Commentaire : La France pérore dans le monde entier avec son fameux « savoir-faire nucléaire » ; elle vend sa technologie mortifère à coup de « sureté nucléaire » inscrite dans ses gros contrats juteux . Un monopole et un pouvoir qui permettent tous les discours, celui notamment de la sécurité des procédés. A écouter le président de l'Autorité de sûreté nucléaire, on redescend vite sur terre. Une centrale défaillante suffirait à contaminer un pays, un continent. Nous en avons une cinquantaine. Quels esprits inconscients ou criminels peuvent encore promouvoir l'exploitation d'une énergie qui recèle en elle un tel potentiel de destruction et de pollution ?
Quelques articles concernant le nucléaire :
Mercredi 20 janvier 2016, Pierre-Franck Chevet, le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a présenté, au siège de Montrouge, ses vœux à la presse. L'occasion pour le président d'exprimer ses inquiétudes et d'expliquer que ses demandes d'attribution de moyens humains restent lettre morte, alors même que les enjeux en matière de sûreté nucléaire, à tenir dans un avenir proche, nécessiteraient cet apport supplémentaire. Pierre-Franck Chevet a fait état d'une « situation préoccupante ». Il s'est attardé, notamment, sur les anomalies de la cuve de l'EPR de Flamanville dans la Manche. La Normandie, outre cette installation (peut-être) en devenir, compte déjà trois centrales nucléaires : à Penly et Paluel, en Seine-Maritime, ainsi qu'à Flamanville dans la Manche.
La moitié des 58 réacteurs français bientôt contrôlés
« La sûreté nucléaire et la radioprotection sont confrontées à des enjeux sans précédent », a martelé le président. L'ASN va devoir traiter notamment de l'éventuelle extension de longévité des 58 réacteurs installés en France.
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