Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info[Note du traducteur : Les études bidons, du genre de celle révélée ci-dessous, sont exploitées par les grands médias pour entretenir dans le public la peur d'un changement climatique dû à l'activité humaine.]
Les images d'ours polaires en péril, coulant dans les mers arctiques à cause de la fonte des calottes polaires, sont devenues un symbole emblématique des conséquences dévastatrices de ce qu'on appelle le réchauffement climatique. Seulement, une nouvelle enquête gouvernementale sur la supposée science entourant cette désormais tristement célèbre légende urbaine, a révélé que ce n'est sans doute rien d'autre qu'une mystification pseudo-scientifique propagée à l'aide de calculs incorrects et d'observations superficielles.
Selon un rapport récent d'Human Events, des enquêteurs spéciaux du Département Intérieur (ID) du gouvernement zunien ont constaté qu'un document scientifique, publié dans un numéro de 2006 de la revue Polar Biology, est bourré d'hypothèses non fondées sur précisément la mort de quatre ours polaires - et c'est devenu finalement l'argument fondamental de la lutte contre le réchauffement climatique. Or, en réalité, la mort des ours peut n'avoir rien à voir avec la fonte des calottes glaciaires, et tout à voir avec une tempête ordinaire.
Tout cela provient d'une observation aérienne inhabituelle de ce qui semblait être quatre ours polaires morts flottant dans la mer. À 457 mètres, dans les airs, des observateurs ont rapporté à Charles Monnett, auteur de l'étude et biologiste, ainsi qu'à Jeffrey Gleason, son collaborateur, avoir aperçu des ours polaires morts. Ce dont le duo s'est servi plus tard pour faire diverses déclarations, notamment que « les noyades apparentées d'ours polaires pourraient se multiplier à l'avenir si la tendance observée à la régression de la banquise et/ou l'allongement de la période des eaux libres se poursuivent. »