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SOTT Focus: Bill Gates et l'élite mondiale NE VACCINENT PAS leurs propres enfants... et pour cause


Commentaire : L'infâme et insidieux maniaque du vaccin a encore frappé. En date du 6 avril dernier, on apprend que dans le cadre du Covid-19 Bill Gates va financer « en dépensant sans compter » le développement de sept vaccins, SIMULTANÉMENT. Rien que ça !

« Le milliardaire est prêt à mettre la main à la poche pour accélérer SANS PERDRE DE TEMPS la recherche et la découverte d'un vaccin contre le coronavirus. » La Fondation Bill & Melinda Gates a déjà reçu des centaines de millions de dollars dans la recherche d'un vaccin contre le coronavirus.

Et au cas où vous auriez loupé cette information relative aux liens qui existent entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l'OMS :
« Dans le dernier rapport financier disponible de l'OMS, pour le 31 décembre 2017 [...] À elle seule, la Fondation Bill et Melinda Gates a donné la somme astronomique de 324 654 317 dollars à l'OMS. En comparaison, le plus grand donateur étatique à l'OMS, le gouvernement américain, a donné 401 millions de dollars à l'OMS. »



La pire décision médicale que le parent d'un nouveau-né puisse prendre est de permettre aux médecins et aux infirmières de compromettre gravement son système immunitaire en lui injectant des neurotoxines connues, des protéines étrangères et des substances cancérigènes comme le mercure, le formaldéhyde, les cellules de rein de singe, les virus porcins et les cellules génétiquement modifiées provenant d'avortements humains. C'est pourquoi le milliardaire Bill Gates, l'infâme et insidieux maniaque du contrôle de la population et magnat de Microsoft, a refusé de vacciner ses propres enfants lorsqu'ils étaient en pleine croissance, même s'il promeut des piqûres toxiques partout dans le monde, en particulier dans les pays du tiers monde.
Bill Gates
C'est authentique. L'ancien médecin privé de Gates à Seattle dans les années 1990 a déclaré : « Je ne sais pas s'il les a fait vacciner à l'âge adulte, mais je peux vous dire qu'il a catégoriquement refusé de les vacciner quand ils étaient enfants ». Nous le savons car la citation a été tirée des propos même du médecin de Gates lors d'une conversation en marge d'un symposium médical, ce qui a provoqué un petit tumulte parmi les médecins présents, qui ont fustigé le médecin de Gates pour avoir rompu le secret médical (même s'il s'agit d'une « zone grise » car il parlait à d'autres médecins en privé). Il était pourtant trop tard — ce qui devait rester secret ne l'est plus, et maintenant le monde connaît l'hypocrisie ultime de l'élite qui incite radicalement et religieusement à la vaccination comme si cette dernière était le « saint graal » de la médecine, tout en protégeant le sang et les tissus musculaires de leurs propres enfants de ces mêmes poisons en sachant bien que le risque élevé d'effets secondaires et d'événements indésirables dépasse de loin tout bénéfice possible.


Commentaire : La même chose se produit avec les enfants de la Silicon ValleyPourquoi Steve Jobs et Cie ont gardé leurs enfants éloignés des iPads

Voir aussi : Bill Gates : L'incroyable arnaque derrière sa fondation
« Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l'ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l'un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la fondation Gates nourrirait un système destructeur. »
Et : Bill Gates refuse de recommander une bonne nutrition (zinc, vitamine D, vitamine C) et se concentre entièrement sur les vaccins et le suivi de l'état par la police :
« Selon Bill Gates, les rassemblements de masse et autres activités "facultatives" pourraient "ne pas reprendre du tout" si vous n'êtes pas vacciné. »

Comet

SOTT Focus: Univers électrique - Trois nouvelles comètes à l'approche classées initialement comme géocroiseurs

Après la comète Atlas qui fait déjà parler d'elle dans les médias, trois autres comètes ont été récemment découvertes, bien qu'elles aient d'abord été classées avec les géocroiseurs.
« Les philosophes de l'Antiquité croyaient de façon presque universelle qu'une comète approchant le Soleil déclenchait la peste sur Terre, par l'exaltation de son feu volcanique et la perturbation de son atmosphère. »

~ T. Forster, Illustrations of the atmospherical origin of epidemic disorders of health [« Illustrations de l'origine atmosphérique des troubles épidémiques de la santé », ouvrage non traduit en français - NdT], 1829

L'effervescence volcanique et sismique associée au cycle cométaire de 3 600 ans
Comète Système solaire
© Mark Garlick/Science photo Libra/MGA/Science Photo Library
P/2020 F1 (Leonard) est une comète à courte période du système solaire et a été signalée comme cométaire le 16 mars 2020 par Gregory J. Leonard pour le compte du Mt. Lemmon Survey, après avoir initialement été enregistrée comme géocroiseur sur les pages NEOCP (Page de confirmation des objets géocroiseurs), avant de l'être sur celles de PCCP (Page de confirmation possible de comète) du Minor Planet Center. Ses éléments orbitaux elliptiques indiquent un passage au périhélie le 29 août 2019 à une distance d'environ 3,9 UA du Soleil, et une période d'environ 17,8 ans pour cette comète de la famille de Jupiter.

C/2019 S4 (Lemmon) est initialement un objet découvert sur les images obtenues le 17 septembre 2019 avec le télescope du Mt. Lemmon Survey. Elle avait à l'origine reçu la désignation de A/2019 S4 (Lemmon), car bien que se trouvant sur une orbite ayant des caractéristiques typiques de celles des comètes, aucun activité cométaire n'avait été détectée, et C/2019 S4 (Lemmon) avait été placée parmi les planètes mineures. Cet objet a par la suite montré des caractéristiques cométaires et sa désignation en tant que comète a officiellement été modifiée le 28 mars 2020. Ses éléments orbitaux elliptiques indiquent un passage au périhélie le 7 avril 2020 à une distance d'environ 3,4 UA du Soleil pour cette comète à très longue période. Sa magnitude absolue est de 14,5, ce qui correspondrait probablement à un diamètre compris entre 2,4 et 7,5 kilomètres.

C/2020 F3 (NEOWISE) est une comète rétrograde à longue période qui a d'abord été découverte le 27 mars 2020 et placé sur les pages NEOCP (Page de confirmation des objets géocroiseurs), avant de clairement montrer le 31 mars dernier des signes d'activité cométaire, ce que de nombreux autres observateurs ont confirmé par la suite. Ses éléments orbitaux elliptiques indiquent un passage au périhélie le 03 juillet 2020 à une distance d'environ 0,29 UA du Soleil.

Commentaire: Quelques articles pour aller plus loin : Les mystères de la nature électrique de notre Système solaire et de ses conséquences en partie révélés avec ces quelques ouvrages en français :
  • Hiver cosmique, Dr Victor Clube et Dr Bill Napier
  • Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, Pierre Lescaudron
  • Mondes en collision, Dr Immanuel Velikovsky
  • Les comètes et les cornes de Moïse, Laura Knight-Jacdzyk
  • Les grands bouleversements terrestres, Dr Immanuel Velikovsky
Et en anglais :
  • Cosmic Serpent, Victor Clube and Bill Napier
  • From Exodus to Arthur, Michael Baillie
  • New Light on the Black Death, Michael Baillie
  • Where Troy Once Stood, Iman Wilkens
  • The Cycle of Cosmic Catastrophes, Richard Firestone, Allen West and Simon Warwick-Smith



Eye 1

SOTT Focus: Pandémie et politique de survie — Les perspectives d'un nouveau type de dictature post-libérale


Commentaire : Voici les mots du Président Macron le 19 mars 2020 :
« Le jour d'après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour au jour d'avant ».
L'article qui suit explique cette phrase dans ce qu'elle ne dit pas — à savoir sa dimension la plus perverse et la plus totalitaire quant à un futur déjà En Marche : il n'y aura pas de retour au « monde d'avant ». Quand le Président Macron dit « nous », il est impossible d'entendre « tous les Français ». Ce « nous » constitue le régime dictatorial ET mondial rapidement mis en place et qui représente une entité totalement nouvelle, une entité tellement sombre qu'elle fait passer le régime Nazi pour des enfants de chœur.

« Notre conscience refuse de croire à des changements aussi colossaux, et surtout à leur irréversibilité. Mais nous devons le faire. Il est préférable de les conceptualiser et de les comprendre à l'avance — maintenant, tant que les choses ne sont pas encore devenues aussi critiques que présenté ici. »


Nous assistons actuellement à l'effondrement global de l'ordre mondial. Peu importe que la nature du coronavirus soit artificielle ou pas — et quand bien même le Covid-19 est artificiel — qu'il ait été délibérément libéré par le « gouvernement mondial » ou pas n'est même pas primordial. L'épidémie a commencé — c'est un fait. L'essentiel est maintenant de savoir comment le« gouvernement mondial » y a réagi.
Pandémie et dictature
© Inconnu
L'effondrement de l'ordre mondial libéral et de ses fondements

Pour clarifier, le « gouvernement mondial » est constitué par l'ensemble des élites politiques et économiques mondiales et des intellectuels et médias (médiacratie) qui les servent. Un tel « gouvernement mondial » existe nécessairement, puisqu'il existe à l'échelle mondiale des normes fondamentales strictement définies qui déterminent les paramètres de base de la politique, de l'économie et de l'idéologie.
  • Dans l'économie, la seule norme reconnue est le capitalisme, l'économie de marché — qui n'est contestée que par la Corée du Nord, et non par la Chine, et c'est très important — qui présente sa propre version du capitalisme d'État national sous la direction du parti communiste.
  • En politique, la seule norme reconnue est la démocratie libérale parlementaire, fondée sur la société civile comme sujet et source de légalité et de légitimité — outre la Corée du Nord, presque tout le monde est d'accord avec cela, bien que la Chine interprète la « société civile » dans une optique socialiste particulière et partiellement nationale-culturelle, et procède à un filtrage médiacratique par des moyens autres que les élections parlementaires directes ; et certains États islamiques comme l'Iran et les monarchies du Golfe présentent un certain nombre de particularités.
  • Sur le plan idéologique, tout le monde est d'accord avec l'idée que tout individu a un certain nombre de droits inaliénables — à la vie, à la liberté de conscience, à la liberté de mouvement, etc. — que tous les États et sociétés sont tenus de garantir.
Ce sont essentiellement les trois principes de base du monde global qui a émergé après l'effondrement de l'URSS et la victoire de l'Occident capitaliste dans la guerre froide. Les principaux acteurs politiques, économiques et idéologiques sont concentrés dans les pays occidentaux, qui servent de modèle aux autres. C'est là que se trouve le cœur du « gouvernement mondial ». Au sein de ce gouvernement, la Chine commence à jouer un rôle de plus en plus important, vers laquelle l'élite de la Russie et de tous les autres États se précipite.

Bulb

SOTT Focus: Les dessous d'une mauvaise science devenue religieusement universelle


Commentaire : « Nos dirigeants devraient refuser que le système de soins s'inscrive dans la logique du marché, et s'inquiéter du chaos, toujours dû au marché, dans lequel s'enfonce notre système de santé tout entier. »

~ Jerome P. Kassirer, New England Journal of Medecine, 1995, vol. 333, n°1, p. 50


Scènes surréalistes dans l'Hexagone, avec un bras de fer entre l'IHU Méditerranée-Infection et le gouvernement autour de la prescription d'hydroxychloroquine contre le Covid. Dimanche, Marseille passait en force en invoquant le serment d'Hippocrate et une question éthique fondamentale.

Par Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique, Genève

fake science
© Inconnu
Conformément au serment d'Hippocrate que nous avons prêté, nous obéissons à notre devoir de médecin. Nous faisons bénéficier à nos patients de la meilleure prise en charge pour le diagnostic et le traitement d'une maladie. Nous respectons les règles de l'art et les données les plus récemment acquises de la science médicale.

Nous avons décidé :
  • Pour les tous les malades fébriles qui viennent nous consulter, de pratiquer les tests pour le diagnostic d'infection à Covid 19 ;· Pour tous les patients infectés, dont un grand nombre peu symptomatiques ont des lésions pulmonaires au scanner, de proposer au plus tôt de la maladie, dès le diagnostic :
  • Un traitement par l'association hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d'usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé.
Nous pensons qu'il n'est pas moral que cette association ne soit pas inclue systématiquement dans les essais thérapeutiques concernant le traitement de l'infection à Covid-19 en France.
Le retour de bâton (ou plutôt le coup de pied de l'âne) ne se faisait pas attendre puisque pas plus tard que le lendemain, le ministre de la Santé annonçait formellement son opposition à ce que les médecins de ville fassent usage de ce traitement, réservé aux hôpitaux. Les noms d'oiseau se mirent à fuser de plus belle. Raoult continue évidemment d'agacer et de s'aliéner bien des soutiens en affirmant par exemple qu'il « n'en a rien à fiche de l'avis de ses collègues ou du ministère ».

Lesquels évoquent le besoin de certitude scientifique (whattever that means, nous y viendrons) avant d'autoriser les généralistes à prescrire l'hydroxychloroquine. Ambiance.

Science et science et même : pas science !

Ce que le public ignore, lui qui fait un peu naïvement confiance aux « scientifiques », c'est que la recherche médicale est en crise systémique depuis plus de 15 ans. À l'époque, John Ioannidis, un médecin né à New York, passé ensuite par les universités d'Athènes et Ioannina (Grèce) puis Harvard, avait lancé un sacré pavé dans la mare sous la forme d'un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux ». Ce papier eut un succès qui ne se démentit jamais, devenant même l'article technique le plus téléchargé en ligne de la revue PLoS (Public Library of Sciences) Medicine. Ioannidis a depuis rejoint la prestigieuse université de Stanford, dans la Silicon Valley, où il exerce la fonction de directeur du Stanford Prevention Research Center tout en co-dirigeant le Meta-Research Innovation Center.

Pour reprendre le début de son article original, il disait en fait ceci :
« On s'inquiète de plus en plus du fait que la plupart des résultats de recherche publiés actuellement sont faux. La probabilité qu'une affirmation de recherche soit vraie peut dépendre de la puissance et de la partialité de l'étude, du nombre d'autres études sur la même question et, surtout, du rapport entre les relations vraies et les relations fausses parmi les relations étudiées dans chaque domaine scientifique. »
L'article de Ioannidis fit l'effet d'un (petit) électrochoc. Ce qui n'était rien face aux répliques à venir...

Bizarro Earth

SOTT Focus: Tour de contrôle à la planète en confinement : Ce n'est qu'un test

Autant le Covid-19 est un disjoncteur, une bombe à retardement et une véritable arme de destruction massive (ADM), un débat acharné fait rage dans le monde entier sur le bien-fondé d'une quarantaine de masse appliquée à des villes, des États et des nations entières.
escolabar
Ceux qui s'y opposent affirment que le confinement de la planète non seulement n'arrête pas la propagation du Covid-19, mais qu'il a également fait basculer l'économie mondiale dans un état de cryogénie - avec des conséquences imprévues et désastreuses. Ainsi, la quarantaine devrait s'appliquer essentiellement à la population présentant le plus grand risque de décès : les personnes âgées.

Commentaire: Lire aussi :


Flashlight

SOTT Focus: Hôpitaux vides ? Où sont tous les patients Covid-19 ?

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Remarquez la date. 11 jours plus tard : mais où sont les patients ?
Le hashtag #FilmYourHospital (Filme ton hôpital - NdT) fait le buzz sur Twitter. Avec un tiers de la population mondiale actuellement « confinée », certains ont décidé de minimiser leurs risques de péter les plombs en allant faire un tour dans leurs hôpitaux locaux pour documenter les scènes de chaos auxquelles ils s'attendaient à assister - pandémie mortelle galopante oblige. Or ils ont été étonnés de trouver des hôpitaux étrangement calmes et nullement débordés. Dans certains d'entre eux, il semble même régner (pardonnez ce jeu de mots) un calme mortel.

Certes, il se pourrait que si les gens voient des salles d'hôpital vides ou excessivement calmes, c'est parce que les cas de Covid-19 (suspectés et/ou confirmés) sont uniquement dirigés - pour l'instant - vers des centres hospitaliers désignés. Cela serait logique d'un point de vue épidémiologique : « confiner » les cas dans un minimum de « points chauds », car les hôpitaux eux-mêmes peuvent rapidement devenir d'importants foyers infectieux. Quelqu'un a-t-il vu des rapports ou des directives concernant une telle mesure administrative ? Je n'en ai pas encore vu. La plupart des rapports sur l'état de préparation des hôpitaux donnent l'impression que les établissements médicaux (tout du moins dans les villes) s'attendent à être « submergés à tout moment ».

Dans l'une des premières vidéos #FilmYourHospital publiées en ligne et intitulée « Mediziner gegen Medien Es gibt keine gefährliche Corona Pandemie », le journaliste allemand Billy Six commence sa visite de l'un des hôpitaux les plus fréquentés de Berlin en affirmant qu'il y a été envoyé par les administrateurs d'un autre hôpital qui lui ont dit que c'était « là-bas qu'on envoyait les cas de Covid-19 ». Mais au lieu de voir du personnel médical courant dans tous les sens pour traiter les cas de Covid-19, comme on pourrait s'y attendre, il a trouvé l'hôpital exceptionnellement calme.

2 + 2 = 4

SOTT Focus: Leçon du jour - Comment créer une fausse pandémie

Salutations, collègues manipulateurs et trompeurs, et bienvenue dans notre formation pour apprendre comment créer une fausse pandémie ! Comme vous l'avez appris lors de nos précédentes sessions, la première chose dont vous avez besoin pour une mission de ce type est de posséder quelques médias grand public. En tant qu'experts ès manipulation de masse, nous sommes sûrs que vous possédez un ou deux médias, alors allons-y !

Corona
© Inconnu
Fabriquer une pandémie quand il n'y en a pas est bien plus facile qu'on ne le croit. Comme d'habitude, nous aurons besoin d'une bonne mise en lumière, de l'usage des répétitions, de quelques détournements d'attention, de chiffres à moitié inventés et de nos astuces psychologiques habituelles.

Pour déclencher une fausse pandémie, nous avons besoin d'un virus approprié. Il faudrait qu'il soit nouveau de façon à ce que les gens ne le connaissent pas ou peu — de cette façon, vous pouvez leur dire à peu près n'importe quoi, et, compte tenu de leur ignorance, ils ne pourront rien dire qui puisse contredire vos affirmations. Le mieux est de choisir un nom qui fasse peur ou qui sonne bien. Les médias adoreront en parler.

Que ce nouveau virus soit étroitement lié à d'autres virus qui ne sont ni nouveaux, ni rares peut s'avérer très utile. Vous pourrez ainsi les ajouter au cocktail chaque fois que vous avez besoin de gonfler les chiffres. Le monde viral est extraordinairement diversifié, mais les gens n'en savent rien, alors le choix est très large ; en outre, la plupart des gens ne peuvent pas différencier un virus d'une bactérie, ou même d'une très petite araignée.

Attention

SOTT Focus: Coronavirus - Ce que vous NE pouvez PAS dire à son sujet

Pssst. Vous.

Oui, vous.

Êtes-vous intéressé par une discussion de... choses ? Vous savez, le genre de choses dont on n'a plus le droit de parler ? Vous savez, depuis le... euhhh... « L'événement » ?
Coronavirus
© The Corbett Report
Vous l'êtes ? Super. Je veux dire, vous avez peut-être remarqué que les choses deviennent un peu houleuses dans le monde. Vous risquez par exemple d'être vilipendé pour avoir osé suggérer qu'un certain nombre de choses au sein de la « nouvelle normalité » pourraient bien être inacceptables.

Toutes ces nouvelles normes sociales et tabous culturels apparus ces dernières semaines semblent avoir également créé une série de nouveaux crimes de pensée : des choses qui ne doivent pas être exprimées de peur de se voir expulsé de la société civilisée... voire pire.

C'est la raison pour laquelle il est crucial que nous parlions de nos préoccupations avant que ces crimes de pensée socialement contrôlés ne deviennent littéralement des crimes. Comme vous le savez certainement, si nous ne réalisons pas aujourd'hui que ces nouvelles normes sociales existent, il sera bientôt impossible d'exprimer des opinions dissidentes.

Permettez-moi donc d'exprimer quelques réflexions personnelles. Mais soyez prévenu : je vous garantis que certaines — a minima — de mes idées vous sembleront offensantes. Vous serez en profond désaccord avec elles. Vous vous mettrez en colère.

La vraie question est : que ferez-vous à ceux qui expriment des opinions avec lesquelles vous n'êtes pas d'accord ? Engager un dialogue avec eux ? Ou exiger que les agents de l'État suppriment leur discours sur Internet et les enferment dans une cage pour crime d'opinion ?

Quoi qu'il en soit, j'ai déjà commis de nombreux délits d'opinion ces dernières semaines, autant vous en faire part. Êtes-vous prêt ? Allons-y.

Attention

SOTT Focus: Sceptiques du Covid-19 : 10 AUTRES experts médicaux de premier plan s'opposent au discours officiel des gouvernements et des médias

experts covid
Voici dix voix d'experts, éclipsées ou ignorées par le discours dominant, qui offrent leur point de vue sur l'épidémie de coronavirus.

Le Dr. Sunetra Gupta fait partie d'une équipe de recherche basée à Oxford qui construit un modèle épidémiologique pour l'épidémie de coronavirus. Leur publication n'a pas encore fait l'objet d'un examen de leurs pairs, mais le résumé est disponible en ligne.

Le Dr Gupta est professeur d'épidémiologie théorique à l'Université d'Oxford et s'intéresse aux agents de maladies infectieuses responsables du paludisme, du VIH, de la grippe et de la méningite bactérienne. Elle a reçu le prix Sahitya Akademi, la médaille scientifique de la Zoological Society of London et le prix Rosalind Franklin de la Royal Society pour ses recherches scientifiques.

Ce qu'elle dit :
Il est important de noter que les résultats que nous présentons ici suggèrent que les épidémies en cours au Royaume-Uni et en Italie ont commencé au moins un mois avant le premier décès signalé et ont déjà conduit à l'accumulation de niveaux significatifs d'immunité de groupe dans les deux pays. Il existe une relation inverse entre la proportion actuellement immunisée et la fraction de la population vulnérable aux maladies graves.

- Les principes fondamentaux de la propagation de l'épidémie soulignent le besoin immédiat d'enquêtes sérologiques à grande échelle pour évaluer le stade de l'épidémie de SRAS-CoV-2, 24 mars 2020.
La recherche présente une vision très différente de l'épidémie par rapport à la modélisation de l'Imperial College de Londres [...]

« Je suis surprise qu'il y ait eu une telle acceptation sans réserve du modèle impérial », a déclaré le Dr Gupta. [...]

Les résultats d'Oxford signifieraient que le pays avait déjà acquis une immunité substantielle grâce à la propagation non reconnue du Covid-19 sur plus de deux mois.

Bien que certains experts aient jeté le doute sur la force et la durée de la réponse immunitaire humaine au virus, le Professeur Gupta a déclaré que les preuves émergentes lui permettaient d'être confiante dans le fait que l'humanité développerait une immunité collective contre le Covid19.

- « Le coronavirus pourrait avoir infecté la moitié de la population », Financial Times, 24 mars 2020

Commentaire: Covid-19 : 12 experts remettent en question la nécessité d'un confinement mondial


Fireball 5

SOTT Focus: Atlas pourrait bien être la comète la plus brillante depuis deux décennies et être observable à l'œil nu dès ce mois-ci

Venue des confins du Système solaire, la comète C/2019 Y4 — Atlas — découverte le 28 décembre 2019, voit sa luminosité augmenter rapidement, à mesure qu'elle se rapproche du Soleil. À ce rythme-là, celle-ci pourrait être visible à l'œil nu dès ce mois-ci.
Comète
© solarseven/Shutterstock.com
Une chevelure de gaz de 720 000 kilomètres de diamètre

Lors de sa découverte, réalisée à l'aide du système de surveillance astronomique robotisé ATLAS installé à Hawaï, duquel elle tire son nom, la comète C/2019 Y4 se trouvait à environ 439 millions de kilomètres du Soleil, et sa luminosité se révélait environ 398 000 fois plus faible que celle des astres susceptibles d'être visibles à l'œil nu. Mais au fil des semaines, les scientifiques ont observé que celle-ci augmentait beaucoup plus rapidement que prévu, passant d'une magnitude 17 en février à une magnitude 8 courant mars, soit une luminosité 4 000 fois supérieure.


Commentaire : Voir aussi Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon :
« Le simple fait qu'une comète décharge le condensateur solaire est suffisant pour que nous en ressentions les effets sans qu'aucune collision avec la Terre se produise. Les grandes éruptions solaires déclenchées par les interactions électriques avec les comètes, les courants électriques qui s'écoulent vers la Terre et les raz-de-marée gravitationnels possèdent tous un potentiel de conséquences néfastes. Ce phénomène « d'action à distance » entre la Terre et le passage à sa proximité d'une grande comète peut provoquer des conditions météorologiques extrêmes, des tempêtes, des volcans, des tremblements de terre, des inondations, des événements de pollution (par exemple des pandémies, des fléaux, la « peste noire », des tempêtes de feu, etc.), le déplacement des pôles, des extinctions de masse, des pluies de météorites, des formations montagneuses et de fortes décharges électriques. »
Et : L'effervescence volcanique et sismique associée au cycle cométaire de 3 600 ans :
« Pour conclure, les preuves indiquent une interaction cyclique tous les 3 600 ans entre une comète ou un essaim cométaire et notre planète Terre — il y a 14 400 ans, 10 800 ans, 7 200 ans et 3 600 ans. Puisque le dernier cycle s'est produit il y a 3 600 ans, nous pouvons avancer que le cycle suivant se déroule en ce moment même. D'ailleurs, l'American Meteor Society recense les boules de feu observées dans le monde entier, et les données collectées au cours des treize dernières années suggèrent que le « spectacle » pourrait bien avoir déjà commencé. »
Ces « possibles » en devenir, effraieraient-ils les Pouvoirs qui ne devraient pas être en place au point de masquer les événements célestes par une « fausse » pandémie ? Victor Clube avait sûrement raison, les activités humaines — une guerre froide ou une pandémie — doivent dissimuler les intentions célestes !

Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, Pierre Lescaudron :
« Errements du Jet Stream, ralentissements du Gulf Stream, ouragans, tremblements de terre, éruptions volcaniques, bolides météoriques, tornades, déluges, dolines et nuages noctulescents sont en augmentation depuis le passage au XXIe siècle. La vision des partisans du réchauffement planétaire anthropique s'avère-t-elle juste ou est-ce que quelque chose d'autre, quelque chose de bien plus important, se déroule sur notre planète ? Alors que pour la science conventionnelle ces changements terrestres n'ont aucun rapport entre eux, Pierre Lescaudron applique les conclusions du paradigme de l'Univers électrique et les découvertes de la physique des plasmas pour suggérer qu'ils pourraient en réalité être intimement liés et dériver d'une seule cause commune : le rapprochement du « jumeau » de notre Soleil et de l'essaim cométaire qui l'accompagne. Grâce aux archives historiques, l'auteur dévoile une forte corrélation entre périodes d'oppression autoritariste et désastres naturels catastrophiques d'origine cosmique. »



Comme d'autres comètes, Atlas devient plus brillante à mesure qu'elle se rapproche du Soleil, ce qui se traduit par une gigantesque chevelure de gaz ionisé, mesurant à l'heure actuelle quelque 720 000 kilomètres de diamètre, ainsi qu'une queue de gaz et de poussière particulièrement étendue.

Commentaire: Pour en savoir plus sur les comètes : Et les articles de Laura Knight-Jadczyk : Comètes & Catastrophes Série