Covid


Handcuffs

Confinement - Faisons-nous face à un excès de pouvoir ?

Dans une France qu'on tente désespérément de transformer en une gigantesque clinique, un recours en excès de pouvoir devant les tribunaux administratifs est-il envisageable contre le décret imposant le confinement ?
Confinement contrôle
© Inconnu
La réponse est dans la question : oui, justement parce qu'il y a un décret, donc un acte administratif, mais il faut agir dans les deux mois de la signature du décret : c'est la règle générale des deux mois dans les échanges avec l'administration, si on ne fait rien dans les deux mois, on considère qu'on est d'accord ou qu'on abandonne.

Il faut quand même prévoir 3 600 euros pour les honoraires de l'avocat, ce montant correspond au forfait traditionnellement accordé par les assureurs, au titre d'une assurance « protection juridique », sous réserve que le contrat d'assurance dispose d'une telle mesure, et que l'assureur accepte de l'actionner en l'espèce.

Mais la procédure promet d'être longue, surtout en période de confinement : il convient d'envisager un délai indicatif de traitement de 6 à 12 mois, compte tenu des enjeux de l'affaire.

Bad Guys

Meilleur du Web: Le CDC demande aux hôpitaux d'inscrire le Covid-19 comme cause du décès - Même s'il n'est que SUPPOSÉ avoir contribué

Le problème d'une prise de décision éclairée sur le coronavirus est que nous manquons pour le moment de suffisamment de données. Celles dont nous disposons, en attendant, pourraient finir par être définitivement faussées, en particulier celles qui proviennent de Chine. Les directives des Centers for Disease Control and Prevention pour déterminer que le Covid-19 constitue LA cause de décès ne vont pas aider ces chiffres.

CDC Center for Disease Control
© James Leynse/Corbis/Getty Images« Je suis frustrée que malgré tous nos efforts, nous n'ayons pas pu identifier la cause de cette mystérieuse maladie », a déclaré le Dr Nancy Messonnier, directrice du Centre national d'immunisation et des maladies respiratoires des Centres de contrôle et de prévention des maladies.
Publiées le 24 mars, ces directives indiquent aux hôpitaux de mentionner le Covid-19 comme cause de décès, qu'il y ait ou non des tests réels pour confirmer que c'est le cas. Au lieu de cela, même si le coronavirus n'était qu'un facteur contributif ou s'il est « supposé avoir causé ou contribué à la mort », il peut être inscrit comme cause principale.

La classification internationale des maladies et des problèmes de santé connexes, ou CIM, a établi le code U07.1 pour les décès par infection à coronavirus. Il existe un code secondaire, U07.2, « pour le diagnostic clinique ou épidémiologique du Covid-19 lorsqu'une confirmation de laboratoire n'est pas concluante ou n'est pas disponible », selon les directives du CDC.


Commentaire : La Classification internationale des maladies (CIM) est une classification médicale codifiée classifiant les maladies et une très vaste variété de signes, symptômes, lésions traumatiques, empoisonnements, circonstances sociales et causes externes de blessures ou de maladies. Elle est publiée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et est mondialement utilisée pour l'enregistrement des taux de morbidité et des taux de mortalité touchant le domaine de la médecine. Source


« Parce que les résultats des tests de laboratoire ne sont généralement pas indiqués sur les certificats de décès aux États-Unis, le NCHS ne prévoit pas d'appliquer le code U07.2 pour les statistiques de mortalité. »

Control Panel

Pandémie fabriquée : « Ils testent les gens pour n'importe quelle souche de coronavirus, pas spécifiquement le COVID-19 » - un scientifique américain

Ce qui suit est tiré d'un forum médical. L'auteur, qui est un scientifique professionnel très respecté aux États-Unis, préfère rester anonyme, car présenter un récit différent du récit officiel peut vous causer beaucoup de stress dans l'environnement toxique causé par l'arnaque qui entoure COVID-19 de nos jours.
covid-19 test kit CDC
Les kits de test COVID-19 sont-ils inutiles car ils donnent des résultats positifs pour TOUT coronavirus ?
***

Je travaille dans le domaine de la santé.

Voici le problème : nous testons les gens pour toute souche de coronavirus, pas spécifiquement pour le COVID-19. Il n'existe pas de tests fiables pour un virus COVID-19 spécifique. Il n'y a pas d'agences ou de médias fiables pour rapporter le nombre de cas réels de virus COVID-19. Il faut avant tout remédier à cette situation. Chaque action et réaction à COVID-19 est basée sur des données totalement erronées et nous ne pouvons tout simplement pas faire des évaluations précises.

C'est pourquoi vous entendez dire que la plupart des personnes atteintes de COVID-19 ne présentent rien de plus que des symptômes semblables à ceux du rhume ou de la grippe. C'est parce que la plupart des souches de coronavirus ne présentent rien d'autre que des symptômes de type rhume/grippe. Les quelques nouveaux cas de Coronavirus ont des réponses respiratoires plus graves, mais ont un taux de guérison très prometteur, surtout pour ceux qui n'ont pas de problèmes antérieurs.

L'étalon-or des tests de COVID-19 est constitué de particules de coronavirus isolées/purifiées en laboratoire, exemptes de tout contaminant et de particules qui ressemblent à des virus mais qui n'en sont pas, dont il a été prouvé qu'elles sont à l'origine du syndrome connu sous le nom de COVID-19 et qui ont été obtenues en utilisant des méthodes d'isolation virale et des contrôles appropriés (et non la PCR actuellement utilisée ou les tests sérologiques/anticorps qui ne détectent pas le virus en tant que tel). La PCR consiste essentiellement à prélever un échantillon de vos cellules et à amplifier tout ADN pour rechercher des "séquences virales", c'est-à-dire des fragments d'ADN non humain qui semblent correspondre à des parties d'un génome viral connu.

Le problème est que le test est connu pour ne pas fonctionner.

Commentaire: L'article provient des Etats-Unis. Est-ce que les tests PCR utilisés en France par le Pr Raoult seraient plus fiables et poseraient un problème dans ce sens au gouvernement ? Ce qui expliquerait en partie que leur utilisation est repoussée. Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine

En tout cas nous ne pouvons pas vérifier cette affirmation anonyme sur la spécificité des tests effectués sur les personnes, bien que nous accueillions volontiers les témoignages de toute personne connaissant ces tests. On sait que le premier lot de kits de tests envoyés aux hôpitaux américains par les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, était complètement inutile.

La question de la précision des tests et donc des taux d'infection par COVID-19 est devenue largement hors de propos aujourd'hui, car de nombreux pays ont de toute façon cessé les tests - leurs professionnels de la santé ont reçu pour instruction de "confirmer" les cas de COVID-19 sur la base des symptômes et de méthodes administratives.

D'une manière ou d'une autre, il s'agit bien d'une pandémie fabriquée.

Nous pensons cependant qu'il y a quelque chose de réel au cœur de cette pandémie ; ce COVID-19 est peut-être un coronavirus génétiquement modifié qui n'a jamais été destiné à "être dans la nature", et maintenant qu'il l'est, les pouvoirs publics essaient désespérément de minimiser l'exposition de la population mondiale à ce virus.

La plupart des gens pensent que c'est parce que Big Brother aime bien prendre soin d'eux, mais que peuvent-ils faire si le virus représente en fait une menace pour leur pouvoir et leur contrôle et non pour la population en général ?...


Smoking

Meilleur du Web: Selon une étude réalisée sur des patients Covid-19 à Wuhan, les non-fumeurs auraient trois fois plus de risque d'être infectés


Comment: Ça ne surprendra pas les lecteurs de SOTT, mais on peut parier que les médecins et les scientifiques qui ont examiné les caractéristiques cliniques de cette maladie ne s'attendaient pas à ce genre de résultat...


chinese men smoking
Excellente trouvaille de Joe L:
... une nouvelle étude... affirme que sur les 1099 Chinois qui ont contracté le nCov-2019 et qui ont été suivis, 85,4% d'entre eux (soit 927 personnes) n'avaient jamais fumé, tandis que seulement 12,6% (137 personnes) fumaient régulièrement et 1,9% (21 personnes) étaient d'anciens fumeurs.
Voici le lien PDF de l'étude. Et voici une partie du Tableau 1 tiré de l'étude (cliquez pour agrandir) :

Commentaire: Il est probable que ce chiffre soit moins élevé, parce que le pourcentage de fumeurs en Chine - tous sexes confondus - est d'environ 25%. Il est clair qu'il y a bien plus de fumeurs que de fumeuses en Chine, mais comme nous l'avons vu plus haut, les chiffrent varient.

Alors en utilisant une autre hypothèse que celle de l'auteur de l'article, à savoir que seulement 25% de la population de Wuhan fume, l'échantillon de données cliniques utilisé pour cette étude laisse supposer que les non-fumeurs ont presque 3 fois plus de risque que les fumeurs et les ancien fumeurs de contracter le virus.

Cependant, un autre facteur à intégrer est que les données cliniques de Wuhan citées plus haut montrent que seulement 41,8% des cas étudiés dans l'échantillon étaient des femmes. Nous ne sommes qu'au début de l'épidémie, mais si elle s'avère similaire à celle du MERS et du SRAS, alors elle affectera (c'est-à-dire qu'elle infectera et rendra malades) plus d'hommes que de femmes.

Si c'est le cas, cette différence de sexe devrait faire augmenter notre pourcentage hypothétique de fumeurs à Wuhan, et donc le risque pour les non-fumeurs de contracter le virus augmenterait à hauteur de 3 ou >3.

En passant, une étude encore plus intéressante de données cliniques issues de Wuhan - même si l'échantillon était bien plus petit : 140 patients - a découvert que seulement 1,4% des patients hospitalisés à cause du virus étaient des fumeurs réguliers.

Pour en savoir plus sur les bienfaits thérapeutiques du tabac :


Chart Pie

Une étude révèle que les fermetures d'écoles n'auront probablement que peu d'impact sur la propagation du coronavirus

ecole fermée, coronavirus
Selon l'UCL (l'University College London), les petits avantages doivent être mis en balance avec les coûts économiques et sociaux importants.

Les fermetures d'écoles auront probablement un impact relativement faible sur la propagation du Covid-19 et devraient être mises en balance avec leurs profondes conséquences économiques et sociales, en particulier pour les enfants les plus vulnérables, selon une étude britannique.

La recherche, menée par l'UCL, est la première à examiner les preuves qui sous-tendent la décision de nombreux gouvernements de fermer des écoles et de garder les élèves à la maison.

Selon l'organisme des Nations unies chargé de l'éducation, l'Unesco, plus de 90 % des élèves du monde entier ont été touchés par les fermetures.

L'enquête menée par l'UCL conclut que les preuves à l'appui de la fermeture d'écoles pour lutter contre le Covid-19 sont "très faibles", et les statistiques sur les épidémies de grippe suggèrent que les fermetures d'écoles "pourraient avoir des effets relativement limités sur un virus ayant une forte transmissibilité du Covid-19 et un effet clinique apparemment peu important sur les écoliers".

L'équipe de recherche a examiné 16 études portant sur des épidémies récentes d'autres coronavirus, notamment l'épidémie de Sars de 2003 en Chine continentale, à Hong Kong et à Singapour, et a constaté que les fermetures d'écoles n'ont pas contribué à contrôler l'épidémie.

"Nous savons, grâce à des études antérieures, que les fermetures d'écoles sont susceptibles d'avoir le plus grand effet si le virus a une faible transmissibilité et si les taux d'attaque sont plus élevés chez les enfants. C'est le contraire de Covid-19", a déclaré l'auteur principal de cette étude, le professeur Russell Viner, de l'Institut de la santé infantile de la Great Ormond Street de l'UCL.

Quenelle - Golden

La résistance aux ordres « d'assignation à résidence » du Coronavirus s'accroît... et il est temps !

Ron Paul
Les Américains ont assez longtemps souffert sous la botte de la tyrannie. Les résistances aux ordonnances d'assignation à résidence et les refus de gagner leur vie font enfin surface en grand nombre. Les gens ont-ils enfin réalisé qu'ils ne sont pas juste des esclaves à contrôler par quelques politiciens avides de pouvoir ?

Partout dans le pays, des dirigeants politiques aux propriétaires de petites entreprises, en passant par les parents qui veulent simplement emmener leurs enfants au parc, la résistance s'accroît face aux pouvoirs autoritaires qui ont effectivement suspendu la Constitution et placé la plus grande partie du pays en résidence surveillée.

Des poursuites judiciaires sont également engagées pour contester les ordres illégaux de "rester à la maison". Et si toutes ces injonctions hystériques n'avaient fait qu'aggraver l'épidémie de virus ? De plus en plus de scientifiques s'avancent pour plaider en faveur du "modèle suédois" de modération plutôt que de confinement.

Commentaire: Voir : Covid-19 : la Suède refuse de se plier à la stratégie du confinement


Oscar

Avec la limitation sportive, les génies du gouvernement créent des regroupements de personnes

Des coureurs qui slaloment entre les promeneurs. Des sportifs venus s'entraîner au grand air sans toujours respecter les distances nécessaires et sans avoir le visage protégé. Des scènes qui ont été tournées mercredi 8 avril après 19 heures à Paris. Beaucoup le concèdent : ils ont tout simplement décalé leur séance sur le créneau autorisé.
Paris, confinement
© France 2
L'inquiétude parmi les coureurs

L'interdiction de la pratique sportive entre 10 heures et 19 heures à Paris a-t-elle créé un pic de déplacements en fin de journée ? L'impression est largement partagée et suscite l'inquiétude parmi les coureurs. Les autorités n'ont pour l'heure communiqué aucun chiffre pouvant traduire une éventuelle hausse de la fréquentation en fin de journée. Cinq autres départements d'Île-de-France ont également choisi de restreindre la pratique sportive en journée.

Commentaire: Une volonté délibérée ?


Stormtrooper

USA : Un ancien policier arrêté dans un parc pour avoir lancé une balle avec sa fille en raison des règles de distanciation sociale du coronavirus

Lors d'un incident filmé, un ancien policier de la patrouille de l'État du Colorado a déclaré avoir été menotté devant sa fille de 6 ans sur un terrain de softball presque vide dimanche par des policiers de Brighton qui appliquaient des règles de distanciation sociale. Le département s'est excusé mardi après-midi, qualifiant l'incident de "dépassement de la part de nos agents de police".
Matt Mooney
© Kirby WallinMatt Mooney, 33 ans, dit qu'il a été menotté devant sa fille de 6 ans

Matt Mooney, 33 ans, a déclaré à ABC News qu'il avait marché avec sa femme et sa fille de leur maison jusqu'à un parc voisin dimanche pour jouer au softball.

"Nous nous amusons juste, pas proche de quelqu'un d'autre. La prochaine personne la plus proche est à au moins 15 pieds de moi et de ma fille à ce stade", a déclaré Mooney à ABC News.

La police est arrivée peu après, a dit M. Mooney, en lui disant, ainsi qu'aux autres personnes présentes dans la zone, de partir parce que le parc était fermé.

Mooney a déclaré qu'il avait dit aux agents qu'il connaissait les règles affichées et qu'il pensait que lui et sa famille étaient en conformité et pratiquaient une bonne distanciation sociale. Il a dit qu'il avait refusé de fournir ses papiers d'identité lorsque les agents lui en ont fait la demande parce qu'il n'avait enfreint aucune loi.

"Ils n'ont pas aimé cette idée. Ils m'ont alors menacé en disant : "Si vous ne nous donnez pas vos papiers, si vous ne vous identifiez pas, nous allons vous mettre les menottes devant votre fille de 6 ans".

Commentaire: Quand vous donnez à la police le pouvoir d'interroger n'importe qui pour avoir été à l'extérieur, c'est le genre de choses qui finissent par se produire. C'est pourquoi chaque policier devrait refuser d'appliquer des mesures aussi draconiennes.


Beer

Coronavirus - Confinement : pourquoi votre budget courses alimentaires explose

En jetant un œil à son ticket de caisse, lors de sa dernière sortie dans son hyper Carrefour, David, informaticien, a failli s'étrangler. « J'en ai eu pour 430 euros! C'est presque le double de notre budget alimentaire habituel », soupire ce papa de deux enfants, habitant en Seine-et-Marne et confiné à son domicile avec sa famille à cause de l'épidémie de Covid-19.
pppp
© InconnuDes chariots bondés pour réaliser trois repas par jour, un manque de choix, moins de promos… Face au budget course qui grimpe en flèche, des enseignes ont décidé de bloquer les prix de certains produits.
Pour beaucoup, cette période de confinement est synonyme d'explosion du montant des courses : d'après l'Institut Iri, spécialisé dans l'analyse des données des produits de grandes consommations, le panier moyen en hyper et supermarché a bondi de 89% la semaine dernière, alors même que ces deux circuits ont enregistré une baisse de trafic de 47% !

Commentaire: Les grandes surfaces font des affaires, elles qui vont survivre à cette hécatombe. Les petits magasins vont disparaître et faire faillite. C'est encore une fois le petit qui perd devant les mastodontes qui écrasent tout sur leur passage, et ce « Coronavirus » aura tout balayé sur son passage, de nos libertés à l'économie en passant par nos valeurs humaines.


Alarm Clock

Covid-19 : la Suède refuse de se plier à la stratégie du confinement

ssss
Bien que la Suède déplore près de 400 morts en lien avec la pandémie de Covid-19, le gouvernement refuse de décréter des mesures de confinement. En refusant d'appliquer cette stratégie, le pays scandinave fait figure d'exception en Europe. Les autorités suédoises ont toutefois recommandé à la population de pratiquer la «distanciation sociale».

Commentaire: Pourquoi eux et pas nous ? Quelle bonne question.