaks montre deux journalistes tués par un hélicoptère étasunien qui avait attaqué des insurgés à Bagdad. Après que les sauveteurs soient accourus pour emmener les blessés à l'hôpital, l'hélicoptère a ouvert à nouveau le feu - tuant des enfants dans l'action et envoyant des projectiles dans les corps de ceux qui étaient de toute évidence morts.

Stormtrooper

Expansion militaire de l'Empire Américain en Afrique

Subrepticement et sans bruit, Obama installe des troupes sur tout le continent Africain. Ce projet, débuté par G W Bush en 2003 avec AFRICOM, prend de plus en plus d'ampleur, en particulier en Afrique de l'Est.

Source: Obama's Scramble for Africa Secret Wars, Secret Bases, and the Pentagon's "New Spice Route" in Africa Thursday, 12 July 2012 par Nick Turse, TomDispatch

Africa
© inconnu
"Affiche anti Africom"

La ruée vers l'Afrique d'Obama, guerres secrètes, bases secrètes et la "Nouvelle Route des Epices" du Pentagone Ils l'appellent la "Nouvelle Route des Epices", en hommage à l'itinéraire marchand du Moyen-âge qui reliait l'Europe, l'Afrique et l'Asie, même si la Route des Epices actuelle n'a rien à voir avec la cannelle, les clous de gi
Africa
carte de l’Afrique de l'est
rofle ou la soie. C'est plutôt une autoroute des grandes puissances, où les camions et les bateaux transportent du carburant, des produits alimentaires, et du matériel militaire grâce à une infrastructure de transports maritimes et terrestres qui mène à un réseau d'entrepôts de ravitaillement, de petits camps et d'aérodromes conçus pour approvisionner une présence militaire US en expansion rapide en Afrique. Rares sont ceux aux Etats-Unis qui ont entendu parler de cette autoroute, ou des dizaines de missions d'entrainement et d'exercices militaires conjoints qui sont organisés dans des pays que la plupart des Américains seraient incapables de situer sur une carte. Encore plus rares sont ceux qui sont plus ou moins au courant que les hauts responsables de l'armée invoquent les noms de Marco Polo et de la Reine de Saba en s'implantant davantage militairement en Afrique. Tout se passe dans l'ombre de ce qu'à une époque impériale antérieure, on appelait le "Continent Noir".
Dans les ports d'Afrique de l'Est, d'énormes containers métalliques arrivent avec les produits nécessaires au quotidien à une armée qui veut à tout prix s'installer. Ils sont ensuite chargés sur des camions qui partent sur des routes défoncées en direction de bases poussiéreuses et d'avant-postes lointains.

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Mediapart dans l'impasse du 11-Septembre

Autour du 11 Septembre prospèrent les croyances de chacun. Certains croient la version officielle pendant que d'autres y voient un grand complot. Entre ces deux positions dépassées, beaucoup de doutes, mais surtout des familles de victimes, des témoins, des survivants, des professionnels, des associations et de nombreux citoyens qui demandent plus d'explications à travers la réouverture d'une enquête. Pour ce faire, ils énoncent des faits et posent des questions qui contrarient sérieusement la version officielle, mais dont la couverture médiatique est extrêmement rare. Incapables de traiter le sujet à sa juste valeur, la plupart des médias écartent en général toute remise en cause et pointent simplement du doigt les conspirationnistes, qui à leur tour voient dans cette attitude la confirmation d'un appareil médiatique complice. Ils ne font alors que nourrir réciproquement des croyances en nuisant à la recherche de la vérité. Ceux qui défendent encore la version officielle du 11-Septembre ne sont donc pas plus crédibles que les théories du complot qu'ils dénoncent.

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C'est ainsi qu'à l'approche de la 11ème commémoration des attentats du 11 septembre 2001, le site Mediapart, journal d'information numérique indépendant, a choisi de publier une enquête en quatre volets sur les théories du complot. Malheureusement, ce média qui a participé à la mise en lumière de nombreux faits négligés par d'autres sur des événements équivoques tels que les affaires Bettencourt et Karachi, a choisi d'enfermer le développement de son enquête dans une impasse de clichés concernant le 11-Septembre au lieu d'opposer des faits tangibles aux théories qui entourent ce drame. En l'occurrence, la controverse est rangée sans distinction dans la case des pathologies mentales, alors que pas une ligne n'est dédiée à faire l'examen de la version officielle. Et c'est bien là toute l'inutilité de la démarche. En continuant d'esquiver le débat sur des éléments factuels, Mediapart ne fait que contribuer à la défiance des citoyens face aux médias tout en refusant de participer à l'éducation du public sur un sujet aussi souvent mal compris, tant par les journalistes que par les complotistes qu'ils abhorrent.