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ven., 22 sept. 2023
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La maladie cœliaque et votre santé

Qu'est que la maladie cœliaque?
La maladie cœliaque est un trouble digestif qui endommage l'intestin grêle et qui entraîne une malabsorption des nutriments contenus dans les aliments. Les personnes atteintes de la maladie cœliaque sont intolérantes au gluten, une protéine contenue dans le blé, le seigle et l'orge.
Lorsque les personnes atteintes de la maladie cœliaque consomment des aliments ou utilisent des produits contenant du gluten, leur système immunitaire réagit en endommageant ou en détruisant les villosités - les petites structures, semblables à des doigts, qui recouvrent la paroi de l'intestin grêle. Normalement, les villosités permettent aux nutriments contenus dans les aliments d'être absorbés par les parois de l'intestin grêle pour passer dans le sang. Une personne dont les villosités ne sont pas saines risque de souffrir de carences, peu importe la quantité d'aliments qu'elle consomme.

Commentaire: Il est à noter que nombre de personnes sont intolérantes au gluten sans le savoir , étant donné la diversité des symptômes (outre les symptômes classiques) : fatigue, dépression, troubles digestifs, esprit « confus », aphtes, caries, migraines, carences diverses... Les chiffres avancés pour l'intolérance au gluten sont très certainement en-dessous de la réalité.
Les données concernant la prévalence fluctuent beaucoup, car le diagnostic de l'intolérance au gluten n'est pas simple. Les experts et les associations de malades estiment que de nombreuses personnes en sont atteintes sans le savoir, et que la maladie est plus courante qu'on le croit1.

La fréquence de la maladie dépend des régions du globe et de l'origine ethnique. Les populations caucasiennes (Europe, Blancs d'Amérique du Nord, Australie) sont les plus touchées, la prévalence oscillant entre 1 personne sur 100 et 1 personne sur 300 environ1,11. La maladie semble plus rare chez les personnes d'origine asiatique ou africaine.

Selon Santé Canada, 300 000 Canadiens pourraient être atteints d'intolérance au gluten, et de nombreux cas demeurent non diagnostiqués.

Diagnostic
Le diagnostic est souvent difficile et long à établir (12 ans en moyenne au Canada10), en raison de la grande variété de symptômes et du fait qu'ils ne soient pas du tout propres à cette maladie. Le médecin doit d'abord éliminer la possibilité qu'il s'agisse d'un problème digestif plus fréquent (par exemple, un syndrome de l'intestin irritable, une intolérance alimentaire ou une maladie inflammatoire de l'intestin).
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Sucre : effets méconnus d'un irrésistible poison

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Cette poudre blanche-là est parfaitement légale. Consommée avec une très grande modération, dans un régime sain, elle ferait peu de dégâts. Hélas, à raison de plusieurs kilos par habitant et par an, le sucre favorise de nombreuses maladies. Caries, diabète ? Certes. Mais des chercheurs le relient aussi aux troubles cardio-vasculaires, à l'ostéoporose, à l'entretien des inflammations intestinales, à la baisse immunitaire, au cancer.

Mais de quels sucres parle-t-on ?

La plus grande confusion règne. Elle vient sans doute du fait qu'en médecine on parle de « sucre » pour désigner le glucose nécessaire à nos cellules. « Nos cellules ont besoin de sucre », affirment médecins et diététiciens. Oui, mais la ménagère comprend « sucre blanc » : elle prépare alors de délicieux gâteaux à son mari ou ses enfants afin qu'ils aient « plus d'énergie »... et ne fait qu'aggraver leur pré-diabète! Les fabricants, ainsi que les puissantes agences chargées de promouvoir le sucre (blanc) ont, quant à eux, tout intérêt à entretenir cette confusion et à en minimiser les effets.

De fait, le glucose (et non pas le sucre) est le carburant qui permet à nos cellules de produire de l'énergie - les muscles et le cerveau, notamment, consomment beaucoup de glucose. Le glucose provient des glucides que nous ingérons. Ces glucides, qui devraient constituer 55 à 60 % de notre ration quotidienne, sont les principaux constituants des aliments suivants : légumes, algues (de mer et d'eau douce), fruits, céréales complètes (riz non poli, blé complet, etc.), et légumineuses (lentilles, fèves, pois chiches, haricots...). Notre organisme n'a pas besoin d'autres glucides ni d'autres « sucres » que de ceux-là.

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SmartStax : L'Europe va-t-elle autoriser un OGM sans évaluation scientifique ?

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Pour évaluer la dangerosité d'un OGM destiné à l'alimentation humaine, l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) se contente d'une étude de 42 jours effectuée sur des poulets. Une étude limitée à la qualité nutritionnelle des produits ! Sans gêne...

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Alimentation sans gluten : Marion Kaplan explique son importance


Commentaire : Voici une vidéo par Marion Kaplan, dans laquelle elle explique les dangers du gluten et l'importance d'éliminer cette substance de notre régime.



Cow

Une alimentation sans laitage : Pourquoi ?


Commentaire : Voici une vidéo par Marion Kaplan, dans laquelle elle explique les dangers des produits laitiers et l'importance de les éliminer de notre régime. Vivement recommandée.



Vader

La face sombre du blé : Nouvelles perspectives sur la cœliaquie et l'intolérance au blé

Traduction : Equipe fr.SOTT.net

blé
© Inconnu
L'omniprésence du blé et son statut révéré parmi les institutions tant laïques que sacrées, différencie cet aliment de tous les autres aliments consommés avec plaisir par les êtres humains. Pourtant, l'ascension sans égale du blé en tant que catalyseur de l'émergence de la civilisation n'est pas sans contrepartie. Si le blé a été le moteur de l'expansion de la civilisation et était glorifié comme étant un « aliment nécessaire », à la fois au sens physique (en anglais staff of life - bâton de la vie) et au sens spirituel (le corps du Christ), les cœliaques sont cependant la preuve vivante du côté sombre et moins connu du blé. Une étude de la cœliaquie peut aider à comprendre le mystère de l'homme moderne, qui mange chaque jour du blé et est l'animal le plus malade à avoir jamais foulé cette planète étrange qui est la nôtre.

L'Iceberg cœliaque

La maladie cœliaque (MC) était autrefois considérée comme une maladie extrêmement rare, limitée à des individus d'origine européenne. De nos jours, cependant, un nombre croissant d'études (1) montrent que la malade cœliaque touche également les Etats-Unis, au rythme d'une personne sur 133, ce qui représente plusieurs ordres de grandeur supplémentaires par rapport à ce qui avait été estimé jusqu'à présent.

Ces résultats ont poussé les chercheurs à visualiser la MC comme un iceberg (2). La pointe de l'iceberg représente le nombre relativement restreint de personnes dans la population mondiale présentant à première vue des symptômes cliniques menant au diagnostic de maladie cœliaque. C'est le cas classique de MC caractérisée par des symptômes gastro-intestinaux, la malabsorption et la malnutrition. Ce diagnostic est confirmé par une biopsie intestinale « standard ». La partie centrale immergée de l'iceberg est invisible pour le diagnostic clinique classique, mais pas pour les méthodes de dépistage sérologiques modernes comme le test des anticorps (3). Cette partie centrale est composée de la maladie cœliaque latente et asymptomatique ainsi que de l'intolérance au blé « hors intestin ». Finalement, à la base de cet immense iceberg se trouve approximativement 20 à 30 % de la population mondiale - ceux qui portent le locus HLA-DQ de susceptibilité à la maladie cœliaque sur le chromosome 6.(4)

"L'Iceberg cœliaque" pourrait bien non seulement représenter les problèmes et questions associés au diagnostic et à la prépondérance de la maladie, mais également souligner le besoin de changer la manière dont nous considérons non seulement la MC mais aussi la consommation du blé parmi les populations non cœliaques.

Syringe

Vaccination : alerte rouge !

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© Libre de droits
Cet article s'adresse aux parents,

Considérez ce qui va suivre non comme une tentative de faire peur, mais plutôt comme un souci d'informer et de partager ces informations.

Un professeur de médecine légale allemand, Randolf Penning, s'inquiète pour la raison suivante: en 25 ans de carrière, il a autopsié plus de 10 000 corps. Il a soudain constaté une multiplication de cas d'œdèmes cérébraux chez les nourrissons comme il n'en n'avait jamais vus.

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Gluten - Protéines de lait : le grand danger

Le gluten est une protéine entrant dans la composition du blé, mêlée à de l'amidon. cf la définition dans wikipédia:

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Le gluten est une sorte de liant qui permet à la farine de s'agglomérer lors de la composition du pain. C'est la céréale par excellence pour faire du pain. Cela permet à nos boulangers de confectionner des pains qui ne vont pas s'émietter et qui vont rester compacts. Confectionner un pain avec seulement de la farine de riz sans liants, est difficile voire impossible car le pain se défait entièrement dès qu'on le sort du moule.

Commentaire: L'intolérance au gluten varie d'une personne à l'autre mais tout le monde est intolérant dans une certaine mesure. Certains types d'intolérance ne sont pas révélés par les tests sanguins.

Une solution simple et gratuite est de supprimer le gluten pendant un mois et d'observer les résultats...


Cow

Intolérance à la caséine, et le danger des produits laitiers

L'intolérance au lait

Le lait de vache et le blé sont tous les deux relativement nouveaux si l'on se place à l'échelle de l'évolution de l'être humain. Nos ancêtres les ont probablement utilisés pour la première fois comme aliments.. il y a 10'000 ans... Avant cela nos prédécesseurs se nourrissaient de tout un éventail de plantes sauvages, de poissons, d'animaux et d'insectes. Le lait de vache et les semences de cette plante domestiquée (blé) se sont déplacés avec les envahisseurs durant les migrations. La plupart des indigènes en Europe n'étaient pas biochimiquement adaptés à se nourrir de ces nouveaux aliments. Ils ne supportaient pas bien ce genre de régime et beaucoup moururent. Avec comme résultat que les gènes associés à la sensibilité au gluten venant des envahisseurs diminuèrent dans la population. (Dr. Shaw, ibid)

lait
© Intolerancegluten.com
Le lait de vache est de par sa nature incompatible avec le système enzymatique humain, bien que le corps fasse son maximum pour l'assimiler. Toutefois, actuellement il serait illusoire de penser que notre lait si blanc et contemporain soit le même que celui dont profitaient nos ancêtres.

Il est capital à ce stade de rappeler que la généabiologie permet de mettre en évidence une fragilisation transgénérationnelle, ce qui explique la récurrence des problèmes d'intolérances et d'allergies dans les familles.

A cause des effets du non respect de l'environnement (pollution des usines, voitures, avions, incinération des déchets produisant la dioxine, incinération des défunts ayant des amalgames au mercure). Tous ces polluants, sous forme de vapeurs, vont directement dans l'herbe broutée par les ruminants. Le lait produit devient donc un bouillon de polluants, de métaux lourds, de pesticides, sans compter l'ajout à outrance d'antibiotiques, vaccins ou Thymerosal (mercure), hormones auxquelles viennent encore s'ajouter de nouvelles farines animales provenant d'animaux sur-vaccinés. Par la synergie de ces aliments, les effets du ce breuvage sont totalement toxiques pour notre organisme.

Attention

Intolérance au gluten et les dangers de ce poison

Qu'est-ce que le gluten ?

champ de blé
© Intolerancegluten.com
Le gluten est un mélange de protéines combiné avec de l'amidon dans l'endosperme de la plupart des céréales.

Il constitue environ 80 % des protéines contenues dans le blé.

Le gluten est responsable de l'élasticité de la pâte malaxée ainsi que de la masticabilité des produits à base de céréales cuits au four.

Il est important de savoir que le gluten se réfère aux protéines uniquement issues des céréales par conséquent, toutes les céréales contiennent du gluten.

Le gluten se divise en deux groupes : les prolamines et les gluténines.

Les protéines de la famille des prolamines sont à la source de la maladie cœliaque et de l'intolérance très pernicieuse.

Le blé (alpha gliadine), le seigle (sécaline) et l'orge (hordénine) sont les plus toxiques, suivis du maïs (zénine).

Pendant des millions d'années, les hommes ont consommé une nourriture naturelle, analogue à celle des animaux sauvages. Les enzymes et les mucines digestives étaient adaptées aux diverses substances ingérées.

L'alimentation moderne est riche en macromolécules nouvelles, pour lesquelles enzymes et mucines ne sont souvent pas adaptées.

Même pris en petite quantité ou exceptionnellement, un aliment contenant du gluten provoque des lésions de l'intestin.

Actuellement, les industries agroalimentaires modifient de façon exagérée les céréales, qui sont devenues beaucoup plus inassimilables et, par conséquent, encore plus toxiques qu'elles ne l'étaient déjà auparavant.